Chapitre 5 Dinette
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Nous sommes tous trois vêtus seulement de blancs peignoirs moelleux, allongés sur un tapis épais autour d'une table basse où tremblotent les flammes de trois bougies. Isabelle a ouvert une bouteille de ce vin blanc fruité dont ils sont friands, et nous dégustons nos verres sans parler. Mon sexe repose entre mes cuisses, mais je sens qu'il ne demande qu'à reprendre du volume. Le gros pénis de Nicolas, lui, semble plus en forme : il reste à demi dressé, le gland décalotté, prêt à l'action. Je me surprends à guetter cette friandise avec envie, pendant qu'Isabelle joue à la maîtresse de maison en nous apportant des plateaux garnis à portée de nos mains. Son parfum est toujours aussi envoûtant, et chacun de ses gestes exhale la sensualité et l'érotisme. Ses seins ballottent à chacun de ses pas, son peignoir reste ouvert et est si court qu'on voit ses fesses remuer avec grâce, appelant les caresses, si bien que je sens ma queue palpiter avec une force grandissante.
Enfin, elle cesse ses navettes et vient s'allonger entre nous deux. Elle émet un petit rire et saisit une petite saucisse apéritif entre ses doigts. Elle la suçote un instant puis me la tend :
Tiens, Michel, je suis sûre que tu vas aimer. À moins que tu préfères le modèle au-dessus, celui de Nicolas ?
Je rougis, car elle a deviné ma pensée, et mon désir larvé de prendre la grosse bite de son mari en bouche. Je sais que c'est ridicule, mais j'éprouve toujours de la honte d'apprécier autant la sensation nouvelle d'avoir un sexe masculin à déguster. En même temps, je salive à l'idée de recevoir cette queue sur ma langue... Alors, je prends la petite saucisse et la glisse entre mes lèvres en lui imprimant un mouvement de va-et-vient. Je décide d'assumer, et réponds en riant :
Oui, c'est vrai que ce petit calibre ne me va pas, et elle est aussi moins juteuse !
Tout trois nous éclatons de rire, et Nicolas me caresse gentiment le ventre :
Alors, je sens que je vais te gâter bientôt, mon chéri, dit-il !
Le toucher de sa grosse main suscite encore plus de désir en moi, et mon pénis commence à durcir. J'admire aussi les formes d'Isabelle : la soie de ses seins, les courbes de ses hanches, ses fesses bien rondes comme de beaux fruits à croquer. Elle pioche dans différentes coupelles, picore des amuse-gueules et des petits toasts tartinés de diverses friandises salées. Elle me regarde aussi avec intensité, et je crois qu'elle devine mes pensées. Consciente de mon dilemme, elle me dit d'un air sérieux :
Tu sais, tu ne dois pas avoir honte de tes désirs. Tu te découvres bisexuel, en ce moment tu aimerais sentir le sexe de mon homme dans ta main, dans ta bouche, et tu crois que c'est mal...
Je hoche la tête, confus qu'elle lise aussi bien en moi. Pour me donner une contenance, je détourne le regard et grignote une tartine de rillettes de poisson. Son goût iodé et salé m'évoque le vagin de mon interlocutrice qui poursuit :
Mais ce n'est pas mal, ni déviant. Tu laisses simplement libre cours à ton instinct et à ton plaisir. On t'a mis dans la tête des idées préconçues au sujet de ce qui se fait et de ce qui ne se fait pas. Pour un homme, coucher avec une femme est bien, mais sucer une bonne bite est mal ! Pourquoi ? Oublie tout ça, et dis-toi bien que, tant que tu ne fais de mal à personne, que tu ne forces personne, tu peux faire ce que tu veux.
