Parenthèse matinale
Sébastien vient de se faufiler dans notre chambre. Je ne sais pas quelle heure il est mais il doit être tôt. Mon mari ronfle à mes côtés. Hier soir, il a bien profité de la vodka, un peu trop même.
Seb se glisse sous les draps à mes côtés. Il reprend ma main et la colle sur son boxer. Je sens sa bite en érection. Il me dit qu’il est trop chaud ce matin. Je lui rappelle qu’il doit demander à mon mari et qu’on fait que des parties à 3. Doucement il secoue l’épaule de mon mari qui grogne et lui demande ce qu’il veut. Hein? Putain mais il est quelle heure? Je m’en fous, faîtes ce que vous voulez mais me dérangez pas, je veux encore dor.mir. Et il nous tourne le dos en allant se réfugier sur le côté opposé du lit. Je tombe des nues qu’il laisse carte blanche à son pote sans même surveiller ou regarder un minimum. Il me suce déjà un téton et titille l’autre en tirant doucement dessus. Il va vouloir me faire couiner fort pour que je doive étouffer mes cris pour ne pas réveiller mon mari. Je le connais, il est taquin. Et la situation doit trop l’exciter et l’amuser. Il continue d’aspirer mon mamelon en alternant avec des petits coups de langue. Sa deuxième main vient de se poser sur mon clitoris et il le frôle délicatement et habilement. Il m’embrasse dans le cou doucement puis remonte et me roule une pelle suave. Il me susurre qu’il va me faire l’amour comme jamais. Il répète mon prénom entre chaque baiser qu’il dépose sur mon corps. Il sort du lit et retire son boxer et reste debout. Comprenant ce qu’il veut, je me décale au bord du lit et le prend dans ma bouche. Il lâche un petit soupir de satisfaction en me caressant les cheveux. Il m’encourage avec des mots doux tout en dégageant les draps vers mon mari. Il admire mon corps comme si il le voyait pour la première fois. Il vient entre mes jambes et recommence à m’embrasser sur la bouche mais aussi sur le nez, les joues, le front… Il n’arrête pas, je sens son gros gland contre ma fente mais il me pénètre pas, il retarde cet instant. Il me parle à voix basse en me disant que je suis trop belle, que mon mari est chanceux et qu’il rêve d’une femme comme moi, qu’il rêve de moi comme femme. Il vient de me pénétrer en disant ces derniers mots. C’est rentré comme seul, j’étais déjà toute mouillée. Il ondule du bassin en douceur, j’écarte encore plus les jambes pour mieux le sentir en moi. Il s’en aperçoit et passe ses bras sous mes jambes pour les relever et les écarter en grand. C’est trop bon, il est bien au fond et bouge suavement, son pubis frotte contre mon clitoris. Ce sont des sensations trop voluptueuses, Seb cale mes genoux contre le matelas avec ses mains et accélère un peu ses mouvements en tapant bien au fond vu la position. Il me quitte pas des yeux. J’ai du mal à retenir mes cris, même si il reste doux et délicat. Il s’enfonce entièrement en moi et reste ainsi en m’embrassant une nouvelle fois. Il retire lentement sa bite de mon vagin. Je sens qu’il la prend avec sa main pour la guider vers mon anus. Il est déjà entrouvert à cause de ma position, quand je sens son gland faire pression dessus, je pousse pour ouvrir encore plus mon petit trou, son gland s’engouffre dans mon cul, il met un coup de rein en douceur et sa queue empale mes entrailles m’arrachant un petit cri de douleur. Juste ce qu’il faut. J’ai le vagin qui s’inonde à nouveau, c’est plus fort que moi. Pendant quelques secondes, il ne bouge plus puis il entame de grands va-et-vient très lents. À chaque fois, il sort pratiquement de mon cul pour plonger en entier dans mon cul complètement offert à son plaisir. Si il continue comme ça, je vais jouir trop vite. Il me parle mais j’ai pas tout entendu, j’étais concentré sur mes sensations et l’orgasme qui monte dans mes entrailles. Il parlait de mon trou du cul et qu’il en avait jamais baisé de meilleur. Ou quelque chose comme ça. Il remarque que mon désir monte et que je vais pas tarder à jouir, ça doit trop se voir sur mon visage. Toujours en gardant son pubis coller sur mon clitoris, il intensifie ses coups de bite dans mon cul. Il me troue trop bien le fion. Pardon pour cette vulgarité mais c’est trop bon, il va me faire jouir comme une folle. Il colle sa bouche contre la mienne, je sens son souffle. Je l’agrippe par les épaules pendant qu’il me déf.once sans vergogne maintenant mais en m’embrassant toujours. On a oublié mon mari pour le coup. Ça y est, je jouis. Putain, c’est trop bon. Je gémis sans fin dans sa bouche, c’est comme si il aspirait mes cris de jouissance. J’encaisse les vagues de contractions, je tremble de partout. Il arrête pas de me pilonner, j’ai l’anus tellement dilaté. Ces gestes deviennent saccadés, j’ouvre les yeux, il me regarde et me dit tout doucement « J’aime trop venir dans ton cul mon amour ». J’ai vraiment entendu Mon amour? En tout cas, il éjacule pendant une éternité j’ai l’impression. Il s’effondre sur moi en m’embrassant une dernière fois. Il halète fort, il reste sans bouger sa queue planter dans mon cul souillé de son sperme. Il a l’air épuisé tout d’un coup. Mon mari n’a même pas bougé. Il ronfle à nouveau. Seb se retire enfin de mon anus. Je me lève doucement en essayant de serrer les fesses. Il prend ma place dans le lit pendant que je m’éloigne pour aller aux toilettes. En regardant dans un miroir au mur, je remarque qu’il mate mon gros cul ondulant, ce cul qu’il vient de combler et remplir de sa semence. Avec amour?
