Confinement (2)
Vous êtes toujours là ? Sagement confinés ?
Tant pis pour ceux qui ont choisi de faire un peu d’exercice autour de leur maison, ou qui ont décidé d’aller s’acheter quelques provisions. Pour ma part, je suis assise sur mon canapé chéri à siroter un petit cognac. Et revoilà la valse de mes souvenirs ! Si nous allions faire un petit tour dans les bois, histoire de prendre un peu l’air.
J’étais assise devant une coupe de champagne, dans un coin plutôt discret du bar du Plaza Athenée. Toute vêtue de noir ( des bottes de cuir noir qui remontaient jusqu’à une mini-jupe de cuir noir, une veste de cuir noir à col de fourrure, très courte elle aussi et assez ouverte pour que l’on puisse apercevoir la dentelle de mon petit haut noir, lui aussi, bien entendu.) Ais-je vraiment besoin de vous préciser la couleur de mes bas vintage et de mes escarpins ?
Les hommes qui passaient devant mon refuge avaient tendance à me regarder avec des yeux ronds, puis à s’emmêler les pieds dans leur valise. J’arrive toujours avec quelques minutes d’avance à mes rendez-vous, histoire de constater l’effet de mes tenues sur la gente masculine. Il faut croire que ce soir-là, j’avais mis dans le mille !
Enfin, il arriva. Il fit le tour de la petite table et s’installa en face de moi. Je remarquais sur son visage ce petit sourire mystérieux qu’il arborait à chacune de nos rencontres. Et Dieu sait que nos rendez-vous ne manquaient jamais de mystères et d’imprévus ! Cet ami avait le don de l’improvisation et je me demandais déjà dans quelle histoire insensée il allait nous entraîner tous les deux. Il commanda lui aussi une coupe de champagne et le quart d’heure qui suivit fût comblé par nos chuchotements discrets. La météo, le cinéma, les livres ; mais, rien qui ne puisse m’éclairer un peu plus sur le contenu de notre soirée.
Enfin, son sourire se fit un peu moins discret, il se pencha en avant et me demanda :
-Si nous allions faire un petit tour au bois ?
Surprise, je posai machinalement la main sur ma toque de fourrure, posée à côté de moi sur la banquette. Il faut dire que ce soir-là, la température n’était pas des plus clémente.
-Pourquoi pas ? Répondis-je en me levant.
Inutile de vous préciser qu’à ce moment-là, nous n’avions pas besoin d’une autorisation pour nous promener dans la nature.
Dans sa voiture, il faisait bien assez chaud pour que décide d’ôter ma veste. Tout en conduisant, il quittait quelquefois la route des yeux pour lorgner ma poitrine.
-Votre chemisier est sublime, dit-il en fixant la dentelle. Comme d’habitude, vous êtes désirable et tellement sexy.
-Merci.
-Je dois vous paraître un peu vieux jeu, non ?
-Absolument pas. J’aime me faire désirer, c’est un fait.
-S’il vous plaît, caressez-vous…
Très lentement, je me mis à pincer mes tétons par-dessus la soie douce du chemisier. Aussitôt, il lâcha une main de son volant et la posa sur son entrejambe. Une jolie petite bosse s’était déjà formée. Je ne sais plus combien de temps dura ce petit jeu érotique et nous arrivâmes sur une route bordée de grands arbres. Il braqua vers la gauche et s’engouffra dans un chemin secondaire pour finir par stopper sa voiture sur les rives d’un petit lac. Il faisait très sombre et une lune famélique faisait ce qu’elle pouvait pour nous offrir un léger halo de sa lumière. Au loin, je remarquais pourtant les lueurs blafardes de quelques feux d’automobiles garées sur le bas côté des rives du lac. Je me retournais vers mon ami. Il se tenait bien droit, les yeux fixés vers ces mêmes feux.
-Et maintenant ? Demandais-je .
Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais je fais assez souvent halte dans la catégorie « dogging » du site. Je n’ai pas besoin de visionner longtemps les différents films pour qu’une myriade d’images s’imposent ! Bref, continuons.
-Nous attendons quelques amis, me répondit-il sans changer de position. Veuillez ouvrir votre portière, s’il vous plaît.
