NOUS AVONS FAIT L AMOUR DANS SA CABINE DE PLAGE
J'avais 16 ans. J'étais en vacances au
bord de la[/image] mer avec mes parents. Un
après-midi, une radio itinérante avait
organisé des jeux sur un podium. Moi
j'adorais la foule, ou plus exactement
j'adorais dans la foule me frotter aux
femmes d'une quarantaine d'années,
ayant une poitrine assez imposante...
J'ai trouvé ma «proie», bien sûr en
maillot de bain, comme moi. Elle était
accompagnée de sa mère et de ses
deux enfants de 8 et 10 ans. C'était
une femme grande, brune, cheveux
mi-tongs, une poitrine abondante, des
fesses rondelettes, voilées par un maillot brésilien fluo. Je me suis approché
d'elle, par la gauche et, de mon
épaule droite, tout en regardant le
spectacle, j'ai effleuré son sein. Après
une petite demi-heure de cet attou-
chement discret, je suis passé derrière
elle. Les mains croisées sur mon sexe,
je me suis frotté à ses fesses. Elle ne
bougeait pas. J'ai retourné ma main
et, de la paume, je lui ai caressé la raie
des -fesses de haut en bas. Elle ne bou-
geait toujours pas. Et voilà qu'elle met
une main dans son dos, le pouce dans
son maillot, sans cesser de s'intéresser
au spectacle. A cette vue, j'ai plaqué
ma verge gonflée sur le revers de sa
main. en faisant des va-et-vient. Au
bout d'un moment, elle a dit assez
fort à la personne âgée qui l'accom-
pagnait qu'elle s'absentait pour une
course. D'un pas décidé, je l'ai suivie.
Arrivée sur la plage, elle s'est dirigée
vers une cabine en bois. sûrement la
sienne, où elle est entrée en me re-
gardant. Je suis entré à sa suite.
«Maintenant que tu m'as fait mouil-
1er. tu vas me faire l'amour». Elle a
baissé mon maillot, sorti ma verge
tendue, l'a engloutie dans sa bouche
et s'est livrée à de longs va-et-vient en
salivant abondamment. Puis elle a li-
béré ses seins aux pointes dressées, a
serré ma verge entre eux et recom-
menée à me sucer. Ce qui était le plus
excitant, c'était de penser à tous ces
gens qui bronzaient à proximité. S'ils
s'étaient douté du manège qui se pas-
sait dans la cabine 27! Ensuite, elle a
pris un flacon d'huile de bronzage, a
lubrifié mon sexe tendu, et m'a tendu
ses -fesses en me demandant de la so-
domiser. Avant, je lui ai fait une
feuille de rose. Puis, mon gland contre
son anus, j'ai poussé fortement. Elle
se mordillait les doigts pour ne faire
aucun bruit. J'ai éjaculé quelques.mi-
nutes après. Elle s'est retournée m'a
remercié et nous sommes sortis l'un
après l'autre de la cabine. Nous sommes retournés au spectacle qui,
pour moi, n'avait plus tellement une
grande importance.
bord de la[/image] mer avec mes parents. Un
après-midi, une radio itinérante avait
organisé des jeux sur un podium. Moi
j'adorais la foule, ou plus exactement
j'adorais dans la foule me frotter aux
femmes d'une quarantaine d'années,
ayant une poitrine assez imposante...
J'ai trouvé ma «proie», bien sûr en
maillot de bain, comme moi. Elle était
accompagnée de sa mère et de ses
deux enfants de 8 et 10 ans. C'était
une femme grande, brune, cheveux
mi-tongs, une poitrine abondante, des
fesses rondelettes, voilées par un maillot brésilien fluo. Je me suis approché
d'elle, par la gauche et, de mon
épaule droite, tout en regardant le
spectacle, j'ai effleuré son sein. Après
une petite demi-heure de cet attou-
chement discret, je suis passé derrière
elle. Les mains croisées sur mon sexe,
je me suis frotté à ses fesses. Elle ne
bougeait pas. J'ai retourné ma main
et, de la paume, je lui ai caressé la raie
des -fesses de haut en bas. Elle ne bou-
geait toujours pas. Et voilà qu'elle met
une main dans son dos, le pouce dans
son maillot, sans cesser de s'intéresser
au spectacle. A cette vue, j'ai plaqué
ma verge gonflée sur le revers de sa
main. en faisant des va-et-vient. Au
bout d'un moment, elle a dit assez
fort à la personne âgée qui l'accom-
pagnait qu'elle s'absentait pour une
course. D'un pas décidé, je l'ai suivie.
Arrivée sur la plage, elle s'est dirigée
vers une cabine en bois. sûrement la
sienne, où elle est entrée en me re-
gardant. Je suis entré à sa suite.
«Maintenant que tu m'as fait mouil-
1er. tu vas me faire l'amour». Elle a
baissé mon maillot, sorti ma verge
tendue, l'a engloutie dans sa bouche
et s'est livrée à de longs va-et-vient en
salivant abondamment. Puis elle a li-
béré ses seins aux pointes dressées, a
serré ma verge entre eux et recom-
menée à me sucer. Ce qui était le plus
excitant, c'était de penser à tous ces
gens qui bronzaient à proximité. S'ils
s'étaient douté du manège qui se pas-
sait dans la cabine 27! Ensuite, elle a
pris un flacon d'huile de bronzage, a
lubrifié mon sexe tendu, et m'a tendu
ses -fesses en me demandant de la so-
domiser. Avant, je lui ai fait une
feuille de rose. Puis, mon gland contre
son anus, j'ai poussé fortement. Elle
se mordillait les doigts pour ne faire
aucun bruit. J'ai éjaculé quelques.mi-
nutes après. Elle s'est retournée m'a
remercié et nous sommes sortis l'un
après l'autre de la cabine. Nous sommes retournés au spectacle qui,
pour moi, n'avait plus tellement une
grande importance.
10 年 前