Chapitre 2

Spéciale dédicace à Mona


2

Le lendemain de cette soirée folle, il a bien fallu retourner travailler au garage. Je suis gêné quand je rencontre Nicolas, que je salue timidement à son arrivée, mais il se comporte comme d'habitude à mon égard, comme s'il ne s'était rien passé la veille. Nous échangeons des banalités sur le temps qu'il fait, le travail, l'actualité. Aucun regard appuyé, aucune allusion salace de sa part, quant à moi, je feins l'indifférence aussi. La semaine s'écoule ainsi, si routinière que j'en viens à penser que notre trio orgiaque ne fut qu'un rêve, qu'un fantasme issu de ma frustration sexuelle.
Pourtant, le vendredi soir, alors que je m'apprête à passer une fin de semaine solitaire, Nicolas me prend à part et me dit :
Isabelle vient de m'appeler, elle m'a demandé de t'inviter à passer la soirée à la maison. Ça te dit ?
Je sens que je rougis, et je balbutie :
oui, bien sûr. Euh, on dînera ? Je dois apporter quelque chose ?
Hé bien, prévois peut-être quelques affaires de toilette, on ne sait jamais, si tu restes plus longtemps que prévu... Au cas où la soirée se prolongerait, tu pourrais coucher à la maison. Sinon, je crois qu'elle a préparé tout ce qu'il faut pour toi.
Et il me lance un clin d'oeil appuyé qui me promet bien des choses.
La tête en feu, je rentre chez moi, prends une douche, puis je fourre quelques affaires dans un sac avant de prendre la direction du pavillon de mon patron. Pendant le trajet, je m'interroge sur les derniers mots de Nicolas. Qu'a bien pu prévoir Isabelle me concernant ? Différents scénarios me traversent l'esprit, tous excitants et inavouables, si bien que je bande déjà quand je sonne à leur porte. Isabelle vient ouvrir après quelques secondes, Elle porte un déshabillé d'un vert profond, transparent comme une toile d'araignée. Ses seins lourds ballotent quand elle s'efface pour me laisser entrer sans un mot. Je veux m'approcher, embrasser ses lèvres luisantes et rouges, mais elle se dérobe. Je la suis dans le couloir, et entre dans le séjour. Elle me jette un regard étrange, et laisse tomber son vêtement à ses pieds. Isabelle ne porte qu'une guêpière noire et des bas résilles qui la font ressembler à une putain de l'ancien temps. J'ai du mal à avaler ma salive tant je ressens d'excitation à la vue de ses tétons dressés, et de sa toison pubienne qui laisse entrevoir les lèvres roses de son sexe. À nouveau, je m'avance vers elle, mais elle m'arrête :
Un peu de patience, on va d'abord te préparer.
Comment ça ?
On va se mettre d'accord : tu vas me promettre d'obéir à tout ce que nous te demanderons. Tu nous plaît bien, à Nicolas et moi, mais il faut que tu comprennes une chose. Tu devras obéir à nos désirs et nos fantasmes. Tu as encore le choix : tu peux partir maintenant, et rien ne changera dans ta vie. Mais si tu décides de rester, il faudra que tu suives nos ordres.
Il ne me faut pas longtemps pour me décider : j'ai trop envie d'elle, d'enfouir encore ma langue dans son sexe, de fouiller sa raie avec mes doigts, et surtout, surtout, de sentir ses lèvres autour de mon gland qui palpite contre ma braguette !
Oui, je crie presque, tout ce que tu voudras, tout ce que vous voudrez !
Alors déshabille-toi.
Elle me fixe pendant que j'arrache ma chemise, que je descend mon pantalon sous lequel je ne porte rien. Elle arbore un petit sourire quand mon membre gonflé au gland rougi palpite devant ses yeux. Elle attrape alors mes testicules gonflés dans sa petite main aux ongles peints en rouge vif, de la même teinte que ses lèvres, et me les serre assez fort pour me faire pousser un petit cri :
Tu es trop excité, ce n'est pas raisonnable, tout ça.