J’obéis, et la lumière du plafonnier vint se mêler à celle de la lune. Un vent frais s’engouffra aussitôt dans l’habitacle. J’attrapais ma veste et emprisonnait mes cheveux dans ma toque de fourrure. Des ombres se dessinèrent, tout près des feux de voiture. Je compris que nos visiteurs avaient interprété la lumière du plafonnier comme un signal de notre part. Les ombres se transformèrent en silhouettes. Quelqu’un avançait maintenant en direction de notre voiture. C‘était un homme assez jeune vêtu d’un survêtement de sport et d’une veste à capuche. Sa capuche dissimulait la moitié de son visage. Il marchait d’un pas hésitant, se demandant probablement si notre signal était un bon signal. Il s’arrêta à quelques mètres seulement de nous. Etrange vision que ce jeune homme emmitouflé, enveloppé d’une écharpe de vapeur froide.
-Montrez-lui vos jambes, me demanda mon ami, d’une voix douce et calme.
Perdue dans mes pensées, Je sursautai.
-Comment ?
-Il veut savoir s’il peut nous rejoindre…
Encore une fois, j’obtempérais et laissait glisser mes jambes hors de l’habitacle.
Le jeune homme marqua un très léger temps d’arrêt et avança finalement dans notre direction. Il était maintenant tout proche mais je ne distinguais toujours pas son visage. Il stoppa et finit par s’adosser au capot de la voiture. Il fixait mes jambes, c’était indéniable !
-Aidez-le un peu, demanda mon ami.
Je caressai mes jambes lentement en laissant échapper un léger soupir. Je dois vous avouer qu’au tout début de cette scène inattendue je jouai un peu la comédie, mais, la situation devint tellement excitante que je me laissai aller…Le jeune homme aussi se décontracta.D’un geste brusque et soudain, Il baissa son pantalon et attrapa son sexe. Il martyrisa sa bite en se branlant frénétiquement.
-Doucement, fis-je en tentant de voir son visage.
J’avais maintenant glissé ma main sous ma courte jupe et je me caressai à mon tour. Il fit un grand pas dans ma direction pour se retrouver face à moi. Je distinguai enfin ses yeux. Son regard craintif et enfantin dans lequel flottait encore un soupçon de peur. Son sexe était devenu d’une taille impressionnante ! Je l’enveloppai d’une main douce et câline puis baissai un peu plus son pantalon pour atteindre et caresser ses petites boules encore cachées à l’abri du froid. Perdu dans ses gémissements, je perçus un craquement de branche. En tournant la tête je découvris un sexagénaire bedonnant enveloppé dans une parka. Il tenait un petit caniche en laisse. Il vient se positionner tout près de nous. Le chien se mit à japper, l’homme ne lui accorda aucune attention, les yeux rivés sur mes mains caressant le sexe du jeune garçon. Alors que je prenais la bite du jeune homme dans ma bouche, j’entendis le zip de la braguette du vieux. Sa bite était encore si petite et recroquevillée qu’il n’eut besoin que de son pouce et de son index pour se masturber. Le jeune avança une main hésitante et la plaqua enfin sur le haut de mes bas. Elle disparut finalement dans un endroit beaucoup plus chaud tandis que le vieil homme qui ne perdait pas une miette du spectacle grognait de plaisir. Le moins que l’on puisse dire c’est que ce jeune garçon n’était pas délicat et prévenant ! Il malaxait plus qu’il ne caressait !
Pardonnez-moi mais, ce doux souvenir est si présent maintenant, que je préfère m’allonger sur mon canapé. Je glisse la main sous ma culotte et commence à exciter un peu mon sexe…
Je sentis le souffle chaud de mon ami dans mon cou. Il me murmura un flot de mots obscènes et ses mains vinrent se plaquer sur mes seins. De plus en plus excitée, J’écartai légèrement les jambe, posai une main sur la tête du jeune homme et le poussait à s’agenouiller. Je remontai à peine ma jupe et lui fourrai ma bite dans sa bouche. Il l’accepta sans broncher et sa tête disparu dans mon entrejambe. Le vieux qui se branlait toujours en grognant s’approcha encore d’un pas et vint se coller à nous. Sa grosse main calleuse et poilue se glissa sans ménagement sous mon petit haut. Son geste était si désordonné et brutal qu’il déchira une partie de la dentelle. Son pantalon gisait sur le sol et j’en profitai pour caresser son ventre rebondi. Pendant ce temps-là, son caniche tournait toujours autour de nous en poussant des petits cris plaintifs qui se mêlaient aux nôtres.
