Petit traquenard
En sortant du bar, je manque de louper la marche. Heureusement mon mari me retient et j’éclate de rire. Je suis plus pompette que je ne le pensais. Au bout du compte, les rhums m’ont vraiment tapé la tête. Maintenant on doit récupérer la voiture pour raccompagner Sébastien, son meilleur ami. Je suis le mouvement, incapable de me rappeler où on l’a garée ; juste que c’était dans une ruelle. Mais où ? Mon mari me soutient par un bras et on avance tranquillement dans les rues plutôt calmes à cette heure-ci. Il s’arrête soudain et me roule une pelle d’anthologie. J’adore ça.
- J’ai trop de la chance d’avoir une petite femme comme quoi. T’es trop rock n roll. Mais je me demande si tu serais capable de montrer tes seins à Seb?
- T’es sérieux? Tu me demandes de montrer ma poitrine à ton ami?
- Je pense que tu n’en es pas capable.
Après coup, la ficelle était grosse mais, sur l’instant, les rhums aidant, j’ai foncé tête baissée. En toute candeur. Seb nous attend, à quelques pas. Je soulève mon top comme si de rien n’était et lui exhibe fièrement mes seins, comme une idiote. Il a l’air d’apprécier le spectacle et les fixe sans vergogne. Je me retourne vers mon mari.
- Alors?
- Bravo. Tu m’épateras toujours.
Je suis fière de moi. J’adore surprendre mon mari. Ça tangue un peu quand j’essaie de l’embrasser à nouveau. Il me galoche encore en me caressant les fesses sous ma jupe. On est presque arrivé à la voiture. Je reconnais enfin la ruelle. C’est désert. Il s’arrête à nouveau pour me rouler une pelle. Sa main repasse sous ma jupe mais je sens qu’il la soulève plus que de raison. J’esquisse un mouvement pour la rabaisser.
- Et tes fesses? Tu serais capable de lui montrer?
J’ai plus trop de limite, l’alcool m’a complètement désinhibée. J’avance de quelques pas devant eux puis je relève ma jupe et me retrouve les fesses à l’air, juste en string. J’entends des applaudissements. Mon mari se rapproche de moi en me disant qu’il aime trop quand je me lâche comme ça, que ça l’excite.
- C’est trop excitant chérie mais tu as un peu triché quand même.
- Comment ça?
- Tu as gardé ton string, c’est pas du jeu.
- Tu veux que je montre ma fente à ton pote? C’est ça?
- Tu ferais ça pour moi?
Il prend ma main et la colle sur sa braguette. Je sens sa bite en érection sous son pantalon.
Je recule de quelques pas en regardant dans les yeux, je l’enlève mon string en faisant attention de ne pas tomber. Ça met un peu de temps mais je suis maintenant le string à la main devant eux, son pote s’étant placé à côté de mon homme. Je jette mon string au visage de mon mari qui l’attrape en plein vol et le hume longuement. Je me retourne, surveille que personne n’arrive dans la rue et me penche en avant en relevant ma jupe. Je sens une petite brise caresser ma vulve humide. Je reste dans cette position un petit moment puis, sans vraiment savoir pourquoi, avec mes mains, j’écarte mes fesses pour ouvrir ma fente en grand. J’entends un ‘Oh putain’ fusé. Lentement, je réajuste correctement ma jupe et leur demande si le spectacle leur a plu. Ils se rapprochent tous les deux de moi.
- Je sais pas si c’est l’éclairage mais j’avais l’impression que ta moule était toute luisante.
Il m’embrasse à nouveau, tendrement, amoureusement et je chavire. Sa main s’immisce sous ma jupe une nouvelle fois, décidément il est chaud ce soir, même en présence de son ami. Ses doigts frôle l’intérieur de ma cuisse, je retiens mon souffle puis je sens enfin son majeur se poser sur ma vulve inondée. Est-ce qu’il va oser me doigter en présence de son pote? Même si ce dernier ne peut rien voir son ma jupe. J’ouvre les yeux pour quand même m’en assurer. Mon homme a aussi les yeux ouverts et c’est là que je me rends compte que c’est Seb qui a ses doigts à l’entrée de mon vagin. Je me dégage brusquement.
- Qu’est-ce qu’il t’arrive ? me demande mon mari
- Ton soi-disant ami allait me mettre un doigt. Il me touchait la fente déjà.
Au passage, je le vois d’ailleurs qui sent ses doigts gluants.
- Ça te plairait pas? On a déjà évoqué le sujet pourtant.
- Oui mais, en général, pas spécialement avec lui.
- Ça serait un problème?
