2023 – Christian dans ses œuvres

A cette époque, Christian travaillait sur le port de Sète, ma ville maintenant…
Mais, on ne s’était jamais croisés, moi dans l’administration, lui sur le port avec des clients de haut vol, représentants héraultais d’un négoce mondial, en plein essor…

Viril et apprécié, il était déjà porté sur le sexe, comme beaucoup d’hommes…
Il collectionnait les aventures, mais avec retenue, bel homme, gentleman avec ses clientes, comptable de ses actes, au réel et au figuré…

Il avait regard sur des fortunes, en gérait les placements, et conseillait des hommes de pouvoir, des entreprises, tout en vivant ses aventures dans ces milieux libertins…

C’est ainsi qu’il se lia avec un riche entrepreneur, un marchand de vin réputé pour ses écarts de conduite…
Les soirées étaient très animées, les week-ends, des heures de plaisir, Christian était invité dans ce beau monde, où les femmes papillonnaient, jeunes ou moins jeunes, mariées ou libres, mais toutes présentes pour la même chose…

Christian choisissait, emballait tant qu’il pouvait, profitait pour cibler de riches épouses, ou des veuves de patrons richissimes, pour gérer leur fortune ou les guider dans leurs finances…

Le club de golf était son second bureau, Max l’avait initié, et toutes les bonnes affaires se traitaient ici…
Mais Max était âgé…
Florissante, sa fortune attirait les requins, que Christian éloignait…

Max parlait de ses épouses, il en était à 3 officielles…
Mais nombre de jeunes femmes n’étaient pas comptabilisées, par manque de temps, par oubli, par négligence…

Max venait de se marier pour la 4ème fois…
Christian n’en revenait pas, celle-là devait être une exception, elle n’avait que 35 ans, et c’était l’amour fou…

Max se faisait rare dans les salons du pouvoir, rare aussi dans son bureau qui dominait le port, rare, comme si…

- Allo ? Vous êtes Christian ?
- Oui, madame ?
- Je suis la femme de votre ami Max, il m’avait souvent parlé de vous, et conseillé, surtout en cas de décès…
- Oh, il est…
- Hélas, cette nuit… L’enterrement sera dans quelques jours, lundi prochain, et j’aimerais vous voir ensuite, à votre convenance... Mais pas trop tard, je ne resterai pas ici, trop de souvenirs…
- Je comprends, disons mardi prochain ? Toujours dans sa villa en campagne à Béziers ?
- Oui, je vois que vous étiez intimes… Il vous appréciait, je suis certaine que vous saurez me guider désormais dans les imbroglios de la succession… Ah, oui, il était parfois fantasque… Je ne serais pas étonnée de ne pas être seule dans son testament…
- Pour ma part, il ne m’a rien dit…
- J’en saurait plus lundi, donc venez le lendemain, dans l’après-midi, vers 15 heures, je vous attendrai et on sera seuls, en toute discrétion…
- Je vois que vous avez déjà réfléchi… C’est bien. Ne répondez à personne, ne voyez personne, que vous ne connaissez pas… Et même là… Discrétion est le maitre-mot !
- Oh, oui, merci, Christian…

Ce coup de fil l’avait ébranlé…
Christian était ressorti de chez lui, et savourait un whisky de 20 ans dans un pub du centre-ville…
La musique douce couvrait un peu les conversations…
Mais il entendit quelqu’un parler de Max…
Il se retourna, et vit deux couples qui bavardaient…
La cinquantaine, les deux femmes habillées avec classe, gloussaient…
Leurs maris, s’étaient éloignés, et parlaient affaire…