Je hoche la tête sans rien dire. Sa philosophie est simple, et je suis sûr qu'un homme plus instruit que moi saurait la contredire avec des arguments bien choisis. Mais je n'ai pas envie de réfléchir à toutes ces choses, d'autant plus que son discours me rassure. Je lui souris et passe la main dans ses cheveux, puis ma caresse descend sur son cou, tout doucement. Elle ferme les yeux, émet un soupir d'aise, et rien que la vision de ses lèvres rouges et gonflées augmente mon désir. Nicolas nous regarde avec bienveillance, sans une trace de jalousie dans le regard. Au contraire, il semble heureux de voir sa femme recevoir les caresses d'un autre homme. De son côté, il ne reste pas inactif : sa main, chaude et un peu rude, descend de mon nombril jusqu'à mes testicules, qu'il effleure doucement, en une caresse légère. Un léger frisson me parcourt pendant qu'il joue avec mes poils, puis ses doigts parcourent mon périnée avant de toucher mon anus. C'est délicieux ! D'instinct, j'écarte les fesses afin qu'il puisse accentuer le contact sur ce point si sensible, et je sens mon petit trou palpiter. Son index chatouille le tour de ma rosette, puis appuie lentement, je sens son ongle court s'insinuer en moi, bientôt suivi de la première phalange, puis de la deuxième... C'est si bon que je pousse un petit cri. Jamais personne n'avait touché mon trou intime. Voilà quelques jours encore, si on m'avait parlé de sodomie, si un homme m'avait proposé un tel acte, je crois que j'aurais été offusqué, scandalisé. Mais maintenant, alors que ma main s'égare dans le dos d'Isabelle en direction de ses fesses, dans cette ambiance hautement sexuelle, je me sens terriblement excité par ce doigt qui me pénètre, et je m'avoue que j'en désire davantage.
Nicolas se rapproche de moi dans un mouvement de reptation, son visage s'approche du mien, et je ne refuse pas le baiser qu'il me donne, long, profond, passionné. Ma langue joue avec la sienne, parcourt son palais, nos souffles se mélangent et s'accélèrent. Pendant ce temps, son doigt recourbé entame un mouvement de rotation dans mon cul qui me déclenche une forte érection. Je ne pensais pas pouvoir bander à nouveau aussi vite, mais c'était sans compter sur cette pratique nouvelle pour moi ! Isabelle nous regarde avec un sourire épanoui pendant que je lui malaxe les fesses. Voyant ma bite à nouveau érigée, elle glousse et saisit une cuillère d’œufs de lump qu'elle déverse sur mon gland. Elle se penche avec souplesse et gobe le tout, la gourmande. La sensation de sa langue cueillant les globes minuscules sur la peau sensible de ma queue s'avère divine, et je geins en serrant une fesse potelée avec ma main droite. Je voudrais que ce moment dure toujours, mais mes deux amants se redressent, complices :
Allons, vilain soumis, susurre, Isabelle, nous avons tout notre temps. Déguste quelques friandises, plutôt.
Et elle se débarrasse de son peignoir pour s'enduire la pointe des seins avec une petite quantité de crème aromatisée à l'aneth. Je me précipite pour lécher les tétons ainsi parfumés, en même temps que Nicolas. Nous voilà comme deux enfants tétant la même nourrice, qui pousse de doux soupirs de contentement. Bientôt, les seins d'Isabelle luisent de salive, mais nous ne cessons pas de les titiller et même de les mordiller. La main de Nicolas a abandonné mon anus, à mon grand regret, pour venir caresser le vagin de sa femme. De mon côté, je ne reste pas inactif : ma main droite caresse mon sexe, pendant que la gauche branle Nicolas. Nous nous trouvons entremêlés, et la pièce résonne de soupirs. Enfin, nous nous séparons pour reprendre notre souffle. Les joues d'Isabelle sont empourprées de désir, on la sent prête à se déchaîner de nouveau. Je ne peux m'empêcher d'admirer le tempérament volcanique de cette femme, qui ne semble jamais lasse du sexe.
