Chapitre 3
3
Le bruit d'une conversation dans la pièce à-côté me sort de la torpeur. Pendant de longues secondes, je ne me souviens plus trop de l'endroit où je me trouve, puis tout me revient en mémoire. Isabelle, les jeux érotiques de ce début de soirée. Je regarde mon sexe, toujours enfermé dans sa cage d'inox. Enserrés par leur élastique, mes testicules sont raides et gonflés, rougis par la contention. Je les sens lourds et chauds. Je consulte ma montre : il ne s'est pas écoulé plus d'une demi-heure depuis qu'Isabelle m'a quitté. Je pense que Nicolas est rentré, et que c'est sa voix que j'entends derrière la porte. Mais je n'ose pas quitter la chambre pour rejoindre le couple pervers. Et s'ils n'étaient pas seuls ? J'imagine la tête des voisins venus à l'improviste s'ils voyaient arriver un homme nu, seulement paré d'une cage enfermant sa bite ! Je me regarde dans le miroir du plafond et vois un homme dans la trentaine, un type brun, banal, dont le visage ordinaire arbore une expression perplexe. Soudain, j'ai honte de moi, de ce désir sexuel bestial qui me pousse à commettre des actes pervers, contraires à mon éducation plutôt prude. Avec mon ex-femme, ma vie sexuelle ne revêtait aucune fantaisie, nos coïts étaient rares et sans imagination. Je crois que si je lui avais proposé de pimenter nos rapports en invitant une autre personne dans notre lit, elle aurait décidé de rompre encore plus tôt !
Mais ce que je vis en ce moment avec ce couple est si bon, si excitant que je ne tiens pas compte de cette réticence morale. Alors, je me force à sortir de la chambre, à traverser le couloir et à frapper avec timidité à la porte du séjour. Nicolas est bien rentré chez lui. Il se tient même nu au milieu du canapé, les jambes largement écartées. Sa femme, à genoux devant lui, est en train de lui administrer une fellation, comme elle me tourne le dos je vois ses fesses qui reposent sur ses talons, et la masse de ses cheveux blonds montant et descendant entre ses cuisses. Quand il m'aperçoit, son regard s'éclaire :
Tiens, te voilà enfin ! Ne sois pas timide, viens te joindre à nous.
J'avance, un peu hésitant. Isabelle ne cesse pas de pomper le gros dard de son homme, elle me jette juste un regard de biais. Comme je m'approche du canapé, Nicolas me prend la queue dans sa main, soupèse la cage de fer, tâte mes couilles chaudes et gonflées :
Ha, je vois que ma petite femme t'a déjà équipé, c'est bien.
Cette caresse un peu brutale me surprend, et j'ai un mouvement de recul : je n'ai pas l'habitude qu'un homme s'empare de mon sexe. Nicolas semble deviner mon sentiment, car il ajoute d'un air faussement déçu :
Ça te déplaît qu'un mec te touche ? Pourtant, la dernière fois tu n'as pas fait le difficile pour me sucer ! Il part d'un grand rire et poursuit : et si tu recommençais ?
Les paroles d'Isabelle me reviennent en mémoire : si je refuse leurs ordres, leurs fantaisies, je suis libre. Mais alors, je dois aussi renoncer à participer à leurs parties fines. Je ne mets pas longtemps à me décider, surtout que la vue des fesses d'Isabelle, de ses seins qui ballotent à chacun des mouvements de sa tête, me rend fou. Alors je me mets à genoux à côté d'elle, bouche ouverte. La jolie femme retire le sexe bandé de son mari de sa bouche et le dirige vers mes lèvres avec un air salace.
Vas-y, mon petit soumis, profite, déguste-là bien, sa grosse bite ! Mais ne mange pas tout, tu m'en laisseras un peu...
Sa grossièreté m'excite encore plus, je laisse tomber mes derniers scrupules, ma honte, et je prends le sexe bandé dans la bouche. Je commence à sucer lentement, mais Isabelle place sa paume sur ma nuque et imprime un rythme plus rapide. Je dois me l'avouer, l'excitation est terrible, cette queue s'avère délicieuse. Ma partenaire de fellation ne reste pas inactive : elle semble satisfaite de la cadence de mes lèvres, alors elle s'approche des couilles de son mari et commence à les lécher avec gourmandise. La goulue écarte sa bouche peinturlurée de rouge au maximum, et elle réussit à gober les deux gros testicules en même temps. La caresse couplée à ma succion doit être somptueuse, car j'entends Nicolas qui gémit, puis pousse un grognement rauque :
Arrêtez, mes salopes, je vais venir !