Il entendit des remarques de celle derrière lui…

- Max était dur avec tout le monde, il faisait la loi sur le port, et menait ses affaires à l’ancienne…
- Oui, en effet… Mais dès qu’il sortait, il ne pensait qu’aux femmes, et souvent pas à la sienne, un vrai coureur… J’en sais quelque chose !
- Chut ! Tu as ????
- Oh, ils sont occupés dans leur monde, tourne-toi encore un peu, voilà…
- Oui… Il ne le sait pas mais s’en doute…
- Moi aussi !…
- Tu as été sa maitresse ?
- Je travaillais pour lui à 80%, dans la banque…
- Oh, oui… Et il t’a draguée ?
- Il avait besoin de prêts, de conseils… La première fois, il m’a invitée sur son yacht…
- Repas privé ?
- Oui… Il est sorti du port, apéro près de la plage, puis cap au large…
- Et ?
- Il a jeté l’ancre et on a baisé… Il avait la soixantaine, mais j’ai vu les étoiles et le firmament, Paul fait certainement pareil, c’est une entente entre nous…
- Oh, je ne pensais pas cela de toi… Femme libre…
- Et même libertine, ma chère… Max m’a mis le feu…
- Ah ? Tu continues ? Tu fais des écarts ?
- Les gens s’ennuient ici, seuls, avec leur épouse ou leur mari… Alors on va chercher les plaisirs là où ils se trouvent… Il m’a guidée, présentée, ouvert des portes très fermées…
- Oh ! Je vois… Les soirées entre VIP… Les bals de la comtesse… Les salons du pouvoir…
- Je vois que tu en as entendu parler… Cela te dirait ? Je pourrais t’introduire… Enfin, façon de parler…
- Je le conçois, mais cela ne me déplairait pas, tu sais, j’ai besoin de varier mes plaisirs aussi… 30 ans avec Charles… Je suis encore potable et je sais aguicher…
- On n’en n’avait jamais parlé, ma chérie… On a perdu du temps… Je te trouve très en forme, et ça depuis quelques années… Mais ce soir, avec ton décolleté coquin…
- Toi aussi, tu es très… En forme… Et je suis en manque…
- On les plante ? Y a un club privé pas loin…
- On n’a même pas un mec pour s’occuper de nos arrières !
- Oh, qu’elle salope ! Je vais me régaler, mais au fait, tu as vu ?
- Quoi ?
- Pas quoi, qui ! Là, derrière-toi… Le conseiller de Max…
- Oh, tu crois ?
- Il parait que c’est un queutard de première, copain comme cochon avec Max !
- On ne risque rien d’essayer… Et puis on est deux…

La vie est étrange parfois…
Mon ouïe fine, m’avait mis en alerte…
Leurs deux sourires m’incitèrent à répondre à leurs regards perçants…

- Vous êtes Christian, n’est-ce pas ?
- Oui, et je peux… D’abord vous inviter, mais vous vous apprêtiez à sortir ?
- Nous sommes attristées par le décès de cet homme de poigne… Un homme à l’ancienne, qui a donné à Sète une position d’importance, un port de niveau mondial…
- Oui, Max était exceptionnel de par sa vision, sa capacité de travail, de fédérer, d’animer, de construire… J’ai eu la chance de l’aider, il m’a donné sa confiance, je pleure son départ, Sète ne sera plus la même sans lui…
- C’est gentil, nous l’aimions aussi, avions eu des rapports étroits, comme nombre de sétoises… Et d’ailleurs…
- Oui, c’était un fêtard, il en profitait, il aimait la vie, les femmes, nous sommes dans la finance, et cela nous avait rapprochées… Nos maris, là-bas, ne partagent pas notre peine, on allait prendre un verre dans un club que Max aimait bien…
- Le Styx ?
- Oh, oui ! Bravo, vous connaissez ?
- Il était à lui… Entre-autres…
- Cela vous dirait de vous joindre à nous ? Vous pourriez nous chapeauter…
- Avec plaisir, le gérant est un copain…

Les quelques mètres sont parcourus très vite… Je les détaille et me sens en veine… Elles m’ont dragué, maintenant, elles dégainent le champagne, et m’encadrent dans un sofa doux et agréable…
Musique douce, rythmée, elles ont envie de danser… Je suis…
Marlène et Sandra… Cadres bancaires, 45/50 ans environ… Jolies et très souriantes…
Leur jeu est discret, elles me draguent… Défont des boutons, dévoilent leurs charmes, certaines de ma coopération, et il fait mouche…

En se rasseyant, leurs cuisses sont dévoilées, l’ambiance est oppressante…

- On a besoin d’alcool, il aimait ça…
- Oh, et pas que, Sandra… Il aimait nous enlever à nos maris, et nous caresser… Voire plus…
- Il me manque pour ça…
- Christian, on aimerait… Enfin, tu comprends… Il nous manque tant !
- Ils louent des chambres, à l’heure, là-haut, au second… Ça vous dis ?
- Oh, charmant et galant… On te suis…

