Cherche l’inconnu de mon Hasard
Je doit sortir ce soir me changer d’air le respirer d’un grand bol un grand souffle c’est décider je monte sur paris il fait encore très beau très chaud c’est l’été Paris et ça joie d’été vous connaissez sapristi des journée à ne manquer surtout de c’est silhouette vêtu d’un sens à un autre c’est comme cette rose étoilée sur son jean tailler taille basse qui laisser apparaître délicatement son string rouge comme le rouge de ses lèvre lui aller si bien elle aussi quelle souvenir m’engoise de ne lui pas avoir parler et qui sait peut-être que je le reverrai .
Paris bombé de monde et dans tous les sens et moi seul au milieu de tous cela Paris celle qui ne te regarde jamais paris tourne donc tes jupes que l’on regarde sous tes jupe fleurissante à moi ce moment idiot que je conteste et vos parfums mon ivre délicatesse regarde moi inconnue de mon hasard sourie que je te décrive et que je cherche un écho de ta voix sensuelle que je t’entende illumine moi à de ce blanc transparent laissant voir sa nudite visible que j’y crois et ce vraiment vrai et de quelle beauté vous dirait je sont ses seins qui me merveille et qui pointe en ma direction
un songe je n’y crois pas à vrai dire mais cela et vrai je voulais dire me voilà timide sans voix balbutant je rougis palpitant de cette idiot je ne suis pas en me tenait fort à la barre du métro pour ne point tomber à se regard fixant que j’avais comme si je voulais mémoriser cette scène houleuse de cette poitrine qui me paraissait gigantesque
et enfin voilà deux d’entre elle monter à cette station énigmatique de la ligne 13 du métro parisien entre bienvenue de Monparnasse à Clémenceau l’heureux du hasard séduisante et une once de parfum les suivie et les embellit et tout en un instant me voilà entre ses fesse là main coincé dessinant de son leggings court d’un bleu transparent et humide le galbe la courbure parfaite de ses fesse son cu grande et frêle moelleuse à souhait se tournant de gauche à droite je frissonner de cette Situation qui me laisser sans voix que faire me dit je la ou je pressentez la pression qui me présenter ces fesse sur ma main sincèrement je n’aurais jamais osez y mettre la main en toute franchise là je l’avait pas fait exprès et jamais auparavant mais là le hasard a fait si bien les choses que ma main me marier littéralement à la barre d’acier qui me tenait debout devant son Culs et sans me sentir vulgairement a vrai dire j’étais dans son culs que j’y aurait pu palper son anus mouillé que je pouvais décrire très bien heureux la chance qui aurait pu faire rêver et sinon plus fantasmer literralement un gamin de vingt ans
je l’entendait parler à son amie sans m’avoir vue elle me donner l’impression qu’elle ne m’avait point remarquer ou suis je me suis dit à nouveau moi le présent de cette situation compliqué moi l’élégant que je veux être moi me voila rougir moi le métisse decomplexé quelle affaire qui n’arrive jamais pour un début de soiree .
Paris bombé de monde et dans tous les sens et moi seul au milieu de tous cela Paris celle qui ne te regarde jamais paris tourne donc tes jupes que l’on regarde sous tes jupe fleurissante à moi ce moment idiot que je conteste et vos parfums mon ivre délicatesse regarde moi inconnue de mon hasard sourie que je te décrive et que je cherche un écho de ta voix sensuelle que je t’entende illumine moi à de ce blanc transparent laissant voir sa nudite visible que j’y crois et ce vraiment vrai et de quelle beauté vous dirait je sont ses seins qui me merveille et qui pointe en ma direction
un songe je n’y crois pas à vrai dire mais cela et vrai je voulais dire me voilà timide sans voix balbutant je rougis palpitant de cette idiot je ne suis pas en me tenait fort à la barre du métro pour ne point tomber à se regard fixant que j’avais comme si je voulais mémoriser cette scène houleuse de cette poitrine qui me paraissait gigantesque
et enfin voilà deux d’entre elle monter à cette station énigmatique de la ligne 13 du métro parisien entre bienvenue de Monparnasse à Clémenceau l’heureux du hasard séduisante et une once de parfum les suivie et les embellit et tout en un instant me voilà entre ses fesse là main coincé dessinant de son leggings court d’un bleu transparent et humide le galbe la courbure parfaite de ses fesse son cu grande et frêle moelleuse à souhait se tournant de gauche à droite je frissonner de cette Situation qui me laisser sans voix que faire me dit je la ou je pressentez la pression qui me présenter ces fesse sur ma main sincèrement je n’aurais jamais osez y mettre la main en toute franchise là je l’avait pas fait exprès et jamais auparavant mais là le hasard a fait si bien les choses que ma main me marier littéralement à la barre d’acier qui me tenait debout devant son Culs et sans me sentir vulgairement a vrai dire j’étais dans son culs que j’y aurait pu palper son anus mouillé que je pouvais décrire très bien heureux la chance qui aurait pu faire rêver et sinon plus fantasmer literralement un gamin de vingt ans
je l’entendait parler à son amie sans m’avoir vue elle me donner l’impression qu’elle ne m’avait point remarquer ou suis je me suis dit à nouveau moi le présent de cette situation compliqué moi l’élégant que je veux être moi me voila rougir moi le métisse decomplexé quelle affaire qui n’arrive jamais pour un début de soiree .
6 年 前