最后出现于 10 月 前 Newbie 2270 天 在 XRMXX 上 1.7K 个人资料浏览次数 293 个订阅者 18 条评论 个人信息 我是: KissKissBangBang, 男性, 异性弹性 自: Geneve, 瑞士 在找: 女性 Interests and fetishes: 肛交 猫 妻子 性虐待 三人行 指法 群交 荡妇 内衣 狗的风格 性高潮 喷出 双渗透 钢棒 骑术 浪荡公子 乳头 奴隶 狂欢 舔 语言: 法语, 英语 教育: 副学士学位(2 年大专) 职业: événementiel 收入: 平均 关系: 开放 孩子: 是的,我们不住在一起 宗教: 不可知论者 抽烟: 偶尔 喝酒: 偶尔 星座: 天蝎座 摄像头: 是 我的样子 种族: 混血 身体类型: 平均 头发长度: 短 头发颜色: 黑 眼睛颜色: 榛子色 身高: 173 厘米 (5 英尺 8 英尺) 展示更多 评论 5 请登录或注册账户以发表评论 happycouple8086 5 年 前 merci pour l'ajout! 回答 porn4you413 Welcome... https://xhamsterpremium.com/studios/me-myself-and-my-minge 回答 bobbymacgear 版主 5 年 前 merci beaucoup, hâte de faire connaissance 回答 mikkeporn 5 年 前 merci pour l'ajout 回答 bobbymacgear 版主 5 年 前 RégalsPaul VerlaineCroise tes cuisses sur ma têteDe façon à ce que ma langue,Taisant toute sotte harangue,Ne puisse plus que faire fêteÀ ton con ainsi qu’à ton cuDont je suis l’à-jamais vaincuComme de tout ton corps, du reste,Et de ton âme mal céleste,Et de ton esprit carnassierQui dévore en moi l’idéalEt m’a fait le plus putassierDu plus pur, du plus lilialQue j’étais avant ta rencontreDepuis des ans et puis des ans.Là, dispose-toi bien et montrePar quelques gestes complaisantsQu’au fond t’aimes ton vieux bonhommeOu du moins le souffre faisantMinette (avec boule de gomme)Et feuille de rose, tout commeUn plus jeune mieux séduisantSans doute mais moins bath en sommeQuant à la science et au faire.Ô ton con ! qu’il sent bon ! J’y fouilleTant de la gueule que du blaireEt j’y fais le diable et j’y flaireEt j’y farfouille et j’y bafouilleEt j’y renifle et oh ! j’y baveDans ton con à l’odeur cochonneQue surplombe une motte flaveEt qu’un duvet roux environneQui mène au trou miraculeuxOù je farfouille, où je bafouilleOù je renifle et où je baveAvec le soin méticuleuxEt l’âpre ferveur d’un esclaveAffranchi de tout préjugé.La raie adorable que j’aiLéchée amoroso depuisLes reins en passant par le puitsOù je m’attarde en un long stagePour les dévotions d’usage,Me conduit tout droit à la fenteTriomphante de mon infante.Là, je dis un salamalecAbsolument ésotériqueAu clitoris rien moins que sec,Si bien que ma tête d’en basQu’exaspèrent tous ces ébatsS’épanche en blanche rhétorique,Mais s’apaise dès ces prémisses.Et je m’endors entre tes cuissesQu’à travers tout cet émoi tendreLa fatigue t’a fait détendre.Paul Verlaine, Femmes, 1890 回答 朋友 203 J JulieM12 J Jeunequeu P pascal5457 N Nat5555 Maryjane02 S steph34001 M MiaMia01 L lapin58 L Lauracoquine18 A alexbzh 所有朋友
Paul Verlaine
Croise tes cuisses sur ma tête
De façon à ce que ma langue,
Taisant toute sotte harangue,
Ne puisse plus que faire fête
À ton con ainsi qu’à ton cu
Dont je suis l’à-jamais vaincu
Comme de tout ton corps, du reste,
Et de ton âme mal céleste,
Et de ton esprit carnassier
Qui dévore en moi l’idéal
Et m’a fait le plus putassier
Du plus pur, du plus lilial
Que j’étais avant ta rencontre
Depuis des ans et puis des ans.
Là, dispose-toi bien et montre
Par quelques gestes complaisants
Qu’au fond t’aimes ton vieux bonhomme
Ou du moins le souffre faisant
Minette (avec boule de gomme)
Et feuille de rose, tout comme
Un plus jeune mieux séduisant
Sans doute mais moins bath en somme
Quant à la science et au faire.
Ô ton con ! qu’il sent bon ! J’y fouille
Tant de la gueule que du blaire
Et j’y fais le diable et j’y flaire
Et j’y farfouille et j’y bafouille
Et j’y renifle et oh ! j’y bave
Dans ton con à l’odeur cochonne
Que surplombe une motte flave
Et qu’un duvet roux environne
Qui mène au trou miraculeux
Où je farfouille, où je bafouille
Où je renifle et où je bave
Avec le soin méticuleux
Et l’âpre ferveur d’un esclave
Affranchi de tout préjugé.
La raie adorable que j’ai
Léchée amoroso depuis
Les reins en passant par le puits
Où je m’attarde en un long stage
Pour les dévotions d’usage,
Me conduit tout droit à la fente
Triomphante de mon infante.
Là, je dis un salamalec
Absolument ésotérique
Au clitoris rien moins que sec,
Si bien que ma tête d’en bas
Qu’exaspèrent tous ces ébats
S’épanche en blanche rhétorique,
Mais s’apaise dès ces prémisses.
Et je m’endors entre tes cuisses
Qu’à travers tout cet émoi tendre
La fatigue t’a fait détendre.
Paul Verlaine, Femmes, 1890