Mes doigts glissent sur la clé, j’ouvre la porte de la chambre, elles portent un plateau avec bouteille, verres et biscuits…
C’est pas large, le lit prend de la place… Elle m’encadrent après avoir déposé le plateau…
Leurs doigts ont vite fait de défaire leurs chemisiers…
Leurs lèvres se relaient, sur les miennes, me déshabillant lentement, puis Sandra s’agenouille, retirant pantalon et slip, puis caresse mon attribut de mâle, d’un geste d’experte…
Marlène s’écartèle et m’offre ses charmes, accompagnant ma main dans son intimité…
Sandra me suce, me lèche, prend mes bourses, pèse, soulève, masse, je suffoque, Marlène commence à soupirer, mes doigts glissent dans ses méats, savourent, découvrent, excitent, et déclenchent sa source de plaisirs…

Elle s’allonge et masse ses seins devant nous…
Je bande comme un âne !
Sandra est presque au bout et doit s’arrêter de masturber mon sexe, le lécher, le faire glisser dans sa gorge, je le lui dis d’un regard…
Elles s’allongent se frottent, je lèche la première installée, écartelée, foufoune détrempée, et ma langue plonge…
Je la met au supplice, l’autre masse ses seins, elles se goussent doucement, tendrement, me partageant avec classe et passion…
Sandra s’encastre sur ma bite, écartelée sur mes hanches, Marlène pose sa foufoune contre mon visage et se laisse masturber par ma langue, puis mes doigts et elles partagent un moment de grâce, se vidant de leurs flux, m’étreignant en duo, parfait partage, où je me gave de leurs effluves de femmes, de nectar, puis s’offrent en levrette, chacune à leur tour, mais pas inactives, non, non !
Je sens une phalange dans mon anus…
Marlène se fait lécher l’anus par son amie, à quatre pattes, et elle m’attend, les fesses en l’air, prête à se faire engrosser par derrière, en se masturbant l’une et l’autre, avec ma bénédiction, et des baisers savoureux, mes mains passant d’une poitrine à l’autre, en m’enfonçant dans le méat délicieux de Marlène, poussant des râles de chatte en chaleur…

Sandra se glisse contre moi, me présente sa chatte blonde, et ma langue plonge sans attendre, assistée de mes doigts, dans sa vulve écarlate…
Elles orgasment à tour de rôle, se relaient, s’échangent, se sodomisant avec ma verge énorme, comme avec un gode vivant !...

- Oh, oui… Prend-moi… Viens dans mon cul de salope… Eclate ma chatte, mon anus, griffe mes seins, comme il aimait…
- Fais-nous jouir comme deux garces, 2 putains des quais de Sète, trompant leurs maris avec panache, jouissant des délices du sexe…

Je les empale, comme une brochette, les fourre, les engrosse, je passe de l’une à l’autre, d’un con à un cul, elles me branlent approchant leurs visages, ouvrant la bouche, et recueillant ma semence, projetée sur leurs charmes, leurs langues et leurs seins…
Elles éclatent de gourmandise, lèchent et avalent, nettoient, sucent, et viennent dans mes bras quémander des baisers d’amoureuses…

Quelle passion, quelle baise !
Le champagne coule, gicle, je bois dans leurs poitrines, suçant leurs tétons érigés, massant leurs seins, et elles se font jouir l’une, l’autre, sexe contre sexe, en s’embrassant avec moi…

- Merci… Parfait !... Tu es un merveilleux amant… Max savait choisir ses partenaires !
- Viens, on va te réamorcer ! Regarde mon sexe, il coule de désir de rencontrer le tien !
- Ma chatte aussi, pleure dans mes doigts, dans mon lit de femme libre, rêvant qu’un homme la réveille et la porte à l’extase…

Trois heures du mat’…
Elles dorment contre moi, épuisées, vidées, autant que je le suis…

Au matin, on remet ça, chez moi, avec deux godes et du gingembre !

C'est dur d'aimer le sexe !

Marika8420101 novembre 2023
发布者 marika842010
3 月 前
评论
1
账户以发表评论
ccandau
ccandau 3 月 前
oh Marika quelle superbe interprétation de mes aventures je me revois reporté 40 ans en arrière, je nage en plein bonheur ton Christian qui se love contre toi tendres bisous
回答
Cookie能够帮助我们更好地提供服务。使用本网站即表示您同意我们使用Cookie。 了解详情