Mais la femme est déchaînée, et elle continue son léchage de plus belle. De plus, sa langue descend sur le scrotum, le mouille de salive. Nicolas s'avance brusquement sur le cuir du canapé, lève les fesses si bien que son dard énorme et chaud vient heurter le fond de ma gorge. J'ai un haut-le-coeur, je me recule pour tousser, et je vois qu'Isabelle, ou plutôt sa langue, s'introduit dans l'anus de l'homme qui geint de plaisir. Au moment où je reprend le sexe en bouche, il ne peut plus se retenir et lâche cinq puissantes giclées de sperme brûlant. J'étouffe, je voudrais recracher le liquide grumeleux et collant, mais Isabelle, vive comme l'éclair, vient coller ses lèvres aux miennes. Pendant de longues secondes, elle me donne un long baiser poisseux, nous partageons le sperme pendant que je lui malaxe les seins. Enfin, sa langue serpentine abandonne ma bouche, du foutre déborde de ses commissures, et comme un fou furieux je me rue sur ces coulures pour les avaler.
Cette fois, je me sens prêt à crier de frustration. La cage qui m'enserre me donne l'impression que ma queue va exploser. Je jette un œil à Nicolas, qui après son orgasme semble être tombé dans le coma : il respire profondément, les yeux clos, et son sexe se recroqueville avec lenteur, posé sur sa cuisse humide de sperme. Une goutte perle encore au bout de son gland découvert, et coule, paresseuse, vers le cuir du canapé. Isabelle doit comprendre le désir fou qui m'anime, car elle me sourit d'un air vicieux et s'empare de mes testicules congestionnés. Elle les malaxe un moment, portant mon excitation à son paroxysme, puis elle attrape une petite clé sur la table du salon :
Quelque chose me dit que tu voudrais bien que j'ouvre ce cadenas...
Elle rit, malicieuse et provocante, et me nargue. J'essaye de saisir sa main, mais elle m'évite. Je la saisis par les hanches, et elle se plaque contre moi, je sens ses seins qui s'écrasent contre ma poitrine, elle me donne un autre baiser. Sa langue pénètre ma bouche, se tortille autour de la mienne dans un long mouvement compliqué qui me coupe le souffle. Ma main se plaque, brutale, contre son pubis, je sens ses poils frisés et drus, humides de cyprine, puis mon majeur la fouille sans ménagement. Je la branle à la hussarde, sans délicatesse, je veux la baiser ! Elle halète, je sens qu'elle désire autant que moi que je la prenne. Mon sexe me semble prêt à éclater, il palpite dans sa cage comme un oiseau affolé cherchant à s'échapper.
Doucement, petit soumis, souffle-t-elle. On va le faire à ma façon...
Elle me guide vers le canapé et me force à m'étendre, la tête sur les cuisses de son homme qui nous regarde en souriant, toujours essoufflé. Mon visage est à quelques centimètres de la grosse bite de Nicolas, je peux sentir son odeur, je distingue chacune des veines qui marbrent la hampe, pour l'instant dégonflée, flasque... Isabelle rit doucement pendant qu'elle déverrouille le cadenas minuscule qui enferme mon pénis. Elle ôte la cage avec lenteur, me libérant enfin. Elle s'empare de ma queue avec avidité, quel soulagement de me sentir enfin libérée de ce carcan d'acier ! Sans hésiter, Isabelle m'enjambe, écarte les lèvres de sa vulve et s'empale directement sur mon sexe au maximum de sa tension. J'ai l'impression que sa chatte est incandescente, qu'elle bouillonne. Je ressens chacune des contractions internes de son vagin, j'ai envie, besoin, d'éjaculer tout de suite, mais je songe à me retenir, car je dois d'abord penser à la jouissance de la Maîtresse.
Celle-ci me chevauche, les yeux révulsés. On dirait une écuyère folle sur un cheval emballé, et je sens que je ne pourrai pas me retenir longtemps, je sens la sève qui monte, mais c'est sans compter sur l'élastique qui me serre les couilles, et sur l'anneau d'acier servant de base à la cage : ils font barrage au foutre, la petite rusée connaît son affaire et sait comment exploiter un homme ! Pendant ce temps, Nicolas profite du spectacle : d'une main, il malaxe les seins de sa femme, et de l'autre il se caresse la bite qui commence déjà à reprendre de la vigueur. Malicieux, il me frappe le visage avec son gland, et chaque coup semble lui redonner un peu de raideur. Je crois que je murmure des mots sans suite à mesure que l'orgasme monte en moi, « Pute ! Salope ! Je t'aime ! ». À mesure qu'elle approche du sommet, Isabelle accélère le rythme, elle râle et se trémousse sur ma queue, ses gros seins s'agitent et brinquebalent d'un mouvement complexe, enfin elle pousse un grand cri, son vagin se resserre autour de ma lance et me pompe littéralement le gland. Cette fois, je ne songe même pas à me retenir, les vannes s'ouvrent et je lui inonde la chatte en trois longs jets de foutre brûlant.