Nicolas montre aussi une belle endurance : sa queue a retrouvé toute sa vigueur dans ma main, et une goutte de liquide translucide orne déjà son méat, comme une perle minuscule. J'ai envie de la cueillir du bout de la langue, mais Isabelle est plus rapide : elle saisit un petit blini et le passe sur le gland rougi de Nicolas, avant de l'engloutir d'un geste vif. Elle mâche lentement, et avale en émettant un petit soupir de satisfaction. C'est comme le signal pour qu'une sorte de frénésie s'empare de nous. La dinette tranquille et reposante se transforme en orgie ! Isabelle prend une poignée de mousse de saumon dans sa paume et m'en enduit le pénis, en serrant bien fort. La sensation de cette substance fraîche et grasse sur ma queue me surprend et me galvanise, mon membre se tend, tout épuisement oublié. Elle me branle un peu avant de se pencher et de m'engloutir la bite jusqu'à la base, au risque de s'étouffer. Puis elle remonte avec lenteur pour bien déguster toute la mousse le long de ma tige. Tout mon corps frémit de cette caresse, et je dois me concentrer pour ne pas jouir tout de suite. Cependant, le spectacle que m'offre Nicolas m'excite encore davantage : en effet, pour me prendre en bouche, Isabelle s'est accroupie, buste en avant, si bien que ses fesses se trouvent juste au niveau du visage de son mari. Il lui enduit alors la raie d'une généreuse couche de rillettes, en insistant bien sur la rosette épanouie. Ses doigts épais pénètrent le trou du cul ainsi lubrifié avec aisance, et il pistonne l'anus d'Isabelle pendant un bon moment, avant de les retirer et de coller sa bouche dans l'entre-fesse. Il mange avec avidité, en poussant des grognements animaux et en léchant la moindre parcelle de nourriture. Sa femme apprécie ce traitement, car je sens ses lèvres se crisper autour de ma bite au point que je redoute qu'elle me morde. Mais elle redresse la tête avant de lâcher dans un râle :
Ho oui, c'est bon, bouffe-moi le cul !
Quelque temps avant, si on avait évoqué ce genre de scène devant moi, j'aurais sans doute joué à l'offusqué, choqué par une pratique dégoûtante, dégradante. Maintenant, tandis que la langue experte d'Isabelle titille le bout de mon gland, élargit mon méat avant que ses lèvres ne posent le plus doux des baisers sur ma hampe, je trouve nos ébats délicieux, et que la bonne morale aille, elle aussi, se faire foutre !
Mais je ne perds pas de temps à réfléchir : je me sens attiré irrésistiblement par la grosse bite de Nicolas, qui continue à lécher l'anus de sa femme. Comme il repose sur le côté à quelques centimètres de moi, je n'ai qu'à effectuer une courte reptation pour que ma bouche se retrouve à portée. Nous formons maintenant un triangle de corps déchaînés, et je referme les lèvres sur le gland rouge et chaud. J'apprécie de plus en plus la fellation, cette sensation de chair palpitante me remplissant la bouche, ce goût un peu acre et pourtant savoureux. D'un mouvement de reins, Nicolas pousse sa grosse tige au plus profond, j' en ai le souffle coupé, mais je m'efforce de ne pas tousser pour avaler la totalité de la verge frémissante. Puis il se retire un peu, me laissant le loisir de respirer et de sucer délicatement son gland gonflé au maximum. Ma main droite serre ses couilles, je voudrais les presser pour en extraire tout le jus, mais il se retient pendant que mon autre main glisse entre ses fesses pour lui rendre la caresse qu'il m'a faite tout à l'heure. Mon index s'introduit sans peine dans son anus, je le sens qui se crispe, et sa queue frémit sur ma langue. Son gland produit un petit bruit de bouchon quand il le retire de ma bouche serrée, il est trempé de ma salive, et une goutte de liquide transparent perle de son méat. J'accentue le mouvement de mon doigt, je presse encore un peu plus ses boules, et il ne peut retenir un gémissement, tandis qu'un flot de sperme jaillit et m'éclabousse le visage, poissant mes lèvres et mon menton. Nicolas pousse un grand cri de délivrance, assourdi par les fesses d'Isabelle, et pendant ce temps je bois les dernières gouttes de foutre directement à sa bite. Pour un dîner, je pourrai dire que j'ai été bien nourri !
