Le goût du sperme
Très tôt, j’ai eu envie de gouter le sperme. Souvent, lors d’une branlette, je prenais la précaution de recueillir mon sperme dans la main, puis j’avalais mon sperme.
Plus tard, j’ai découvert le plaisir de me branler avec les jambes en l’air. Mon plaisir était différent d’une branlette ordinaire. Surtout, cela avait l’avantage de recevoir sur ma figure et ma bouche grande ouverte, les jets de sperme lorsque je jouissais. Puis, j’ai essayé l’auto-suce. Petit à petit, j’ai réussi à me sucer la queue lorsque je me branlais. Finalement, en me branlant et en me faisant une pipe, j’ai joui dans ma bouche. J’ai renouvelé plusieurs fois cette expérience, puis j’ai arrêté. D’abord, cela occasionnait des douleurs dorsales. Ensuite, et surtout, le plaisir que j’éprouvais en me suçant et en éjaculant dans ma bouche était très diminué par l’effort physique pour y arriver.
Je continue souvent à avaler mon sperme. Pour cela, je me branle longuement, en faisant des pauses afin de recueillir ma mouille (le « precum »). Puis, je m’excite jusqu’à la limite de l’éjaculation. Ma bite est très excitée et quelques gouttes de sperme montent à l’extrémité de mon gland. Je le recueille avec mes doigts et je l’avale. Je répète plusieurs fois cette manœuvre : un vrai délice ! A la fin, je me branle jusqu’au bout et je récupère mon sperme qui a giclé de ma bite, et je l’avale.
Plus tard, j’ai découvert le plaisir de me branler avec les jambes en l’air. Mon plaisir était différent d’une branlette ordinaire. Surtout, cela avait l’avantage de recevoir sur ma figure et ma bouche grande ouverte, les jets de sperme lorsque je jouissais. Puis, j’ai essayé l’auto-suce. Petit à petit, j’ai réussi à me sucer la queue lorsque je me branlais. Finalement, en me branlant et en me faisant une pipe, j’ai joui dans ma bouche. J’ai renouvelé plusieurs fois cette expérience, puis j’ai arrêté. D’abord, cela occasionnait des douleurs dorsales. Ensuite, et surtout, le plaisir que j’éprouvais en me suçant et en éjaculant dans ma bouche était très diminué par l’effort physique pour y arriver.
Je continue souvent à avaler mon sperme. Pour cela, je me branle longuement, en faisant des pauses afin de recueillir ma mouille (le « precum »). Puis, je m’excite jusqu’à la limite de l’éjaculation. Ma bite est très excitée et quelques gouttes de sperme montent à l’extrémité de mon gland. Je le recueille avec mes doigts et je l’avale. Je répète plusieurs fois cette manœuvre : un vrai délice ! A la fin, je me branle jusqu’au bout et je récupère mon sperme qui a giclé de ma bite, et je l’avale.
8 年 前