Avant (2)
Les doux prémices que ma mère me laissait entrevoir, sans que réellement je prenne conscience de leur teneur érotique, se concrétisèrent assez vite, et de la même façon que ceux auxquels j'étais accoutumé, lors de mes premières vacances chez ma grand-mère maternelle. Je ne m'en rendis compte que bien plus tard, mais tout était en place pour éduquer avec force et élégance l'enfant que j'étais, solliciter en lui l'éveil des goûts charnels.
Avec le recul je trouve cela bien banal, terriblement morne même, si ce n'était l'imagination infinie des femmes et des hommes pour nous faire jouir, et il faut l'écrire encore et encore et louer ces bienfaits.
Ma grand-mère, très jeune veuve, vivait avec sa sœur dans une maison simple mais bourgeoise du département de la Manche. Mes premiers souvenirs remontent à l'époque où toutes deux devaient déjà friser la soixantaine, tandis que j'avais déjà dépassé mes douze ans. Les habitudes doucement perverses de ma mère avaient déjà fait de moi un grand masturbateur et en son absence, le jardin près de la mer devint un champ d'expérimentation. Je me branlais plusieurs fois par jour, tantôt sur les arbres, tantôt sur les fleurs, tantôt à même le sol, à quatre pattes. Je jouissais dans la terre humide et chaude, dans la boue. Je m'en maculais, et je me pétrissais couilles et anus avec cette glaise avant de dégorger au sein même des sillons que ma queue avait tracés.
A ma grande surprise, je remarquai que ma grand-tante me suivait parfois de loin. C'était une femme mince, toujours élégante et un peu pincée ; sans doute parce qu'elle n'avait jamais connu de mari, étant ce que l'on appelait une veille fille. Je m'apercevrais assez vite qu'elle compensait ce manque par un comportement sexuel hors normes et bien à elle, mais pour l'instant je prenais plaisir à me montrer à moitié à poil, à jouer pour ainsi dire à cache cache. Je me dénudais lentement, devinant au loin son œil attentif. Cela n'allait pas plus loin, juste pour lui faire plaisir, par jeu, jusqu'au jour où, apercevant par delà la haie du voisin une imposante personne, je sentis le sang me monter au visage. Il y avait là une dame sur l'âge vêtue d'une robe de toile bleu marine arrivant juste sous le genou, penchée sur des poireaux ou je ne sais quelle culture elle m'offrait l'arrière de ses cuisses dans toute leur splendeur : deux poteaux blancs informes, gras, presque luisants, superbes. Sans le voir j'imaginais son cul, comme une masse dans laquelle tout pourrait arriver. Des chaussettes lui montaient très haut, des bas de laine probablement. Je me glissai derrière un pommier et commençai à m'astiquer avec précision. La jouissance aurait pu venir vite, tant la vulgarité, la pornographie presque du spectacle, était à son comble. Mais une main sur mon épaule m'interrompit. C'était ma tante, parvenue à pas de loups dans mon dos ; elle se colla à moi et me chuchota à l'oreille : — continue mon petit, continue. Si tu ne dis rien à mamie je vais te faire jouir avec ma bouche et tu auras le droit de lécher ma chatte.
Il en fut ainsi pendant de longues années dont ma mémoire garde une trace merveilleuse. Mais pour l'heure je n'y tins plus, et c'est la main de ma tante qui recueillit mes jets de sperme tandis que de l'autre elle tentait d'étouffer mes gémissements. Peine perdue, la bonne femme de l'autre côté de la haie avait dû nous entendre et je la vis se relever, se tourner vers nous et sourire grassement : — Alors ma salope (elle parlait ainsi à ma grand-tante!) tu l'as fait jouir le petit ? Tu vas voir, j'arrive, on va lui apprendre ce que c'est que des putains comme nous. Effrayé mais encore tout ému, tout moite et chaud je me retournai vers ma tante et je vis son rire hideux de chienne en rut, elle léchait le foutre que je venais de dégorger sur ses doigts : — Tu vas nous faire jouir, mon petit salaud, elle m'a dit.
…/...
Avec le recul je trouve cela bien banal, terriblement morne même, si ce n'était l'imagination infinie des femmes et des hommes pour nous faire jouir, et il faut l'écrire encore et encore et louer ces bienfaits.
Ma grand-mère, très jeune veuve, vivait avec sa sœur dans une maison simple mais bourgeoise du département de la Manche. Mes premiers souvenirs remontent à l'époque où toutes deux devaient déjà friser la soixantaine, tandis que j'avais déjà dépassé mes douze ans. Les habitudes doucement perverses de ma mère avaient déjà fait de moi un grand masturbateur et en son absence, le jardin près de la mer devint un champ d'expérimentation. Je me branlais plusieurs fois par jour, tantôt sur les arbres, tantôt sur les fleurs, tantôt à même le sol, à quatre pattes. Je jouissais dans la terre humide et chaude, dans la boue. Je m'en maculais, et je me pétrissais couilles et anus avec cette glaise avant de dégorger au sein même des sillons que ma queue avait tracés.
A ma grande surprise, je remarquai que ma grand-tante me suivait parfois de loin. C'était une femme mince, toujours élégante et un peu pincée ; sans doute parce qu'elle n'avait jamais connu de mari, étant ce que l'on appelait une veille fille. Je m'apercevrais assez vite qu'elle compensait ce manque par un comportement sexuel hors normes et bien à elle, mais pour l'instant je prenais plaisir à me montrer à moitié à poil, à jouer pour ainsi dire à cache cache. Je me dénudais lentement, devinant au loin son œil attentif. Cela n'allait pas plus loin, juste pour lui faire plaisir, par jeu, jusqu'au jour où, apercevant par delà la haie du voisin une imposante personne, je sentis le sang me monter au visage. Il y avait là une dame sur l'âge vêtue d'une robe de toile bleu marine arrivant juste sous le genou, penchée sur des poireaux ou je ne sais quelle culture elle m'offrait l'arrière de ses cuisses dans toute leur splendeur : deux poteaux blancs informes, gras, presque luisants, superbes. Sans le voir j'imaginais son cul, comme une masse dans laquelle tout pourrait arriver. Des chaussettes lui montaient très haut, des bas de laine probablement. Je me glissai derrière un pommier et commençai à m'astiquer avec précision. La jouissance aurait pu venir vite, tant la vulgarité, la pornographie presque du spectacle, était à son comble. Mais une main sur mon épaule m'interrompit. C'était ma tante, parvenue à pas de loups dans mon dos ; elle se colla à moi et me chuchota à l'oreille : — continue mon petit, continue. Si tu ne dis rien à mamie je vais te faire jouir avec ma bouche et tu auras le droit de lécher ma chatte.
Il en fut ainsi pendant de longues années dont ma mémoire garde une trace merveilleuse. Mais pour l'heure je n'y tins plus, et c'est la main de ma tante qui recueillit mes jets de sperme tandis que de l'autre elle tentait d'étouffer mes gémissements. Peine perdue, la bonne femme de l'autre côté de la haie avait dû nous entendre et je la vis se relever, se tourner vers nous et sourire grassement : — Alors ma salope (elle parlait ainsi à ma grand-tante!) tu l'as fait jouir le petit ? Tu vas voir, j'arrive, on va lui apprendre ce que c'est que des putains comme nous. Effrayé mais encore tout ému, tout moite et chaud je me retournai vers ma tante et je vis son rire hideux de chienne en rut, elle léchait le foutre que je venais de dégorger sur ses doigts : — Tu vas nous faire jouir, mon petit salaud, elle m'a dit.
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9 年 前