Le bruit d'une conversation dans la pièce à-côté me sort de la torpeur. Pendant de longues secondes, je ne me souviens plus trop de l'endroit où je me trouve, puis tout me revient en mémoire. Isabelle, les jeux érotiques de ce début de soirée. Je regarde mon sexe, toujours enfermé dans sa cage d'inox. Enserrés par leur élastique, mes testicules sont raides et gonflés, rougis par la contention. Je les sens lourds et chauds. Je consulte ma montre : il ne s'est pas écoulé plus d'une demi-heure depuis qu'Isabelle m'a quitté. Je pense que Nicolas est rentré, et que c'est sa voix que j'entends derrière la porte. Mais je n'ose pas quitter la chambre pour rejoindre le couple pervers. Et s'ils n'étaient pas seuls ? J'imagine la tête des voisins venus à l'improviste s'ils voyaient arriver un homme nu, seulement paré d'une cage enfermant sa bite ! Je me regarde dans le miroir du plafond et vois un homme dans la trentaine, un type brun, banal, dont le visage ordinaire arbore une expression perplexe. Soudain, j'ai honte de moi, de ce désir sexuel bestial qui me pousse à commettre des actes pervers, contraires à mon éducation plutôt prude. Avec mon ex-femme, ma vie sexuelle ne revêtait aucune fantaisie, nos coïts étaient rares et sans imagination. Je crois que si je lui avais proposé de pimenter nos rapports en invitant une autre personne dans notre lit, elle aurait décidé de rompre encore plus tôt !
Mais ce que je vis en ce moment avec ce couple est si bon, si excitant que je ne tiens pas compte de cette réticence morale. Alors, je me force à sortir de la chambre, à traverser le couloir et à frapper avec timidité à la porte du séjour. Nicolas est bien rentré chez lui. Il se tient même nu au milieu du canapé, les jambes largement écartées. Sa femme, à genoux devant lui, est en train de lui administrer une fellation, comme elle me tourne le dos je vois ses fesses qui reposent sur ses talons, et la masse de ses cheveux blonds montant et descendant entre ses cuisses. Quand il m'aperçoit, son regard s'éclaire :
Tiens, te voilà enfin ! Ne sois pas timide, viens te joindre à nous.
J'avance, un peu hésitant. Isabelle ne cesse pas de pomper le gros dard de son homme, elle me jette juste un regard de biais. Comme je m'approche du canapé, Nicolas me prend la queue dans sa main, soupèse la cage de fer, tâte mes couilles chaudes et gonflées :
Ha, je vois que ma petite femme t'a déjà équipé, c'est bien.
Cette caresse un peu brutale me surprend, et j'ai un mouvement de recul : je n'ai pas l'habitude qu'un homme s'empare de mon sexe. Nicolas semble deviner mon sentiment, car il ajoute d'un air faussement déçu :
Ça te déplaît qu'un mec te touche ? Pourtant, la dernière fois tu n'as pas fait le difficile pour me sucer ! Il part d'un grand rire et poursuit : et si tu recommençais ?
Les paroles d'Isabelle me reviennent en mémoire : si je refuse leurs ordres, leurs fantaisies, je suis libre. Mais alors, je dois aussi renoncer à participer à leurs parties fines. Je ne mets pas longtemps à me décider, surtout que la vue des fesses d'Isabelle, de ses seins qui ballotent à chacun des mouvements de sa tête, me rend fou. Alors je me mets à genoux à côté d'elle, bouche ouverte. La jolie femme retire le sexe bandé de son mari de sa bouche et le dirige vers mes lèvres avec un air salace.
Vas-y, mon petit soumis, profite, déguste-là bien, sa grosse bite ! Mais ne mange pas tout, tu m'en laisseras un peu...
Sa grossièreté m'excite encore plus, je laisse tomber mes derniers scrupules, ma honte, et je prends le sexe bandé dans la bouche. Je commence à sucer lentement, mais Isabelle place sa paume sur ma nuque et imprime un rythme plus rapide. Je dois me l'avouer, l'excitation est terrible, cette queue s'avère délicieuse. Ma partenaire de fellation ne reste pas inactive : elle semble satisfaite de la cadence de mes lèvres, alors elle s'approche des couilles de son mari et commence à les lécher avec gourmandise. La goulue écarte sa bouche peinturlurée de rouge au maximum, et elle réussit à gober les deux gros testicules en même temps. La caresse couplée à ma succion doit être somptueuse, car j'entends Nicolas qui gémit, puis pousse un grognement rauque :
Arrêtez, mes salopes, je vais venir !
