Chapitre 4
Toujours dédié à Mona : tu m'inspires !
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Nous sommes tous les trois épuisés. Je reste allongé sur les cuisses de Nicolas, qui recommence à bander un peu, mais ne se décide pas à agir. Il reste à contempler sa femme, dont le vagin dégouline de sperme. Isabelle s'est levée, sans doute pour que nous puissions la contempler après l'acte : elle est exhibitionniste, et le prouve en caressant sa toison pubienne humide de sperme. Elle écarte bien les lèvres de sa chatte pour que nous puissions admirer son clitoris rouge et gonflé, ses muqueuses gluantes... Puis, elle se retourne pour que nous admirions son fessier plein, elle se claque le cul avec un petit rire... Sans doute espère-t-elle raviver notre ardeur, car elle semble insatiable. Pour ma part, je pense que je ne pourrai pas avoir une érection avant un long moment de repos : j'ai éjaculé deux fois dans cette soirée, et je me sens à sec, vidé.
La pièce sent la sueur et le sexe, j'éprouve encore de la honte, mais aussi une intense satisfaction sexuelle. Cependant, je ne m'attarde pas à analyser mes sentiments, car Isabelle, qui paraît inépuisable, prend la parole du ton de la parfaite maîtresse de maison :
Eh bien, messieurs, après tout ça je propose que nous prenions une douche avant de faire une petite dînette !
Elle se penche vers moi, enjouée, et me saisit par ma queue recroquevillée et poisseuse pour m'entraîner au bout du couloir. Nous sommes suivis par Nicolas, et nous pénétrons dans la vaste salle de bains. Là aussi, un miroir occupe tout un pan de mur, et de l'autre côté s'ouvre une douche à l'italienne de grande dimension. En fait, nous tenons tous trois à l'aise sous le jet d'eau tiède qui me procure une intense sensation de bien-être et de détente. Isabelle commence à frotter son corps contre le mien, Nicolas nous rejoint : il saisit une éponge très douce et l'imbibe d'un gel douche à l'odeur citronnée, puis commence à me frotter tout le corps. La caresse est délicieuse de sensualité. C'est la première fois de ma vie qu'un homme me touche de cette façon, et je me sens gêné, mais en même temps je me dis qu'avec ce couple, tout est permis, alors je me laisse aller et j'oublie mes complexes. Pendant que Nicolas me recouvre le corps d'une mousse odorante, Isabelle lave son intimité en toute impudeur. En nous lançant des regards provocants, elle écarte les lèvres de son vagin, se savonne l'entrejambe, non sans se caresser le clitoris. Elle voit que je la regarde, fasciné, alors elle me tire la langue et se retourne pour me montrer son cul. Elle écarte les fesses pour exhiber la rose de son anus, puis elle se trémousse dans une sorte de petite danse de provocation. Pendant ce temps, la caresse de Nicolas se fait plus intense et plus précise : ses mains insistent sur ma poitrine, descendent sur mon ventre, plus bas encore... Bientôt, sa main droite me masse les testicules, toujours enserrés par l'élastique, tandis que l'autre agace mes tétons. Malgré mon épuisement, je ne reste pas insensible à ces attouchements. D'autant plus qu'Isabelle, couverte de mousse elle aussi, vient se frotter contre mon dos, je sens la pointe de ses gros seins contre ma peau, et ses mains qui me chatouillent l'entre-fesses. La coquine insinue un doigt autour de mon anus, le caresse, le titille. Presque malgré moi, je me tends en arrière pour lui faciliter l'accès, j'écarte les fesses en me penchant en avant. Ce geste me rapproche de la poitrine légèrement poilue de Nicolas, et je ne peux m'empêcher de lui effleurer de mes lèvres. Aussitôt, il se colle à moi et me gratifie d'un profond baiser. Sa langue s'enroule autour de la mienne, explore ma bouche, et je dois avouer que c'est savoureux. J'oublie toutes mes préventions et mes préjugés, emporté par mon désir de ce corps d'homme, je l'enlace et caresse son dos, son cul ! Je me détends enfin, et Isabelle en profite pour me pénétrer de son majeur. La sensation s'avère délicieuse, et je me pousse en arrière pour mieux sentir. Elle comprend que je suis demandeur, et en profite aussitôt pour m'introduire un autre doigt. Comme l'autre fois, j'apprécie beaucoup cette intrusion, je gémis et commence à onduler, tandis que j'entends un petit rire satisfait de la femme qui me sodomise.
Ce que je croyais impossible se réalise : je sens que je recommence à bander, ma queue se tend doucement dans une raideur encore fragile. Mon gland frotte contre la cuisse de Nicolas, rajoutant encore à mon excitation. Maintenant, je sens la grosse verge de l'homme contre mon nombril, elle est tendue, dure comme du bois, et je la saisis d'une main avide. Je commence à masturber ce sexe qui me fait envie, pendant que Nicolas me pétris la poitrine, me pince les tétons et me murmure des mots sans suite entre deux baisers baveux.
À ma grande surprise, c'est Isabelle qui met fin à nos ébats : elle extirpe ses doigts de mon anus et annonce :
Allons, les garçons, on se calme un peu. La nuit commence seulement, et je suis sûre que vous avez faim. Moi, en tout cas, je vais manger un peu.
À regret, nous lui obéissons, malgré notre désir, et nous nous rinçons avant de suivre notre maîtresse commune vers le salon.