Seb se glisse sous les draps à mes côtés. Il reprend ma main et la colle sur son boxer. Je sens sa bite en érection. Il me dit qu’il est trop chaud ce matin. Je lui rappelle qu’il doit demander à mon mari et qu’on fait que des parties à 3. Doucement il secoue l’épaule de mon mari qui grogne et lui demande ce qu’il veut. Hein? Putain mais il est quelle heure? Je m’en fous, faîtes ce que vous voulez mais me dérangez pas, je veux encore dor.mir. Et il nous tourne le dos en allant se réfugier sur le côté opposé du lit. Je tombe des nues qu’il laisse carte blanche à son pote sans même surveiller ou regarder un minimum. Il me suce déjà un téton et titille l’autre en tirant doucement dessus. Il va vouloir me faire couiner fort pour que je doive étouffer mes cris pour ne pas réveiller mon mari. Je le connais, il est taquin. Et la situation doit trop l’exciter et l’amuser. Il continue d’aspirer mon mamelon en alternant avec des petits coups de langue. Sa deuxième main vient de se poser sur mon clitoris et il le frôle délicatement et habilement. Il m’embrasse dans le cou doucement puis remonte et me roule une pelle suave. Il me susurre qu’il va me faire l’amour comme jamais. Il répète mon prénom entre chaque baiser qu’il dépose sur mon corps. Il sort du lit et retire son boxer et reste debout. Comprenant ce qu’il veut, je me décale au bord du lit et le prend dans ma bouche. Il lâche un petit soupir de satisfaction en me caressant les cheveux. Il m’encourage avec des mots doux tout en dégageant les draps vers mon mari. Il admire mon corps comme si il le voyait pour la première fois. Il vient entre mes jambes et recommence à m’embrasser sur la bouche mais aussi sur le nez, les joues, le front… Il n’arrête pas, je sens son gros gland contre ma fente mais il me pénètre pas, il retarde cet instant. Il me parle à voix basse en me disant que je suis trop belle, que mon mari est chanceux et qu’il rêve d’une femme comme moi, qu’il rêve de moi comme femme. Il vient de me pénétrer en disant ces derniers mots. C’est rentré comme seul, j’étais déjà toute mouillée. Il ondule du bassin en douceur, j’écarte encore plus les jambes pour mieux le sentir en moi. Il s’en aperçoit et passe ses bras sous mes jambes pour les relever et les écarter en grand. C’est trop bon, il est bien au fond et bouge suavement, son pubis frotte contre mon clitoris. Ce sont des sensations trop voluptueuses, Seb cale mes genoux contre le matelas avec ses mains et accélère un peu ses mouvements en tapant bien au fond vu la position. Il me quitte pas des yeux. J’ai du mal à retenir mes cris, même si il reste doux et délicat. Il s’enfonce entièrement en moi et reste ainsi en m’embrassant une nouvelle fois. Il retire lentement sa bite de mon vagin. Je sens qu’il la prend avec sa main pour la guider vers mon anus. Il est déjà entrouvert à cause de ma position, quand je sens son gland faire pression dessus, je pousse pour ouvrir encore plus mon petit trou, son gland s’engouffre dans mon cul, il met un coup de rein en douceur et sa queue empale mes entrailles m’arrachant un petit cri de douleur. Juste ce qu’il faut. J’ai le vagin qui s’inonde à nouveau, c’est plus fort que moi. Pendant quelques secondes, il ne bouge plus puis il entame de grands va-et-vient très lents. À chaque fois, il sort pratiquement de mon cul pour plonger en entier dans mon cul complètement offert à son plaisir. Si il continue comme ça, je vais jouir trop vite. Il me parle mais j’ai pas tout entendu, j’étais concentré sur mes sensations et l’orgasme qui monte dans mes entrailles. Il parlait de mon trou du cul et qu’il en avait jamais baisé de meilleur. Ou quelque chose comme ça. Il remarque que mon désir monte et que je vais pas tarder à jouir, ça doit trop se voir sur mon visage. Toujours en gardant son pubis coller sur mon clitoris, il intensifie ses coups de bite dans mon cul. Il me troue trop bien le fion. Pardon pour cette vulgarité mais c’est trop bon, il va me faire jouir comme une folle. Il colle sa bouche contre la mienne, je sens son souffle. Je l’agrippe par les épaules pendant qu’il me déf.once sans vergogne maintenant mais en m’embrassant toujours. On a oublié mon mari pour le coup. Ça y est, je jouis. Putain, c’est trop bon. Je gémis sans fin dans sa bouche, c’est comme si il aspirait mes cris de jouissance. J’encaisse les vagues de contractions, je tremble de partout. Il arrête pas de me pilonner, j’ai l’anus tellement dilaté. Ces gestes deviennent saccadés, j’ouvre les yeux, il me regarde et me dit tout doucement « J’aime trop venir dans ton cul mon amour ». J’ai vraiment entendu Mon amour? En tout cas, il éjacule pendant une éternité j’ai l’impression. Il s’effondre sur moi en m’embrassant une dernière fois. Il halète fort, il reste sans bouger sa queue planter dans mon cul souillé de son sperme. Il a l’air épuisé tout d’un coup. Mon mari n’a même pas bougé. Il ronfle à nouveau. Seb se retire enfin de mon anus. Je me lève doucement en essayant de serrer les fesses. Il prend ma place dans le lit pendant que je m’éloigne pour aller aux toilettes. En regardant dans un miroir au mur, je remarque qu’il mate mon gros cul ondulant, ce cul qu’il vient de combler et remplir de sa semence. Avec amour?
5 月 前