Un homme comblé
« Maintenant tu vas me faire jouir avec ta langue »..le vêtement et les jambes s’écartent pour me laisser le passage, ma joue frôle l’intérieur de la cuisse, d’abord le bas soyeux mais froid, puis la chair tiède et douce. J’atteins l’aine, l’endroit où la peau est la plus souple et soyeuse. Je laisse mes lèvres s’attarder à cette place délicieuse, je respire les parfums de cette peau si délicate. Derrière l’odeur des sels de bains (rose et bois de santal ?) je sens un musc peu entêtant, une senteur a****le et boisée. Le sexe est là, devant mes yeux. Les grandes lèvres ouvertes et charnues laissent partiellement découvertes les petites lèvres roses et luisantes, à demie cachées dans la fente vulvaire. Mon objectif, le clitoris montre sa tête dans son capuchon. Il est comme une petite perle nacrée et brillante. Je l’embrasse, le léche de haut en bas,de bas en haut, de droite à gauche, de gauche à droite, vite, lentement, j’aspire, je tête en prenant entre mes lèvres et mes dents une partie des petites lèvres que je mordille...je varie le rythme et les mouvements mais n’arrête jamais. Parfois je descends jusqu’au vagin que je lape avec ardeur, je tends ma langue au maximum pour pénétrer le plus loin possible. Le goût n’est pas désagréable, salé mais ni acre,ni amer. Peut être est cela l’umami des japonais ? Je pourrai entrer mes doigts dans le vagin et atteindre le point G, mais elle a dit « avec la langue » alors je m’abstient. Je reprends mon travail ou plutôt ma dégustation du clitoris.. vite, lentement, de bas en haut, de gauche à droite...Combien de temps cela dure-t'il ? cinq, dix minutes, un quart d'heure ? plus ?? Je ne saurai le dire, j'ai perdu la notion du temps tellement je suis concentré sur ma tâche. Bientôt, j’entends le souffle de ma maîtresse qui s’accélère, je sens le ventre qui s’agite de spasmes de plus en plus forts, les hanches qui se mettent à chalouper....je dois m’agripper aux cuisses pour ne pas être désarçonné. Soudain, deux, trois râles de plus en plus forts, la respiration saccadée..c’est l’orgasme que je recherchais. Je dois continuer, plus vite, plus fort, plus profond... À nouveau la respiration haletante, les gémissements, les mouvements désordonnés...elle arque les reins, saisi ma tête qu'elle enfonce entre ses jambes...un nouveau cri, elle se relâche. Moi je continue de plus belle, en haut, en bas, à droite à gauche, la langue enfoncée dans le vagin, aspirer, téter...elle se crispe, dévoile sa poitrine dont elle triture les mamelons, les tire, les fait rouler.. Sa respiration est de plus en plus profonde,son ventre se contracte au dessus de ma tête, ses cuisses s’écartent et se ferment convulsivement, sous ma langue son clitoris devient rigide et j’ai l’impression qu’il grossit, puis elle pousse un grand cri, se tend comme un arc, serre ma tête entre ses cuisses comme dans un étau, je ne peux plus, ni ne désire, bouger. Elle se détend, me libère, repousse ma tête et reste étendue, calmée, j’espère comblée. Moi aussi je reprends mon souffle et mes esprits avec la satisfaction du devoir accompli. J’attends accroupis à ses pieds ses instructions.
Comment en suis je arrivé là ?
J’ai 42 ans, divorcé depuis 3 ans, bonne situation, bon physique, des relations, des amis, masculins et féminins, des aventures mais je m’ennuie...pour combler certaines soirées solitaires j’explore le net, je découvre des sites de plus en plus bizarres et même carrément zarbis. C’est sur l’un de ceux-ci que j’ai découvert une petite annonce : « maîtresse ch. soumis pour ménage et sexe » Pour m’amuser j’ai répondu et à ma grande surprise un dialogue s’est noué. Au bout de quelques soirées j’etais séduit, puis subjugué, puis convoqué ! Une règle simple fut fixée : obéissance immédiate et sans discussion. Le jour dit, en fin d’aprés midi, après avoir passé le code d’un bel immeuble parisien, je sonne au 4ème étage le cœur battant.