Nous sommes tous trois vêtus seulement de blancs peignoirs moelleux, allongés sur un tapis épais autour d'une table basse où tremblotent les flammes de trois bougies. Isabelle a ouvert une bouteille de ce vin blanc fruité dont ils sont friands, et nous dégustons nos verres sans parler. Mon sexe repose entre mes cuisses, mais je sens qu'il ne demande qu'à reprendre du volume. Le gros pénis de Nicolas, lui, semble plus en forme : il reste à demi dressé, le gland décalotté, prêt à l'action. Je me surprends à guetter cette friandise avec envie, pendant qu'Isabelle joue à la maîtresse de maison en nous apportant des plateaux garnis à portée de nos mains. Son parfum est toujours aussi envoûtant, et chacun de ses gestes exhale la sensualité et l'érotisme. Ses seins ballottent à chacun de ses pas, son peignoir reste ouvert et est si court qu'on voit ses fesses remuer avec grâce, appelant les caresses, si bien que je sens ma queue palpiter avec une force grandissante.
Enfin, elle cesse ses navettes et vient s'allonger entre nous deux. Elle émet un petit rire et saisit une petite saucisse apéritif entre ses doigts. Elle la suçote un instant puis me la tend :
Tiens, Michel, je suis sûre que tu vas aimer. À moins que tu préfères le modèle au-dessus, celui de Nicolas ?
Je rougis, car elle a deviné ma pensée, et mon désir larvé de prendre la grosse bite de son mari en bouche. Je sais que c'est ridicule, mais j'éprouve toujours de la honte d'apprécier autant la sensation nouvelle d'avoir un sexe masculin à déguster. En même temps, je salive à l'idée de recevoir cette queue sur ma langue... Alors, je prends la petite saucisse et la glisse entre mes lèvres en lui imprimant un mouvement de va-et-vient. Je décide d'assumer, et réponds en riant :
Oui, c'est vrai que ce petit calibre ne me va pas, et elle est aussi moins juteuse !
Tout trois nous éclatons de rire, et Nicolas me caresse gentiment le ventre :
Alors, je sens que je vais te gâter bientôt, mon chéri, dit-il !
Le toucher de sa grosse main suscite encore plus de désir en moi, et mon pénis commence à durcir. J'admire aussi les formes d'Isabelle : la soie de ses seins, les courbes de ses hanches, ses fesses bien rondes comme de beaux fruits à croquer. Elle pioche dans différentes coupelles, picore des amuse-gueules et des petits toasts tartinés de diverses friandises salées. Elle me regarde aussi avec intensité, et je crois qu'elle devine mes pensées. Consciente de mon dilemme, elle me dit d'un air sérieux :
Tu sais, tu ne dois pas avoir honte de tes désirs. Tu te découvres bisexuel, en ce moment tu aimerais sentir le sexe de mon homme dans ta main, dans ta bouche, et tu crois que c'est mal...
Je hoche la tête, confus qu'elle lise aussi bien en moi. Pour me donner une contenance, je détourne le regard et grignote une tartine de rillettes de poisson. Son goût iodé et salé m'évoque le vagin de mon interlocutrice qui poursuit :
Mais ce n'est pas mal, ni déviant. Tu laisses simplement libre cours à ton instinct et à ton plaisir. On t'a mis dans la tête des idées préconçues au sujet de ce qui se fait et de ce qui ne se fait pas. Pour un homme, coucher avec une femme est bien, mais sucer une bonne bite est mal ! Pourquoi ? Oublie tout ça, et dis-toi bien que, tant que tu ne fais de mal à personne, que tu ne forces personne, tu peux faire ce que tu veux.