Le jeune homme me butinait maintenant avec une telle fougue que je fermai un instant les yeux, envahie d’une chaleur intense. Quand je les rouvrit, la situation avait changé ! Un couple de quadras s’était joint à notre petit groupe. La femme, une brune aux cheveux très courts, portait un long manteau de fourrure. Son mari se tenait derrière elle, la main glissée dans l’ouverture de son pantalon. Manifestement habituée à ce genre de discipline nocturne, la belle se débarrassa de son manteau qui glissa dans l’herbe. Totalement nue, à l’exception d’un porte-jarretelle et d’une paire de bas, elle trouva très vite sa place dans notre équipe en se glissant sur le côté pour s’occuper de la bite de notre ancêtre. Elle englouti à pleine bouche la petite endormie et se lança dans une série impressionnante d’aller-retour frénétiques. Excité par son geste, son mari fit jaillir une bite longue et droite comme un I de son pantalon et l’enfourcha sur le champ !
N’y tenant plus, mon ami m’arracha à la bouche du jeune homme et me fit mettre à quatre pattes sur le siège. Ses gestes étaient si brusques et autoritaires qu’il arracha même ma culotte avant de me pénétrer comme un fou. Dans un premier temps, saisi par ce brusque revirement de situation, le jeune garçon se ressaisit bien vite en allant caresser la croupe de la femme avec ses mains et son sexe.
Ce fut le vieil homme qui capitula le premier en lâchant une première salve dans la bouche de la femme. Elle avala tout, ou presque, je ne peux l’affirmer. Puis, elle passa à la bite de son époux qui lui fit cadeau d’une dose plus importante du précieux nectar. Le jeune homme qui se masturbait maintenant en nous observant, mon ami et moi, envoya quelques giclées de sperme sur la carrosserie de la voiture en poussant des oh ! et des ha !
Mummm… quelle agréable sensation ! Je me branle lentement...Ma bite a maintenant une taille appréciable et ma main lui donne la chaleur qu’elle mérite..
Lorsque mon ami m’inonda, tous les invités à la fête apprécièrent en fins connaisseurs le bouquet final de ce feu d’artifice improvisé.
Et puis, comme ils étaient arrivés, nos visiteurs se fondirent dans la nuit. Très loin, nous n’entendîmes plus que les jappements du petit caniche.
Excusez mon incorrection mais, il me faut vous laisser.
A plus tard..
Tant pis pour ceux qui ont choisi de faire un peu d’exercice autour de leur maison, ou qui ont décidé d’aller s’acheter quelques provisions. Pour ma part, je suis assise sur mon canapé chéri à siroter un petit cognac. Et revoilà la valse de mes souvenirs ! Si nous allions faire un petit tour dans les bois, histoire de prendre un peu l’air.
J’étais assise devant une coupe de champagne, dans un coin plutôt discret du bar du Plaza Athenée. Toute vêtue de noir ( des bottes de cuir noir qui remontaient jusqu’à une mini-jupe de cuir noir, une veste de cuir noir à col de fourrure, très courte elle aussi et assez ouverte pour que l’on puisse apercevoir la dentelle de mon petit haut noir, lui aussi, bien entendu.) Ais-je vraiment besoin de vous préciser la couleur de mes bas vintage et de mes escarpins ?
Les hommes qui passaient devant mon refuge avaient tendance à me regarder avec des yeux ronds, puis à s’emmêler les pieds dans leur valise. J’arrive toujours avec quelques minutes d’avance à mes rendez-vous, histoire de constater l’effet de mes tenues sur la gente masculine. Il faut croire que ce soir-là, j’avais mis dans le mille !
Enfin, il arriva. Il fit le tour de la petite table et s’installa en face de moi. Je remarquais sur son visage ce petit sourire mystérieux qu’il arborait à chacune de nos rencontres. Et Dieu sait que nos rendez-vous ne manquaient jamais de mystères et d’imprévus ! Cet ami avait le don de l’improvisation et je me demandais déjà dans quelle histoire insensée il allait nous entraîner tous les deux. Il commanda lui aussi une coupe de champagne et le quart d’heure qui suivit fût comblé par nos chuchotements discrets. La météo, le cinéma, les livres ; mais, rien qui ne puisse m’éclairer un peu plus sur le contenu de notre soirée.
Enfin, son sourire se fit un peu moins discret, il se pencha en avant et me demanda :
-Si nous allions faire un petit tour au bois ?
Surprise, je posai machinalement la main sur ma toque de fourrure, posée à côté de moi sur la banquette. Il faut dire que ce soir-là, la température n’était pas des plus clémente.
