1979 : premier commerce 1

C’est il y a longtemps, à la toute fin des années 70.
J’ai 16 ans et je vis en banlieue parisienne.
Avec mes parents, les conflits sont nombreux, incessants. Ce sont des gens simples qui ne peuvent comprendre ce que je leur répète chaque jour : le monde dans lequel ils croient vivre ne ressemble en rien à celui dans lequel j’évolue.
J’ai 16 ans et mes parents pensent que je n’ai nullement besoin d’argent de poche. Je n’ai pas un rond, rien, alors je truande dans le métro, je truande dans le bus, dans le train… Et je vole un peu quand le besoin se fait sentir et que l’occasion me semble propice.
Un samedi après-midi, j’ai la bonne ou mauvaise idée de chourer des vinyles chez un disquaire du Boulevard Saint Michel. Je sors avec 3 ou quatre disques dissimulés sous mon manteau et je me fais ratt****r sur le trottoir par le vigile… Emmené tout penaud dans l’arrière-boutique, menacé d’être remis aux flics, incapable de payer les disques volés, je me voie déjà partir aux galères… jusqu’au moment où le patron du magasin, après avoir fermé la porte au verrou, me propose un marché…
C’est la première fois que je voie un sexe d’adulte. Je veux dire par là, un sexe d’homme…
Je me sens hétéro à cent pour cent… Quelques minutes plus tôt, Isabelle, ma copine, a essayé de s’accrocher au bras du vigile lorsqu’il m’entraînait vers la boutique. Elle attend à quelques mètres de là, sur le trottoir, avec toute la bande qui s’inquiète de mon sort et se demande quoi faire… Non vraiment, je ne mange pas de ce pain là… « Tu me suces et tu te barres avec les disques, ok ? »
C’est la première fois je touche une bite, la première fois que je m’agenouille devant un mec, la première fois que je me fais traiter de « petite pute », la première fois que j’éprouve la texture d’un sexe d’homme dans ma bouche, la première fois que j’en sens l’odeur douçâtre, un peu pisseuse, d’une bite, une odeur plus forte que le parfum subtil des chattes que j’ai connues et goûtées jusque là…
Le disquaire est devenu tendre. Il se laisse aller… Ma terreur est qu’il exige de m’enculer. Je me fais des idées sur la douleur que ça doit provoquer. Je m’applique donc à sucer la queue du disquaire en m’inspirant des fellations que j’ai vu faire à mes copines successives… Je lèche consciencieusement les boules comme Patricia me l’a déjà fait. Je lèche la verge comme Nicole. Je me l’enfonce loin dans ma gorge comme je l’ai vu faire à Maryline.
Il faut croire que je suis doué. Pour le disquaire, je ne suis plus une simple « petite pute »… Je deviens peu à peu sa « petite salope » et puis sa « petite voleuse chérie »… « lèche moi le gland, p’tite voleuse, lèche moi ma chérie, lèche bien partout ma p’tite putain..»… Chose étrange, tout ça me fait bander…
Lorsque le disquaire gicle dans ma bouche je suis surpris par la douceur du processus. Je m’attendais à un jet violent. Non, c’est doux et tiède et ça se répand comme un gel… Je pense à du tapioca ou de la maïzéna… Même matière un peu gluante. Même saveur neutre, fade… Le disquaire jouit en silence et me bloque la tête contre son ventre pour bien se branler dans ma bouche et bien se vider jusqu’à la dernière petite goutte… Moi, j’avale, j’avale…
Il demeure ainsi un long moment et je le sens lentement ramollir…
J’ignore pourquoi mais je me sens obligé de lui faire sa toilette à coups de langue, des couilles jusqu’au gland, du gland jusqu’aux couilles. Il me remercie de cette sollicitude, m’aide à me relever, me tend les disques, se dirige vers la porte… Ça me vient comme ça, je ne sais pas pourquoi : « Je peux aussi tailler une pipe à votre vigile… heu… si vous voulez… »… Le disquaire s’arrête, me dévisage, me considère de la tête aux pieds : « non, je préfère te garder pour moi… On est fermé demain et lundi… repasse mardi vers 19 heures si tu veux… »…
Dehors, Isabelle, Nicole, Gilles, Hervé, Patrick, Christine et Martine m’attendent et n’en reviennent pas de me voir sortir, non seulement libre mais avec les disques. Je sens qu’Isabelle m’admire. Elle me saute au cou, m’embrasse sur la bouche.
Je songe à sa salive en train de se mélanger avec le sperme du disquaire. Ça me fait violemment bander et j’ai envie de la baiser. Pour la première fois de ma vie, j’éprouve le vertige de la duplicité et du mensonge.
11 年 前
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pasbeau 1 年 前
J'adore !!!!
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ropaul45
ropaul45 1 年 前
Bon récit
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la_putain
la_putain 1 年 前
Un bon début, superbe récit. Bravo!
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genesis9426 2 年 前
Hummmmmmmmm j' en bande encore. Merci.
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lapetitesoumise
lapetitesoumise 出版商 2 年 前
COYOTTE17 : merci
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COYOTTE17 2 年 前
superbe
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lapetitesoumise
lapetitesoumise 出版商 3 年 前
Viciolitaire-2018 : Merci d'avoir pris la peine de lire... Vraiment contente que tu apprécies
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Viciolitaire-2018
Splendide, j'adore !
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DocteurZed
Encore merci.
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lapetitesoumise
lapetitesoumise 出版商 5 年 前
jmca80 : je suis une salope si tu veux bien...
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jmca80
jmca80 5 年 前
tu m'as fais bander mon salaud
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coquin_du64 6 年 前
Super bandant 
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bicoeur
bicoeur 9 年 前
sa me fait juir
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masterscorp59
masterscorp59 9 年 前
ton recit ma fait bander je vais me faire disquaire lol
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baroubio
baroubio 10 年 前
Histoire bandante !!
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gg69000 10 年 前
très excitant ce récit!
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sandrajayde
sandrajayde 10 年 前
hummmm superbe
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minetboy
minetboy 11 年 前
ohoh génial !
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thx21
thx21 11 年 前
J'adore ton récit ! et puis cette phrase. Pour la première fois de ma vie, j’éprouve le vertige de la duplicité et du mensonge.
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Daniel952 11 年 前
oh la la
tu me fait bander, toi hummmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm
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Flashpoint1
Très bon témoignage.
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angie222
angie222 11 年 前
Belle histoire, j'aurai aimé être à ta place
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doris6536 11 年 前
Très belle histoire .... Continue : tu es doué
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Ophelietv 11 年 前
Vraiment, cela me fait saliver...
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sephare 11 年 前
trés excitant de t imaginer et de savoir que tu as donné mais tu as également pris du plaisir, continue....
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starsandstripes
Formidable.
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AngelyDeltorte
AngelyDeltorte 11 年 前
superbe histoire
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