Et elle commence à me masturber, d'abord lentement, puis de plus en plus vite. Elle agit de façon mécanique, presque brutale, comme si elle voulait me punir de bander aussi fort. J'avais déjà compris depuis la dernière fois qu'Isabelle est une dominatrice, une de ces femmes qui veulent tout gérer, y compris qui la baise, et surtout comment. Elle interrompt enfin son va-et-vient, juste au moment où le sperme allait jaillir, et se rapproche de moi. La pointe tendue de ses gros seins effleure ma poitrine, et elle guide la tête de mon gland contre sa toison. Le contact est à la fois doux et exaspérant, car elle ne fait que frôler ses lèvres intimes, alors que je rêve de la pénétrer brutalement. Comme je tente de m'approcher, elle me repousse du plat de la main gauche, alors que la droite serre ma hampe avec force. Une succession de pressions me fait monter la sève, et là, c'est la catastrophe : je ne peux m'empêcher de jouir avec force, ma pine me brûle pendant qu'elle dégorge un flot de foutre brûlant. Quelques gouttes atteignent sa chatte et maculent ses poils bien taillés, tandis qu'elle recueille le gros de la décharge dans sa main. Isabelle me regarde d'un air vicieux et triomphant, puis se lèche les doigts et la paume avec soin, pendant que je bredouille des excuses.
Ne t'inquiète pas, me dit-elle, nous avons tout notre temps pour te remettre en forme, mais j'avais besoin que tu sois moins tendu pour le petit projet qui te concerne....
Mes jambes flageolent, et je me retrouve comme un imbécile, nu au milieu du salon pendant que cette belle femme me couve d'un regard pervers en savourant mon sperme. Elle avale un dernier grumeau, puis saisit mon sexe qui se recroqueville pour m'entraîner dans une chambre. Il s'agit d'une pièce où tout l'espace est occupé par un lit immense aux draps soyeux d'un rouge éclatant. Mes pieds s'enfoncent dans une moquette épaisse, blanche comme une neige idéale. Les murs et le plafond sont tapissés de miroirs, si bien que nos reflets se multiplient jusqu'à me donner le vertige. Une chambre de bordel des années trente, où Isabelle trouve bien sa place, avec son maquillage exagéré et ses dessous provocants. Sans un mot, elle me guide vers le lit et me force à m'allonger, les jambes écartées. Du tiroir d'une petite commode, elle sort différents petits objets, et commence à s'affairer sur mon sexe désormais ramolli. Je me sens dans un état second, comme si j'observais la scène d'un point de vue extérieur. Cette impression est renforcée par le fait que je vois les actes d'Isabelle dans le miroir du plafond : elle glisse un anneau métallique à la base de mon pénis, puis y fait passer mes testicules. Ensuite, elle enserre ma queue dans une petite cage cylindrique, qu'elle visse à la base. Mon sexe est prisonnier ! Enfin, elle étire mes bourses au maximum pour les attacher avec un anneau élastique noir. La sensation étrange n'est pas désagréable : je sens mes couilles distendues et enserrées, mais malgré le léger inconfort l'excitation revient. En revanche, la légère érection qui me reprend se trouve contrariée par la cage. La peau délicate de mon sexe effleure le métal, je sens une compression. Isabelle m'observe, les yeux mi-clos, comme une chatte observant sa proie. Je crois comprendre sa nature profonde : adepte des jeux sado-masochistes, elle aime réduire les hommes à sa merci. Je consens volontiers à jouer le rôle de l'esclave soumis, d'autant plus qu'elle commence à me caresser les testicules de la pointe des ongles, et que je sens la vigueur revenir à toute vitesse dans ma tige, qui se comprime maintenant dans la cage.
Tu vois, je suis sûre que tes couilles ne se sont pas vidées en entier. Mais maintenant, ce sera moi qui déciderai, me souffle-t-elle. En attendant, j'ai bien gagné une petite récompense, en attendant que Nicolas arrive.