Je fixe pendant une éternité mon mari dans les yeux et je réfléchis à tout ça à travers les brumes du rhum. Sans rien dire, j’embrasse mon homme. Quelques secondes après, je sens le majeur de Seb trifouiller ma chatte avec adresse.
- Tu m’as jamais dit que ta femme mouillait autant. C’est les grandes Eaux de Versailles là-dessous.
Je me rappelle plus bien du trajet en voiture jusque chez nous. J’étais trop perdu dans mes pensées et des conséquences de ma décision. Dans le salon, ils me déshabillent et je me retrouve nue avec juste mes chaussures compensées aux pieds. Ils m’embrassent, me doigtent ou me lèchent les seins à tour de rôle puis mon mari sort sa bite et me met à genoux pour le sucer. Son ami fait de même et se branle en nous regardant. Enfin il demande à son pote de venir à coté de lui et oriente mon visage vers sa queue, assez imposante, je dois le reconnaître. Et là, depuis la première fois en 4 ans, j’ai la bite d’un autre homme que le mien dans la bouche. J’y vais doucement au début mais en prenant soin de l’enfoncer entièrement dans ma gorge. Il a l’air d’apprécier cette petite attention. J’alterne pendant un moment entre les queues puis, sans prévenir, mon mari me fait mettre à 4 pattes et dis à son pote de se caler derrière moi. Il m’attrape par les hanches et me pénètre jusqu’à la garde d’un seul mouvement lent. Je gémis malgré moi. C’est trop bizarre. Je vois mon mari devant moi et pourtant j’ai une bite de fourrée dans la chatte. Mon cerveau m’imprime pas tout de suite. Sébastien a accéléré ses va-et vient. Putain, c’est trop bon. Non, je dois me contrôler, j’ai pas le droit de prendre du plaisir avec un autre. Je retiens mes gémissements, je m’interdis de jouir. C’est compliqué, maintenant Seb me démonte carrément à grands coups de bites. Je suis arc-boutée sur mes avant-bras pour ne pas m’affaler sur le ventre. Je ne quitte pas des yeux mon mari qui se branle de plus en plus vite. Son copain tape trop fort dans ma chatte, je m’arrive plus à retenir mes cris.
- Je vais gicler dans ta femme, elle est trop bonne. Pardon Marina.
Je tourne la tête pour essayer de voir ce qu’il se passe. Il grimace malgré lui en faisant des mouvements saccadés. Je comprends qu’il est en train d’éjaculer dans mon vagin. Je me retourne pour observer la réaction de mon mari et, là, je prends de grosses giclées de foutre en plein visage. J’en ai partout puis je sens la bite de mon mari qui s’immisce dans ma bouche pour que je l’aspire à fond…
- J’ai trop de la chance d’avoir une petite femme comme quoi. T’es trop rock n roll. Mais je me demande si tu serais capable de montrer tes seins à Seb?
- T’es sérieux? Tu me demandes de montrer ma poitrine à ton ami?
- Je pense que tu n’en es pas capable.
Après coup, la ficelle était grosse mais, sur l’instant, les rhums aidant, j’ai foncé tête baissée. En toute candeur. Seb nous attend, à quelques pas. Je soulève mon top comme si de rien n’était et lui exhibe fièrement mes seins, comme une idiote. Il a l’air d’apprécier le spectacle et les fixe sans vergogne. Je me retourne vers mon mari.
- Alors?
- Bravo. Tu m’épateras toujours.
Je suis fière de moi. J’adore surprendre mon mari. Ça tangue un peu quand j’essaie de l’embrasser à nouveau. Il me galoche encore en me caressant les fesses sous ma jupe. On est presque arrivé à la voiture. Je reconnais enfin la ruelle. C’est désert. Il s’arrête à nouveau pour me rouler une pelle. Sa main repasse sous ma jupe mais je sens qu’il la soulève plus que de raison. J’esquisse un mouvement pour la rabaisser.
- Et tes fesses? Tu serais capable de lui montrer?
J’ai plus trop de limite, l’alcool m’a complètement désinhibée. J’avance de quelques pas devant eux puis je relève ma jupe et me retrouve les fesses à l’air, juste en string. J’entends des applaudissements. Mon mari se rapproche de moi en me disant qu’il aime trop quand je me lâche comme ça, que ça l’excite.
- C’est trop excitant chérie mais tu as un peu triché quand même.
- Comment ça?
- Tu as gardé ton string, c’est pas du jeu.
- Tu veux que je montre ma fente à ton pote? C’est ça?
- Tu ferais ça pour moi?
Il prend ma main et la colle sur sa braguette. Je sens sa bite en érection sous son pantalon.
