Éric

Il est arrivé vers 20 heures chez nous. Mon mari a tout organisé depuis une semaine, son pote a expliqué qu’il allait voir un match de foot chez nous. Autant vous dire qu’il verra pas la télé ce soir. On discute depuis une dizaine de minutes en buvant un peu de champagne pour nous détendre, une première fois est toujours un peu stressante. Je me suis faite belle pour lui, Dim-up, robe prune assez courte et talons aiguilles. Petite surprise, j’ai pas de culotte mais il s’en apercevra plus tard. Je suis allée chez l’institut de beauté pour une épilation intégrale, j’ai le pubis et la vulve aussi lisses d’un caillou et j’ai même parfumé légèrement ma fente en prévision.
Je rapporte quelques grignotages et me penche un peu trop volontairement devant Éric puis je m’assois gentiment sur le canapé en face de lui, la robe remontant un chouia trop, je sais qu’il peut voir ma cuisse dénudée au dessus de mon bas. Mon mari parle de leur première rencontre via un ami commun, il y a 8 ans déjà, c’est ça? Il confirme. Puis ils discutent de tout et de rien, mon mari me caressant gentiment la nuque puis il me demande de m’assoir sur ses genoux et me dis que je suis très en beauté ce soir avant de m’embrasser. Une fois son baiser fougueux terminé, il propose à Éric de nous rejoindre sur le canapé. Il hésite, il semble intimidé, il sait qu’après ça sera le grand saut et que rien ne sera plus comme avant. Il s’approche enfin et je reprends ma place, entre lui et mon mari. J’embrasse Éric pour le détendre un peu, ma langue joue sur ses lèvres et ses dents, il se laisse faire puis commence à répondre à mon jeu avec sa langue aussi, c’est un bon début. Mon mari me caresse les fesses sur ma robe en regardant son pote me rouler une pelle.
- Tu vois? Ce n’était pas si difficile que ça.
- Pardon pour ma timidité mais tu es si belle et j’imaginais pas un jour t’embrasser comme ça.
C’est gentil ce qu’il vient de dire et ça me touche. Mon mari a déjà sorti sa bite, j’ai compris. Je me mets à genou devant le canapé et commence à le sucer tout lentement, en m’amusant avec son gland surtout, puis, parfois, en le prenant en entier dans ma bouche. Je regarde du coin de l’oeil Éric qui n’en perd pas une miette. Il doit se demander si c’est bien la même Marina qu’il connait depuis 8 ans qui est en train de sucer une bite devant lui avec envie.
- Si tu sors ta bite, je pense qu’elle se fera un plaisir de te faire pareil.
Il hésite une nouvelle fois puis déboutonne son jean et sort enfin sa queue. J’écarquille les yeux, il vient de déballer une teub d’étalon. Il cachait bien son jeu. Je tire mes cheveux en arrière et les attache avec le chouchou à mon poignet. J’empoigne son machin et commence à l’insérer dans ma bouche, je vais pas beaucoup plus loin que son énorme gland, j’en ai plein la bouche. Je le branle doucement en aspirant comme je peux, J’arrête pas de faire des bruits de déglutition. Ma bouche épouse parfaitement la hampe de sa bite en creusant mes joues, il regarde ce spectacle, ébahi. J’arrête de le pomper assez vite car je sais d’expérience maintenant que la première fois, certains peuvent tout balancer assez rapidement. Je me relève, le visage luisant de salive tandis que son pieu est tout baveux. Mon mari défait la fermeture éclair de ma robe et libère mes seins. Ils pointent bien déjà et mon homme aspire un téton. Son pote s’est figé devant ma poitrine. Son regard passe de mon visage à mes nibards non-stop. Je l’attire vers mon mamelon libre et il revient parmi nous. Je les branle, chacun d’un côté, pendant qu’ils me sucent comme il faut les seins, un vrai délice. Ce sont les grandes eaux de Versailles sous ma robe. Mon mari se dégage et m’invite à me relever. Me voilà devant Éric, les seins à l’air en talons aiguilles, ma robe tenant par sa ceinture. Mon homme glisse une main derrière moi sous ma robe et remarque tout de suite que j’ai la chatte qui dégouline, il étale bien ma mouille sur ma vulve, ça va être une vraie patinoire mais il faudra bien ça avec l’engin d’Éric. Je reste quelques secondes debout sans comprendre ce que veut exactement mon mari quand il m’indique la queue de son copain d’un signe de tête. Je me rapproche de lui les jambes écartées et m’agenouille sur le canapé face à lui, le bas de ma robe cache tout. Il a le visage dans ma poitrine. J’attrape sa queue et la frotte longuement sur ma fente pour bien écarter mes grandes lèvres. Je sens enfin son gros gland à l’entrée de mon vagin. Je vois qu’il retient sa respiration. Je m’affaisse d’un coup et m’empale sur son sexe. Je crie sans retenue.