Ça y est je suis face à elle dans le hall de son appartement. Les photos du net n’etaient pas trompeuses. Elle est aussi grande que moi, les cheveux et les yeux d’un noir de jais. Son visage est pâle, presque diaphane. Peu de maquillage, sauf la bouche d’un rouge écarlate. Elle est vêtue d’un chemisier blanc et d’un tailleur sombre genre businesswoman. Par contre elle est pieds nus et me laisse voir ses ongles de la même couleur que ses lèvres : rouge éclatant. Elle me détaille longuement de la tête aux pieds sans dire un mot, puis « déshabille toi ». Conformément à nos convention je m’exécute. Arrivé au slip j’hésite un instant. Elle dit simplement « alors ? ». C’est suffisant et je me retrouve entièrement nu les bras ballants à quelques centimètres de cette femme superbe. Évidemment je bande comme une bête. Je ne ressent aucun sentiment de gêne ou de pudeur, au contraire je suis fier de lui montrer l’effet qu’elle me fait. « Branle toi !! ». J’att**** mon sexe à pleine main et commence de lents mouvements de va et vient tout en la regardant droit dans les yeux. « Plus vite, je suis pressée, je dois sortir dans une heure « . Sur ces encouragements j´accélère la cadence. En quelques minutes, les genoux tremblant et tout le corps électrisé, j’éjacule devant en elle sur le sol. Une goutte brillante tombe même sur l’ongle écarlate de son gros orteil ! Elle ne bronche pas. « Essuie ». Je m’exécute avec ma chemise en commençant par son pied que je frotte consciencieusement. Cette tâche accomplie elle m’invite à la suivre dans son très vaste appartement. Je reste nu derrière elle. « Bon, pour aujourd’hui tu nettoieras la cuisine et le salon. Ne traîne pas j’ai peu de temps ». Elle me montre les ustensiles, les emplacements ou j’aurai à ranger la vaisselle qui est dans la machine et tout ce qui est nécessaire à ma fonction domestique. Je la suis comme un petit chien en m’enivrant de son parfum et de sa voix. "commence immédiatement, je serai dans la chambre et la salle de bain mais ne me dérange pas". je me mets à l'ouvrage avec entrain toujours nu, la bite et les couilles brinquebalantes. C'est excitant. J’espère qu'elle me regardera. Alors que je suis à quatre pattes dans la cuisine occupé à essuyer le sol, je l’aperçoit traversant le couloir de la chambre à la salle de bain, entièrement nue. Qu’elle est belle !!! Mon érection qui s’etait quelque peu calmée avec les mains dans la lessive repart de plus belle. Est ce que je peux me branler ? Elle n’en saura rien... non ce serait déloyal et un mauvais départ pour notre relation. J’entends l’eau cascader dans la baignoire, je l’imagine rentrant dans la mousse, passant une éponge sur son corps, ses seins, son sexe...je ne peux m’empêcher de saisir ma tige, mais j’arrête aussitôt. Il faut respecter le contrat, être patient, la jouissance n’en sera que meilleure. Je reprends mes tâches avec ardeur, je dois finir avant qu’elle ne sorte. J’ai réussi juste à temps quand j’entends la porte de la salle de bain s’ouvrir. Elle apparaît en peignoir, les cheveux mouillés, resplendissante !! Elle inspecte rapidement mon travail qui semble la satisfaire. Elle me précède dans le salon, je sens que ma récompense est proche. Mon sexe est comme une barre de fer. Elle s’installe langoureusement dans le canapé. « Maintenant tu vas me faire jouir avec ta langue »
Comment en suis je arrivé là ?