Je recule de quelques pas en regardant dans les yeux, je l’enlève mon string en faisant attention de ne pas tomber. Ça met un peu de temps mais je suis maintenant le string à la main devant eux, son pote s’étant placé à côté de mon homme. Je jette mon string au visage de mon mari qui l’attrape en plein vol et le hume longuement. Je me retourne, surveille que personne n’arrive dans la rue et me penche en avant en relevant ma jupe. Je sens une petite brise caresser ma vulve humide. Je reste dans cette position un petit moment puis, sans vraiment savoir pourquoi, avec mes mains, j’écarte mes fesses pour ouvrir ma fente en grand. J’entends un ‘Oh putain’ fusé. Lentement, je réajuste correctement ma jupe et leur demande si le spectacle leur a plu. Ils se rapprochent tous les deux de moi.
- Je sais pas si c’est l’éclairage mais j’avais l’impression que ta moule était toute luisante.
Il m’embrasse à nouveau, tendrement, amoureusement et je chavire. Sa main s’immisce sous ma jupe une nouvelle fois, décidément il est chaud ce soir, même en présence de son ami. Ses doigts frôle l’intérieur de ma cuisse, je retiens mon souffle puis je sens enfin son majeur se poser sur ma vulve inondée. Est-ce qu’il va oser me doigter en présence de son pote? Même si ce dernier ne peut rien voir son ma jupe. J’ouvre les yeux pour quand même m’en assurer. Mon homme a aussi les yeux ouverts et c’est là que je me rends compte que c’est Seb qui a ses doigts à l’entrée de mon vagin. Je me dégage brusquement.
- Qu’est-ce qu’il t’arrive ? me demande mon mari
- Ton soi-disant ami allait me mettre un doigt. Il me touchait la fente déjà.
Au passage, je le vois d’ailleurs qui sent ses doigts gluants.
- Ça te plairait pas? On a déjà évoqué le sujet pourtant.
- Oui mais, en général, pas spécialement avec lui.
- Ça serait un problème?
Je fixe pendant une éternité mon mari dans les yeux et je réfléchis à tout ça à travers les brumes du rhum. Sans rien dire, j’embrasse mon homme. Quelques secondes après, je sens le majeur de Seb trifouiller ma chatte avec adresse.
- Tu m’as jamais dit que ta femme mouillait autant. C’est les grandes Eaux de Versailles là-dessous.
Je me rappelle plus bien du trajet en voiture jusque chez nous. J’étais trop perdu dans mes pensées et des conséquences de ma décision. Dans le salon, ils me déshabillent et je me retrouve nue avec juste mes chaussures compensées aux pieds. Ils m’embrassent, me doigtent ou me lèchent les seins à tour de rôle puis mon mari sort sa bite et me met à genoux pour le sucer. Son ami fait de même et se branle en nous regardant. Enfin il demande à son pote de venir à coté de lui et oriente mon visage vers sa queue, assez imposante, je dois le reconnaître. Et là, depuis la première fois en 4 ans, j’ai la bite d’un autre homme que le mien dans la bouche. J’y vais doucement au début mais en prenant soin de l’enfoncer entièrement dans ma gorge. Il a l’air d’apprécier cette petite attention. J’alterne pendant un moment entre les queues puis, sans prévenir, mon mari me fait mettre à 4 pattes et dis à son pote de se caler derrière moi. Il m’attrape par les hanches et me pénètre jusqu’à la garde d’un seul mouvement lent. Je gémis malgré moi. C’est trop bizarre. Je vois mon mari devant moi et pourtant j’ai une bite de fourrée dans la chatte. Mon cerveau m’imprime pas tout de suite. Sébastien a accéléré ses va-et vient. Putain, c’est trop bon. Non, je dois me contrôler, j’ai pas le droit de prendre du plaisir avec un autre. Je retiens mes gémissements, je m’interdis de jouir. C’est compliqué, maintenant Seb me démonte carrément à grands coups de bites. Je suis arc-boutée sur mes avant-bras pour ne pas m’affaler sur le ventre. Je ne quitte pas des yeux mon mari qui se branle de plus en plus vite. Son copain tape trop fort dans ma chatte, je m’arrive plus à retenir mes cris.
- Je vais gicler dans ta femme, elle est trop bonne. Pardon Marina.
Je tourne la tête pour essayer de voir ce qu’il se passe. Il grimace malgré lui en faisant des mouvements saccadés. Je comprends qu’il est en train d’éjaculer dans mon vagin. Je me retourne pour observer la réaction de mon mari et, là, je prends de grosses giclées de foutre en plein visage. J’en ai partout puis je sens la bite de mon mari qui s’immisce dans ma bouche pour que je l’aspire à fond…
7 月 前