- Aaah putain Chéri, elle est énorme. Viens à mes côtés.
Il se rapproche et je commence à onduler du bassin tout en le suçant pendant quelques minutes. J’entends Éric me demander de ne pas bouger trop vite. Je me relève en sentant son sexe glisser hors de moi puis enlève ma robe. Enfin nue, juste en bas et talons, je regarde le mastodonte que j’avais en moi juste avant, sa queue est enduite de cyprine. Lui fixe mon pubis imberbe, le gland de mon clitoris tout gonflé et rouge.
- Mon Dieu, t’es magnifique. Je peux te l’avouer maintenant que je t’ai déjà imaginer toute nue mais là ça dépasse mes rêves. J’arrive pas à croire que c’est toi, là, dévêtue devant moi. La même Marina que je connais depuis un bail.
- Mille mercis, t’es trop gentil.
Je me retourne pour qu’il voit enfin mes bonnes fesses comme il faut, je ressers un verre de champagne à tout le monde en exagérant mes mouvements et me penchant excessivement encore une fois. Il a une vue imprenable sur ma vulve toute luisante.
Je prends les deux verres et propose qu’on aille dans la chambre. J’ondule du cul vers le couloir sans attendre leur réponse. Une fois dans notre chambre, je tends son verre à Éric, encore perdu dans sa vision de mon gros cul ondulant devant lui puis à mon mari qui le pose sans attendre et me bascule en avant sur le lit. Il m’attrape par la queue de cheval pour m’obliger à me cambrer encore plus. Il m’embroche d’un coup et me pilonne à une cadence moyenne mais virile m’arrachant un petit cri à chaque fois qu’il tape au fond de ma paroi vaginale.
- J’adore secouer son boule comme ça.
Éric se branle en me regardant de profil, mes seins ballottant à chaque coup de butoir. Il se décale un peu pour mieux mater mon visage et mes grimaces de volupté.
- Viens profiter de la vue de ce côté plutôt, ça sera mieux quand même.
Mon mari laisse sa place derrière moi à son pote en insistant. Je suis tant bien que mal Éric du regard pour observer son attitude. Il fixe ma croupe avec minutie. Il est en train d’en faire une photographie mentale puis il pose une main sur une de mes hanches et avec l’autre appuie sa queue à l’entrée de mon orifice. Dès qu’il s’enfonce en moi, j’en ai le souffle coupé. Il est vraiment monté comme un âne ce salaud. Je sais d’avance qu’il va me faire couiner comme une folle si il se lâche vraiment. Je sens ses mains écarter mes fesses pour élargir un peu plus ma vulve. Ses coups de reins commencent à se faire plus violents. Des petits cris m’échappent à chaque fois que sa bite est entièrement en moi. J’ai envie qu’il me fasse jouir comme ça. Je le signale à mon mari.
- Tu l’as entendu? Démonte la comme elle le mérite.
Éric ne se le fait pas dire deux fois et se laisse aller en me mettant de grandes pétées à chaque mouvement. Je gémis de plus en plus fort ce qui a pour effet de le motiver encore plus. Je vais pas mettre longtemps à jouir à ce rythme là. Mon mari observe les rictus de plaisir sur mon visage en se branlant. Il me connait par coeur et il sait que je suis au bord de la jouissance. Faut dire que ça faisait longtemps qu’une grosse queue comme ça m’avait pas ramonée aussi bien. J’ai tout le bas-ventre incandescent. Je regarde dans les yeux mon homme au moment où l’orgasme me foudroie, mes râles envahissent la chambre et il m’embrasse pour les dévorer. Je m’affale sur le lit, groggy, pour récupérer un peu, je sais que ce n’est pas fini.
On me caresse doucement le dos sans que je sache qui, j’ai fermé les yeux pour savourer le bien-être qui a envahit mon corps. Les mains se déplacent vers mes fesses et les effleurent, j’en ai la chair de poule. On m’écarte les fesses et je sens une langue me lécher la rondelle. Cette fois je reconnais la façon de me bouffer le cul de mon mari. La langue s’insère par à-coup dans mon petit trou puis il écarte encore plus mes fesses pour l’élargir et je l’entends cracher dessus. Son doigt masse un peu mon anus et s’introduit dedans lentement et fait des mouvements circulaires délicats de plus en plus larges. Un deuxième entre en jeu et ma rondelle s’assouplit encore plus. C’est agréable et je me sens bien.
- Tu veux l’enculer en premier?