Je hoche la tête sans rien dire. Sa philosophie est simple, et je suis sûr qu'un homme plus instruit que moi saurait la contredire avec des arguments bien choisis. Mais je n'ai pas envie de réfléchir à toutes ces choses, d'autant plus que son discours me rassure. Je lui souris et passe la main dans ses cheveux, puis ma caresse descend sur son cou, tout doucement. Elle ferme les yeux, émet un soupir d'aise, et rien que la vision de ses lèvres rouges et gonflées augmente mon désir. Nicolas nous regarde avec bienveillance, sans une trace de jalousie dans le regard. Au contraire, il semble heureux de voir sa femme recevoir les caresses d'un autre homme. De son côté, il ne reste pas inactif : sa main, chaude et un peu rude, descend de mon nombril jusqu'à mes testicules, qu'il effleure doucement, en une caresse légère. Un léger frisson me parcourt pendant qu'il joue avec mes poils, puis ses doigts parcourent mon périnée avant de toucher mon anus. C'est délicieux ! D'instinct, j'écarte les fesses afin qu'il puisse accentuer le contact sur ce point si sensible, et je sens mon petit trou palpiter. Son index chatouille le tour de ma rosette, puis appuie lentement, je sens son ongle court s'insinuer en moi, bientôt suivi de la première phalange, puis de la deuxième... C'est si bon que je pousse un petit cri. Jamais personne n'avait touché mon trou intime. Voilà quelques jours encore, si on m'avait parlé de sodomie, si un homme m'avait proposé un tel acte, je crois que j'aurais été offusqué, scandalisé. Mais maintenant, alors que ma main s'égare dans le dos d'Isabelle en direction de ses fesses, dans cette ambiance hautement sexuelle, je me sens terriblement excité par ce doigt qui me pénètre, et je m'avoue que j'en désire davantage.
Nicolas se rapproche de moi dans un mouvement de reptation, son visage s'approche du mien, et je ne refuse pas le baiser qu'il me donne, long, profond, passionné. Ma langue joue avec la sienne, parcourt son palais, nos souffles se mélangent et s'accélèrent. Pendant ce temps, son doigt recourbé entame un mouvement de rotation dans mon cul qui me déclenche une forte érection. Je ne pensais pas pouvoir bander à nouveau aussi vite, mais c'était sans compter sur cette pratique nouvelle pour moi ! Isabelle nous regarde avec un sourire épanoui pendant que je lui malaxe les fesses. Voyant ma bite à nouveau érigée, elle glousse et saisit une cuillère d’œufs de lump qu'elle déverse sur mon gland. Elle se penche avec souplesse et gobe le tout, la gourmande. La sensation de sa langue cueillant les globes minuscules sur la peau sensible de ma queue s'avère divine, et je geins en serrant une fesse potelée avec ma main droite. Je voudrais que ce moment dure toujours, mais mes deux amants se redressent, complices :
Allons, vilain soumis, susurre, Isabelle, nous avons tout notre temps. Déguste quelques friandises, plutôt.
Et elle se débarrasse de son peignoir pour s'enduire la pointe des seins avec une petite quantité de crème aromatisée à l'aneth. Je me précipite pour lécher les tétons ainsi parfumés, en même temps que Nicolas. Nous voilà comme deux enfants tétant la même nourrice, qui pousse de doux soupirs de contentement. Bientôt, les seins d'Isabelle luisent de salive, mais nous ne cessons pas de les titiller et même de les mordiller. La main de Nicolas a abandonné mon anus, à mon grand regret, pour venir caresser le vagin de sa femme. De mon côté, je ne reste pas inactif : ma main droite caresse mon sexe, pendant que la gauche branle Nicolas. Nous nous trouvons entremêlés, et la pièce résonne de soupirs. Enfin, nous nous séparons pour reprendre notre souffle. Les joues d'Isabelle sont empourprées de désir, on la sent prête à se déchaîner de nouveau. Je ne peux m'empêcher d'admirer le tempérament volcanique de cette femme, qui ne semble jamais lasse du sexe.