-Pourquoi pas ? Répondis-je en me levant.
Inutile de vous préciser qu’à ce moment-là, nous n’avions pas besoin d’une autorisation pour nous promener dans la nature.
Dans sa voiture, il faisait bien assez chaud pour que décide d’ôter ma veste. Tout en conduisant, il quittait quelquefois la route des yeux pour lorgner ma poitrine.
-Votre chemisier est sublime, dit-il en fixant la dentelle. Comme d’habitude, vous êtes désirable et tellement sexy.
-Merci.
-Je dois vous paraître un peu vieux jeu, non ?
-Absolument pas. J’aime me faire désirer, c’est un fait.
-S’il vous plaît, caressez-vous…
Très lentement, je me mis à pincer mes tétons par-dessus la soie douce du chemisier. Aussitôt, il lâcha une main de son volant et la posa sur son entrejambe. Une jolie petite bosse s’était déjà formée. Je ne sais plus combien de temps dura ce petit jeu érotique et nous arrivâmes sur une route bordée de grands arbres. Il braqua vers la gauche et s’engouffra dans un chemin secondaire pour finir par stopper sa voiture sur les rives d’un petit lac. Il faisait très sombre et une lune famélique faisait ce qu’elle pouvait pour nous offrir un léger halo de sa lumière. Au loin, je remarquais pourtant les lueurs blafardes de quelques feux d’automobiles garées sur le bas côté des rives du lac. Je me retournais vers mon ami. Il se tenait bien droit, les yeux fixés vers ces mêmes feux.
-Et maintenant ? Demandais-je .
Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais je fais assez souvent halte dans la catégorie « dogging » du site. Je n’ai pas besoin de visionner longtemps les différents films pour qu’une myriade d’images s’imposent ! Bref, continuons.
-Nous attendons quelques amis, me répondit-il sans changer de position. Veuillez ouvrir votre portière, s’il vous plaît.
J’obéis, et la lumière du plafonnier vint se mêler à celle de la lune. Un vent frais s’engouffra aussitôt dans l’habitacle. J’attrapais ma veste et emprisonnait mes cheveux dans ma toque de fourrure. Des ombres se dessinèrent, tout près des feux de voiture. Je compris que nos visiteurs avaient interprété la lumière du plafonnier comme un signal de notre part. Les ombres se transformèrent en silhouettes. Quelqu’un avançait maintenant en direction de notre voiture. C‘était un homme assez jeune vêtu d’un survêtement de sport et d’une veste à capuche. Sa capuche dissimulait la moitié de son visage. Il marchait d’un pas hésitant, se demandant probablement si notre signal était un bon signal. Il s’arrêta à quelques mètres seulement de nous. Etrange vision que ce jeune homme emmitouflé, enveloppé d’une écharpe de vapeur froide.
-Montrez-lui vos jambes, me demanda mon ami, d’une voix douce et calme.
Perdue dans mes pensées, Je sursautai.
-Comment ?
-Il veut savoir s’il peut nous rejoindre…
Encore une fois, j’obtempérais et laissait glisser mes jambes hors de l’habitacle.
Le jeune homme marqua un très léger temps d’arrêt et avança finalement dans notre direction. Il était maintenant tout proche mais je ne distinguais toujours pas son visage. Il stoppa et finit par s’adosser au capot de la voiture. Il fixait mes jambes, c’était indéniable !
-Aidez-le un peu, demanda mon ami.
Je caressai mes jambes lentement en laissant échapper un léger soupir. Je dois vous avouer qu’au tout début de cette scène inattendue je jouai un peu la comédie, mais, la situation devint tellement excitante que je me laissai aller…Le jeune homme aussi se décontracta.D’un geste brusque et soudain, Il baissa son pantalon et attrapa son sexe. Il martyrisa sa bite en se branlant frénétiquement.
-Doucement, fis-je en tentant de voir son visage.