- Je peux? Ma femme n’a jamais voulu. Elle dit que j’en ai une trop grosse. (En moi, je me dit qu’elle a pas tort)
- Attends.
J’entends le tiroir de la table de chevet s’ouvrir et le clap d’un bouchon puis la fraîcheur du gel sur mon petit trou. Mon mari recommence la démarche précédente avec le lubrifiant en plus. Maintenant mon anus et mon rectum sont aussi glissants qu’une patinoire.
-Tiens, étale en bien sur ta bite aussi.
Je sens Éric se positionner derrière moi, j’écarte bien les jambes pour lui laisser de la place. Sa main gauche s’appuie pas loin de mon visage et je sens son gland faire déjà pression sur mon anus. Lui, il va pas faire semblant quand il va rentrer dans mon cul, c’est clair. Il cherche le bon angle. Je l’aide en écartant les fesses au maximum avec mes mains. Sa queue bien raide for.ce un peu, je pousse pour ouvrir mon anus comme je peux. Son énorme queue me dilate le trou du cul et s’engouffre bien comme il faut. Je crie de surprise, il s’arrête, je souffle plusieurs fois bruyamment pour calmer la petite douleur qui me titille bien. Sa deuxième main a pris position de l’autre côté de mon corps et il entame des petits va-et-vient. Mes sphincters se relâchent au fur et à mesure et sa queue coulisse de mieux en mieux. Je me cambre du mieux que je le peux pour faciliter la pénétration. Je m’accroche aux draps en prévision d’une accélération de ses mouvements, dans mon for intérieur, je me dis que si il le voulait vraiment, il pourrait me casser le cul sans problème même si j’encaisse bien. Il va de plus en plus profond mais sans intensifier la cadence de ses coups de rein. J’entends mon mari lui dire qu’il peut y aller plus fort mais Éric lui répond qu’il va éjaculer si il accélère, sa bite est tellement comprimée déjà. Mon mari comprend. Il lui demande d’arrêter et s’allonge sur le lit. Je capte immédiatement , je me bouge et m’empale à califourchon sur lui collant mon buste au sien. Il resserre ses jambes.
- Cale toi derrière elle comme tu peux et prend lui le cul à nouveau.
- Ça va jamais rentrer.
- On verra bien.
Je sens ses deux mains choper mes fesses et tirer dessus vers l’extérieur. J’imagine ma pastille caramel bien entrouverte déjà après le premier passage de sa queue comme une cible pour lui. Il tente de s’immiscer dans mon cul mais la bite de mon mari prend de la place et il n’y arrive pas. Il attend quelques secondes et recommence en appuyant de toutes ses forces. Sa queue se fraie un passage dans mon orifice rétréci. Il y a mis tout son coeur et elle s’est insinuée de toute sa longueur dans mes entrailles. Je hurle.
- OOOOh, Putain, il m’a déchiré le cul Chéri.
- Pardon, pardon.
Je le sens qui commence à se retirer.
- Surtout ne bouge pas, laisse moi juste le temps de récupérer un peu et je vais gérer.
De petites douleurs électrisent mes entrailles puis disparaissent doucement et je sens son énorme queue planté au fond de mon cul. C’est un peu comme si il m’avait dépucelé l’anus une nouvelle fois. Je caresse le visage de mon mari et l’embrasse tendrement en bougeant avec précaution mes hanches. En retirant et remettant à chaque fois la queue de son pote dans mes fesses centimètre par centimètre, je ne la sors pas trop quand même, je cherche le bon endroit pour moi. En même temps, mon clitoris frotte sur le pubis de mon mari. Je gémis de plus en plus fort, c’est divin cette stimulation simultanée. J’ai chaud dans tout le corps. Cette boule d’énergie que je chérie enfle en moi, plus que d’habitude, à la fois je veux en être libérée et soulagée mais j’ai encore envie qu’elle grandisse et devienne une super nova. Mon mari me retient les cheveux en arrière pour mieux voir mon visage quand je jouirais.
Quand tu verras qu’elle se contracte sous les spasmes, tu pourras lui défon.cer le cul comme tu veux, indique mon mari à Éric.
Il a raison, je serais tellement partie ailleurs qu’on pourrait me fister le cul sans que je m’en rende compte.
J’accélère mon ondulation, j’ai craqué et je ne peux plus attendre. Soudain, une explosion tétanise mon corps et irradie partout, je vois une lumière blanche et entend juste mon mari dire « Maintenant ». Une succession de tremblement de terre si intenses que j’en ai presque mal dévaste mon bas-ventre. Je reprends un peu mes esprits et ouvre les yeux. Mon mari est en train de jouir, je sens Éric m’empaler à grands coups de bite puis ses mouvements deviennent saccadés et il râle en éjaculant dans mon cul tout dilaté.