Tandis que je reste passif, elle me rejoint sur le lit et se positionne au-dessus de moi, tête-bêche. Je ferme les yeux, pour mieux ressentir. Elle commence à me lécher la queue dans la cage, et le contraste entre la chaleur de sa langue et le froid du métal me fait frémir de tout mon corps. Ma bite est de plus en plus à l'étroit dans son fourreau, le jeu devient presque douloureux, et j'ai envie de crier ma frustration d'être enfermé ainsi, mais je comprends que je dois me soumettre à cette femme. Le parfum de son vagin parvient à mes narines, je devine qu'Isabelle a rapproché son bassin de ma bouche afin de recevoir la caresse qu'elle préfère. J'ouvre les yeux et je découvre, à quelques centimètres de mon visage, le spectacle affolant de ses lèvres gonflées et humides, rougies et palpitantes. Avant même que je la goûte, elle coule de mouille grasse et translucide. Une goutte tombe à côté de mon nez, et mon cerveau est envahi par l'odeur saline, marine, animale, qui émane de sa chatte. Je tends ma langue au maximum pour la lécher sans attendre, mais elle en a décidé autrement : soudain, elle décide de s'asseoir carrément sur ma face. Mon nez entre dans sa raie, son anus dilaté, et en même temps elle me comprime les bourses. De surprise et de douleur, j'ouvre la bouche en poussant un cri étouffé. Je comprends que, quoi que je fasse, elle entend bien rester maîtresse du jeu, La Maîtresse ! La délicieuse torture dure quelques secondes, juste le temps pour moi d'éprouver la sensation d'étouffer, puis elle se soulève un peu, et roule du bassin dans un mouvement lent et continu. Je commence alors à lui lécher le con, avec avidité. Je voudrais la dévorer, entrer au plus profond d'elle tandis qu'elle gémit et se tortille de plus belle.
Bientôt, ma langue devient douloureuse, mes lèvres s'engourdissent, je n'en peux plus de déglutir le liquide délicieux qu'elle secrète en abondance et qui tombe au fond de ma gorge. Elle doit approcher de l'orgasme, car elle se met à ronronner, ses doigts abandonnent mon sexe torturé pour s'aventurer entre mes fesses et me pénétrer le cul avec brutalité. Je me crispe, mais rien n'y fait : un doigt, puis deux, puis trois me violent sans pitié. D'abord, la souffrance domine, puis la brûlure devient plus supportable avant de se faire délicieuse à mesure qu'elle me branle l'anus en rythme. Mes couilles me font l'impression de contenir du métal en fusion, mon scrotum palpite et se contracte, je voudrais jouir, mais la cage est là, intraitable, et empêche mon dard de se déployer. Incapable de me libérer, je ne sais pas si ce que j'éprouve est délicieux ou infernal. Sans doute les deux à la fois, en tout cas c'est la première fois que mon corps me procure de telles sensations ! Je continue à savourer la chatte d'isabelle, m'interrompant seulement de temps à autre pour donner quelques rapides baisers à son anus qui s'écarte de lui-même comme la corolle d'une fleur. Je la butine, introduisant ma langue le plus loin possible en elle, et mes efforts sont enfin récompensés par un cri sauvage de la maîtresse qui frémit, s'agite quelques instants en de furieux coups de reins, puis s'affale, inerte. Elle a conservé deux doigts dans mon cul, qu'elle retire enfin pour caresser mes lèvres poisseuses de sa foutrine.Je les embrasse et les lèche, enivré de nos odeurs mêlées.
C'est bien, mon petit esclave. Tu as mérité un peu de repos.
Fourbu, épuisé, frustré de n'avoir pu jouir, mais plein de désir encore, je ferme les yeux et m'assoupis sans m'en rendre compte.
发布者 bzh29610
3 月 前
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breizhmona
breizhmona 3 月 前
bzh29610 : je l'attends :wink:
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bzh29610 出版商 3 月 前
breizhmona : Je pense que ça ne va pas tarder :wink:
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breizhmona
breizhmona 3 月 前
mmm merci pour la dédicace, Isabelle la dominatrice est formidable, j'espère que Nicolas va bientôt les rejoindre
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