Ma femme Véronique SUITE

Elle est a genoux sur le bord du fauteuil, les fesses cambrées. Les grosses lèvres de sa fente encore entrouvertes, luisantes de mouille. Devant ce spectacle, le sexe de Franck se redresse. Il s'approche et pose son gland encore humide sur la fente de ma femme. Il le frotte contre son clitoris, la faisant gémir à nouveau. Elle se retourne vers lui : - Non, mets-la dans mon cul ! Je suis surpris jamais elle ne m'en avait jamais fait la demande aussi directement. Ce qui me fait bander de nouveau moi aussi. Franck continue de se lubrifier la queue dans l'intimité de ma femme et pose son gland sur son anus. D'une impulsion, son gland énorme disparait dans le cul de Véro. Elle pousse un petit cri en se cambrant au maximum. Franck continue sa progression doucement, sa verge s'enfonce doucement. Véro pousse des râles de plus en plus fort, elle semble adorer cette queue qui l'encule doucement. Je m'approche pour jouir du spectacle. Franck s'est enfoncé profondément et je regarde son gros ventre poilu s'appuyer sur les reins de Véro. Il se retire et replonge sa queue dans le trou dilaté de ma femme, et commence à la pilonner en grognant. Je vois ses grosses couilles qui tapent les cuisses de ma femme qui crie de plus en plus fort. Les seins de Véro se balancent sous elle. Je les caresse en suivant le mouvement de son corps. Puis je glisse une main vers son sexe et je pose l'index sur son clitoris. Je le fais gonfler grâce aux coups de butoir de Franck qui donnent le mouvement. Elle hurle de plaisir, et jouis pendant de longues secondes. Franck se retire pour éjaculer de longs jets sur ses fesses tremblantes. Je me branle pour l'imiter, et je mélange mon foutre à celui de Franck. Elle se retourne soudain et enfourne la queue de Franck dans sa bouche, en suçant les dernières gouttes de sperme du sexe de notre invité. Elle s'effondre ensuite dans le fauteuil, chemisier ouvert sur ses seins en sueur. Franck s'agenouille et lui écarte les cuisses. Il la lèche goulûment. Elle pose ses mains sur son crâne dégarni en ondulant le bassin. Je regarde ma femme jouir encore devant moi, comme jamais auparavant...........................................................................................................................................................................................