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Nous sommes tous les trois épuisés. Je reste allongé sur les cuisses de Nicolas, qui recommence à bander un peu, mais ne se décide pas à agir. Il reste à contempler sa femme, dont le vagin dégouline de sperme. Isabelle s'est levée, sans doute pour que nous puissions la contempler après l'acte : elle est exhibitionniste, et le prouve en caressant sa toison pubienne humide de sperme. Elle écarte bien les lèvres de sa chatte pour que nous puissions admirer son clitoris rouge et gonflé, ses muqueuses gluantes... Puis, elle se retourne pour que nous admirions son fessier plein, elle se claque le cul avec un petit rire... Sans doute espère-t-elle raviver notre ardeur, car elle semble insatiable. Pour ma part, je pense que je ne pourrai pas avoir une érection avant un long moment de repos : j'ai éjaculé deux fois dans cette soirée, et je me sens à sec, vidé.
La pièce sent la sueur et le sexe, j'éprouve encore de la honte, mais aussi une intense satisfaction sexuelle. Cependant, je ne m'attarde pas à analyser mes sentiments, car Isabelle, qui paraît inépuisable, prend la parole du ton de la parfaite maîtresse de maison :
Eh bien, messieurs, après tout ça je propose que nous prenions une douche avant de faire une petite dînette !
Elle se penche vers moi, enjouée, et me saisit par ma queue recroquevillée et poisseuse pour m'entraîner au bout du couloir. Nous sommes suivis par Nicolas, et nous pénétrons dans la vaste salle de bains. Là aussi, un miroir occupe tout un pan de mur, et de l'autre côté s'ouvre une douche à l'italienne de grande dimension. En fait, nous tenons tous trois à l'aise sous le jet d'eau tiède qui me procure une intense sensation de bien-être et de détente. Isabelle commence à frotter son corps contre le mien, Nicolas nous rejoint : il saisit une éponge très douce et l'imbibe d'un gel douche à l'odeur citronnée, puis commence à me frotter tout le corps. La caresse est délicieuse de sensualité. C'est la première fois de ma vie qu'un homme me touche de cette façon, et je me sens gêné, mais en même temps je me dis qu'avec ce couple, tout est permis, alors je me laisse aller et j'oublie mes complexes. Pendant que Nicolas me recouvre le corps d'une mousse odorante, Isabelle lave son intimité en toute impudeur. En nous lançant des regards provocants, elle écarte les lèvres de son vagin, se savonne l'entrejambe, non sans se caresser le clitoris. Elle voit que je la regarde, fasciné, alors elle me tire la langue et se retourne pour me montrer son cul. Elle écarte les fesses pour exhiber la rose de son anus, puis elle se trémousse dans une sorte de petite danse de provocation. Pendant ce temps, la caresse de Nicolas se fait plus intense et plus précise : ses mains insistent sur ma poitrine, descendent sur mon ventre, plus bas encore... Bientôt, sa main droite me masse les testicules, toujours enserrés par l'élastique, tandis que l'autre agace mes tétons. Malgré mon épuisement, je ne reste pas insensible à ces attouchements. D'autant plus qu'Isabelle, couverte de mousse elle aussi, vient se frotter contre mon dos, je sens la pointe de ses gros seins contre ma peau, et ses mains qui me chatouillent l'entre-fesses. La coquine insinue un doigt autour de mon anus, le caresse, le titille. Presque malgré moi, je me tends en arrière pour lui faciliter l'accès, j'écarte les fesses en me penchant en avant. Ce geste me rapproche de la poitrine légèrement poilue de Nicolas, et je ne peux m'empêcher de lui effleurer de mes lèvres. Aussitôt, il se colle à moi et me gratifie d'un profond baiser. Sa langue s'enroule autour de la mienne, explore ma bouche, et je dois avouer que c'est savoureux. J'oublie toutes mes préventions et mes préjugés, emporté par mon désir de ce corps d'homme, je l'enlace et caresse son dos, son cul ! Je me détends enfin, et Isabelle en profite pour me pénétrer de son majeur. La sensation s'avère délicieuse, et je me pousse en arrière pour mieux sentir. Elle comprend que je suis demandeur, et en profite aussitôt pour m'introduire un autre doigt. Comme l'autre fois, j'apprécie beaucoup cette intrusion, je gémis et commence à onduler, tandis que j'entends un petit rire satisfait de la femme qui me sodomise.
Ce que je croyais impossible se réalise : je sens que je recommence à bander, ma queue se tend doucement dans une raideur encore fragile. Mon gland frotte contre la cuisse de Nicolas, rajoutant encore à mon excitation. Maintenant, je sens la grosse verge de l'homme contre mon nombril, elle est tendue, dure comme du bois, et je la saisis d'une main avide. Je commence à masturber ce sexe qui me fait envie, pendant que Nicolas me pétris la poitrine, me pince les tétons et me murmure des mots sans suite entre deux baisers baveux.
À ma grande surprise, c'est Isabelle qui met fin à nos ébats : elle extirpe ses doigts de mon anus et annonce :
Allons, les garçons, on se calme un peu. La nuit commence seulement, et je suis sûre que vous avez faim. Moi, en tout cas, je vais manger un peu.
À regret, nous lui obéissons, malgré notre désir, et nous nous rinçons avant de suivre notre maîtresse commune vers le salon.
3 月 前