Nicolas montre aussi une belle endurance : sa queue a retrouvé toute sa vigueur dans ma main, et une goutte de liquide translucide orne déjà son méat, comme une perle minuscule. J'ai envie de la cueillir du bout de la langue, mais Isabelle est plus rapide : elle saisit un petit blini et le passe sur le gland rougi de Nicolas, avant de l'engloutir d'un geste vif. Elle mâche lentement, et avale en émettant un petit soupir de satisfaction. C'est comme le signal pour qu'une sorte de frénésie s'empare de nous. La dinette tranquille et reposante se transforme en orgie ! Isabelle prend une poignée de mousse de saumon dans sa paume et m'en enduit le pénis, en serrant bien fort. La sensation de cette substance fraîche et grasse sur ma queue me surprend et me galvanise, mon membre se tend, tout épuisement oublié. Elle me branle un peu avant de se pencher et de m'engloutir la bite jusqu'à la base, au risque de s'étouffer. Puis elle remonte avec lenteur pour bien déguster toute la mousse le long de ma tige. Tout mon corps frémit de cette caresse, et je dois me concentrer pour ne pas jouir tout de suite. Cependant, le spectacle que m'offre Nicolas m'excite encore davantage : en effet, pour me prendre en bouche, Isabelle s'est accroupie, buste en avant, si bien que ses fesses se trouvent juste au niveau du visage de son mari. Il lui enduit alors la raie d'une généreuse couche de rillettes, en insistant bien sur la rosette épanouie. Ses doigts épais pénètrent le trou du cul ainsi lubrifié avec aisance, et il pistonne l'anus d'Isabelle pendant un bon moment, avant de les retirer et de coller sa bouche dans l'entre-fesse. Il mange avec avidité, en poussant des grognements animaux et en léchant la moindre parcelle de nourriture. Sa femme apprécie ce traitement, car je sens ses lèvres se crisper autour de ma bite au point que je redoute qu'elle me morde. Mais elle redresse la tête avant de lâcher dans un râle :
Ho oui, c'est bon, bouffe-moi le cul !
Quelque temps avant, si on avait évoqué ce genre de scène devant moi, j'aurais sans doute joué à l'offusqué, choqué par une pratique dégoûtante, dégradante. Maintenant, tandis que la langue experte d'Isabelle titille le bout de mon gland, élargit mon méat avant que ses lèvres ne posent le plus doux des baisers sur ma hampe, je trouve nos ébats délicieux, et que la bonne morale aille, elle aussi, se faire foutre !
Mais je ne perds pas de temps à réfléchir : je me sens attiré irrésistiblement par la grosse bite de Nicolas, qui continue à lécher l'anus de sa femme. Comme il repose sur le côté à quelques centimètres de moi, je n'ai qu'à effectuer une courte reptation pour que ma bouche se retrouve à portée. Nous formons maintenant un triangle de corps déchaînés, et je referme les lèvres sur le gland rouge et chaud. J'apprécie de plus en plus la fellation, cette sensation de chair palpitante me remplissant la bouche, ce goût un peu acre et pourtant savoureux. D'un mouvement de reins, Nicolas pousse sa grosse tige au plus profond, j' en ai le souffle coupé, mais je m'efforce de ne pas tousser pour avaler la totalité de la verge frémissante. Puis il se retire un peu, me laissant le loisir de respirer et de sucer délicatement son gland gonflé au maximum. Ma main droite serre ses couilles, je voudrais les presser pour en extraire tout le jus, mais il se retient pendant que mon autre main glisse entre ses fesses pour lui rendre la caresse qu'il m'a faite tout à l'heure. Mon index s'introduit sans peine dans son anus, je le sens qui se crispe, et sa queue frémit sur ma langue. Son gland produit un petit bruit de bouchon quand il le retire de ma bouche serrée, il est trempé de ma salive, et une goutte de liquide transparent perle de son méat. J'accentue le mouvement de mon doigt, je presse encore un peu plus ses boules, et il ne peut retenir un gémissement, tandis qu'un flot de sperme jaillit et m'éclabousse le visage, poissant mes lèvres et mon menton. Nicolas pousse un grand cri de délivrance, assourdi par les fesses d'Isabelle, et pendant ce temps je bois les dernières gouttes de foutre directement à sa bite. Pour un dîner, je pourrai dire que j'ai été bien nourri !
27 天 前