Mais la femme est déchaînée, et elle continue son léchage de plus belle. De plus, sa langue descend sur le scrotum, le mouille de salive. Nicolas s'avance brusquement sur le cuir du canapé, lève les fesses si bien que son dard énorme et chaud vient heurter le fond de ma gorge. J'ai un haut-le-coeur, je me recule pour tousser, et je vois qu'Isabelle, ou plutôt sa langue, s'introduit dans l'anus de l'homme qui geint de plaisir. Au moment où je reprend le sexe en bouche, il ne peut plus se retenir et lâche cinq puissantes giclées de sperme brûlant. J'étouffe, je voudrais recracher le liquide grumeleux et collant, mais Isabelle, vive comme l'éclair, vient coller ses lèvres aux miennes. Pendant de longues secondes, elle me donne un long baiser poisseux, nous partageons le sperme pendant que je lui malaxe les seins. Enfin, sa langue serpentine abandonne ma bouche, du foutre déborde de ses commissures, et comme un fou furieux je me rue sur ces coulures pour les avaler.
Cette fois, je me sens prêt à crier de frustration. La cage qui m'enserre me donne l'impression que ma queue va exploser. Je jette un œil à Nicolas, qui après son orgasme semble être tombé dans le coma : il respire profondément, les yeux clos, et son sexe se recroqueville avec lenteur, posé sur sa cuisse humide de sperme. Une goutte perle encore au bout de son gland découvert, et coule, paresseuse, vers le cuir du canapé. Isabelle doit comprendre le désir fou qui m'anime, car elle me sourit d'un air vicieux et s'empare de mes testicules congestionnés. Elle les malaxe un moment, portant mon excitation à son paroxysme, puis elle attrape une petite clé sur la table du salon :
Quelque chose me dit que tu voudrais bien que j'ouvre ce cadenas...
Elle rit, malicieuse et provocante, et me nargue. J'essaye de saisir sa main, mais elle m'évite. Je la saisis par les hanches, et elle se plaque contre moi, je sens ses seins qui s'écrasent contre ma poitrine, elle me donne un autre baiser. Sa langue pénètre ma bouche, se tortille autour de la mienne dans un long mouvement compliqué qui me coupe le souffle. Ma main se plaque, brutale, contre son pubis, je sens ses poils frisés et drus, humides de cyprine, puis mon majeur la fouille sans ménagement. Je la branle à la hussarde, sans délicatesse, je veux la baiser ! Elle halète, je sens qu'elle désire autant que moi que je la prenne. Mon sexe me semble prêt à éclater, il palpite dans sa cage comme un oiseau affolé cherchant à s'échapper.
Doucement, petit soumis, souffle-t-elle. On va le faire à ma façon...
Elle me guide vers le canapé et me force à m'étendre, la tête sur les cuisses de son homme qui nous regarde en souriant, toujours essoufflé. Mon visage est à quelques centimètres de la grosse bite de Nicolas, je peux sentir son odeur, je distingue chacune des veines qui marbrent la hampe, pour l'instant dégonflée, flasque... Isabelle rit doucement pendant qu'elle déverrouille le cadenas minuscule qui enferme mon pénis. Elle ôte la cage avec lenteur, me libérant enfin. Elle s'empare de ma queue avec avidité, quel soulagement de me sentir enfin libérée de ce carcan d'acier ! Sans hésiter, Isabelle m'enjambe, écarte les lèvres de sa vulve et s'empale directement sur mon sexe au maximum de sa tension. J'ai l'impression que sa chatte est incandescente, qu'elle bouillonne. Je ressens chacune des contractions internes de son vagin, j'ai envie, besoin, d'éjaculer tout de suite, mais je songe à me retenir, car je dois d'abord penser à la jouissance de la Maîtresse.
Celle-ci me chevauche, les yeux révulsés. On dirait une écuyère folle sur un cheval emballé, et je sens que je ne pourrai pas me retenir longtemps, je sens la sève qui monte, mais c'est sans compter sur l'élastique qui me serre les couilles, et sur l'anneau d'acier servant de base à la cage : ils font barrage au foutre, la petite rusée connaît son affaire et sait comment exploiter un homme ! Pendant ce temps, Nicolas profite du spectacle : d'une main, il malaxe les seins de sa femme, et de l'autre il se caresse la bite qui commence déjà à reprendre de la vigueur. Malicieux, il me frappe le visage avec son gland, et chaque coup semble lui redonner un peu de raideur. Je crois que je murmure des mots sans suite à mesure que l'orgasme monte en moi, « Pute ! Salope ! Je t'aime ! ». À mesure qu'elle approche du sommet, Isabelle accélère le rythme, elle râle et se trémousse sur ma queue, ses gros seins s'agitent et brinquebalent d'un mouvement complexe, enfin elle pousse un grand cri, son vagin se resserre autour de ma lance et me pompe littéralement le gland. Cette fois, je ne songe même pas à me retenir, les vannes s'ouvrent et je lui inonde la chatte en trois longs jets de foutre brûlant.
3 月 前