J’avais maintenant glissé ma main sous ma courte jupe et je me caressai à mon tour. Il fit un grand pas dans ma direction pour se retrouver face à moi. Je distinguai enfin ses yeux. Son regard craintif et enfantin dans lequel flottait encore un soupçon de peur. Son sexe était devenu d’une taille impressionnante ! Je l’enveloppai d’une main douce et câline puis baissai un peu plus son pantalon pour atteindre et caresser ses petites boules encore cachées à l’abri du froid. Perdu dans ses gémissements, je perçus un craquement de branche. En tournant la tête je découvris un sexagénaire bedonnant enveloppé dans une parka. Il tenait un petit caniche en laisse. Il vient se positionner tout près de nous. Le chien se mit à japper, l’homme ne lui accorda aucune attention, les yeux rivés sur mes mains caressant le sexe du jeune garçon. Alors que je prenais la bite du jeune homme dans ma bouche, j’entendis le zip de la braguette du vieux. Sa bite était encore si petite et recroquevillée qu’il n’eut besoin que de son pouce et de son index pour se masturber. Le jeune avança une main hésitante et la plaqua enfin sur le haut de mes bas. Elle disparut finalement dans un endroit beaucoup plus chaud tandis que le vieil homme qui ne perdait pas une miette du spectacle grognait de plaisir. Le moins que l’on puisse dire c’est que ce jeune garçon n’était pas délicat et prévenant ! Il malaxait plus qu’il ne caressait !
Pardonnez-moi mais, ce doux souvenir est si présent maintenant, que je préfère m’allonger sur mon canapé. Je glisse la main sous ma culotte et commence à exciter un peu mon sexe…
Je sentis le souffle chaud de mon ami dans mon cou. Il me murmura un flot de mots obscènes et ses mains vinrent se plaquer sur mes seins. De plus en plus excitée, J’écartai légèrement les jambe, posai une main sur la tête du jeune homme et le poussait à s’agenouiller. Je remontai à peine ma jupe et lui fourrai ma bite dans sa bouche. Il l’accepta sans broncher et sa tête disparu dans mon entrejambe. Le vieux qui se branlait toujours en grognant s’approcha encore d’un pas et vint se coller à nous. Sa grosse main calleuse et poilue se glissa sans ménagement sous mon petit haut. Son geste était si désordonné et brutal qu’il déchira une partie de la dentelle. Son pantalon gisait sur le sol et j’en profitai pour caresser son ventre rebondi. Pendant ce temps-là, son caniche tournait toujours autour de nous en poussant des petits cris plaintifs qui se mêlaient aux nôtres.
Le jeune homme me butinait maintenant avec une telle fougue que je fermai un instant les yeux, envahie d’une chaleur intense. Quand je les rouvrit, la situation avait changé ! Un couple de quadras s’était joint à notre petit groupe. La femme, une brune aux cheveux très courts, portait un long manteau de fourrure. Son mari se tenait derrière elle, la main glissée dans l’ouverture de son pantalon. Manifestement habituée à ce genre de discipline nocturne, la belle se débarrassa de son manteau qui glissa dans l’herbe. Totalement nue, à l’exception d’un porte-jarretelle et d’une paire de bas, elle trouva très vite sa place dans notre équipe en se glissant sur le côté pour s’occuper de la bite de notre ancêtre. Elle englouti à pleine bouche la petite endormie et se lança dans une série impressionnante d’aller-retour frénétiques. Excité par son geste, son mari fit jaillir une bite longue et droite comme un I de son pantalon et l’enfourcha sur le champ !
N’y tenant plus, mon ami m’arracha à la bouche du jeune homme et me fit mettre à quatre pattes sur le siège. Ses gestes étaient si brusques et autoritaires qu’il arracha même ma culotte avant de me pénétrer comme un fou. Dans un premier temps, saisi par ce brusque revirement de situation, le jeune garçon se ressaisit bien vite en allant caresser la croupe de la femme avec ses mains et son sexe.
Ce fut le vieil homme qui capitula le premier en lâchant une première salve dans la bouche de la femme. Elle avala tout, ou presque, je ne peux l’affirmer. Puis, elle passa à la bite de son époux qui lui fit cadeau d’une dose plus importante du précieux nectar. Le jeune homme qui se masturbait maintenant en nous observant, mon ami et moi, envoya quelques giclées de sperme sur la carrosserie de la voiture en poussant des oh ! et des ha !
Mummm… quelle agréable sensation ! Je me branle lentement...Ma bite a maintenant une taille appréciable et ma main lui donne la chaleur qu’elle mérite..
Lorsque mon ami m’inonda, tous les invités à la fête apprécièrent en fins connaisseurs le bouquet final de ce feu d’artifice improvisé.
Et puis, comme ils étaient arrivés, nos visiteurs se fondirent dans la nuit. Très loin, nous n’entendîmes plus que les jappements du petit caniche.
Excusez mon incorrection mais, il me faut vous laisser.
A plus tard..
4 年 前