J’ai 42 ans, divorcé depuis 3 ans, bonne situation, bon physique, des relations, des amis, masculins et féminins, des aventures mais je m’ennuie...pour combler certaines soirées solitaires j’explore le net, je découvre des sites de plus en plus bizarres et même carrément zarbis. C’est sur l’un de ceux-ci que j’ai découvert une petite annonce : « maîtresse ch. soumis pour ménage et sexe » Pour m’amuser j’ai répondu et à ma grande surprise un dialogue s’est noué. Au bout de quelques soirées j’etais séduit, puis subjugué, puis convoqué ! Une règle simple fut fixée : obéissance immédiate et sans discussion. Le jour dit, en fin d’aprés midi, après avoir passé le code d’un bel immeuble parisien, je sonne au 4ème étage le cœur battant.
Ça y est je suis face à elle dans le hall de son appartement. Les photos du net n’etaient pas trompeuses. Elle est aussi grande que moi, les cheveux et les yeux d’un noir de jais. Son visage est pâle, presque diaphane. Peu de maquillage, sauf la bouche d’un rouge écarlate. Elle est vêtue d’un chemisier blanc et d’un tailleur sombre genre businesswoman. Par contre elle est pieds nus et me laisse voir ses ongles de la même couleur que ses lèvres : rouge éclatant. Elle me détaille longuement de la tête aux pieds sans dire un mot, puis « déshabille toi ». Conformément à nos convention je m’exécute. Arrivé au slip j’hésite un instant. Elle dit simplement « alors ? ». C’est suffisant et je me retrouve entièrement nu les bras ballants à quelques centimètres de cette femme superbe. Évidemment je bande comme une bête. Je ne ressent aucun sentiment de gêne ou de pudeur, au contraire je suis fier de lui montrer l’effet qu’elle me fait. « Branle toi !! ». J’att**** mon sexe à pleine main et commence de lents mouvements de va et vient tout en la regardant droit dans les yeux. « Plus vite, je suis pressée, je dois sortir dans une heure « . Sur ces encouragements j´accélère la cadence. En quelques minutes, les genoux tremblant et tout le corps électrisé, j’éjacule devant en elle sur le sol. Une goutte brillante tombe même sur l’ongle écarlate de son gros orteil ! Elle ne bronche pas. « Essuie ». Je m’exécute avec ma chemise en commençant par son pied que je frotte consciencieusement. Cette tâche accomplie elle m’invite à la suivre dans son très vaste appartement. Je reste nu derrière elle. « Bon, pour aujourd’hui tu nettoieras la cuisine et le salon. Ne traîne pas j’ai peu de temps ». Elle me montre les ustensiles, les emplacements ou j’aurai à ranger la vaisselle qui est dans la machine et tout ce qui est nécessaire à ma fonction domestique. Je la suis comme un petit chien en m’enivrant de son parfum et de sa voix. "commence immédiatement, je serai dans la chambre et la salle de bain mais ne me dérange pas". je me mets à l'ouvrage avec entrain toujours nu, la bite et les couilles brinquebalantes. C'est excitant. J’espère qu'elle me regardera. Alors que je suis à quatre pattes dans la cuisine occupé à essuyer le sol, je l’aperçoit traversant le couloir de la chambre à la salle de bain, entièrement nue. Qu’elle est belle !!! Mon érection qui s’etait quelque peu calmée avec les mains dans la lessive repart de plus belle. Est ce que je peux me branler ? Elle n’en saura rien... non ce serait déloyal et un mauvais départ pour notre relation. J’entends l’eau cascader dans la baignoire, je l’imagine rentrant dans la mousse, passant une éponge sur son corps, ses seins, son sexe...je ne peux m’empêcher de saisir ma tige, mais j’arrête aussitôt. Il faut respecter le contrat, être patient, la jouissance n’en sera que meilleure. Je reprends mes tâches avec ardeur, je dois finir avant qu’elle ne sorte. J’ai réussi juste à temps quand j’entends la porte de la salle de bain s’ouvrir. Elle apparaît en peignoir, les cheveux mouillés, resplendissante !! Elle inspecte rapidement mon travail qui semble la satisfaire. Elle me précède dans le salon, je sens que ma récompense est proche. Mon sexe est comme une barre de fer. Elle s’installe langoureusement dans le canapé. « Maintenant tu vas me faire jouir avec ta langue »
7 年 前