Lèche Ange 2

Celui qui me tient par la laisse, Dominohh ou Gentle_Daddy, qui sait, me demande de me mettre à quatre pattes. Le second, reste derrière moi, sans doute pour la vue quand je vois l’éclair d’un flash. Je ne pense pas avoir dépassé la vitesse autorisée pourtant, donc c’est aucun doute pour la vue sur ma croupe.
- Ce rosebud planté dans ton cul te sied à merveille.
- Merci monsieur.
Je veux regarder en arrière mais le maître me tenant en laisse n’est pas du même avis.
- Avance chienne !
Il tire vigoureusement sur la laisse ne me laissant pas le choix. Le sol en pierre me râ p e les genoux, ils vont être beaux mes bas ! On traverse ainsi la pièce sans qu’il ne me laisse le loisir de regarder plus attentivement ce qui s’y trouve. Alors que je veux regarder sur le côté je reçois une claque fermement assénée sur mon cul. Je pousse un cri de surprise et de douleur.
- Regarde devant toi salope !
- Oui Monsieur.
Le détenteur de la laisse s’arrête, je n’ose pas relever la tête de peur de me prendre une nouvelle claque.
- Relève toi chienne.
- Oui Monsieur.
Je joins le geste à la parole, les yeux baissés, ce qui me permet de constater que mes bas ont pris cher. Une petite voix intérieure me souffle que ce n’est sans doute rien à côté de ce que je vais prendre.
Je n’ai pas le temps de dire ouf, qu’un bandeau vient se poser sur mes yeux. Plongée dans le noir, je sens deux paires de mains me saisir par les bras. Sans ménagement, ils me conduisent droit devant me semble-t-il jusqu’à ce que mon bassin butte sur un bord dur. Ils m’obligent à me pencher en avant, mes seins, mon ventre se retrouvent plaqués sur une surface rigide, lisse, du bois peut être… Ils s’affairent à attacher mes poignets aux pieds de ce qui pourrait être une table, avant de faire la même chose avec mes chevilles. Non ce n’est pas une table, bien trop étroit, un banc plutôt sur lequel je me retrouve ficelée, dinde offerte en pâture à mes deux tortionnaires.
- Et maintenant, mon cher ami, que pensez-vous que nous allons pouvoir faire de notre esclave.
- Il me semble qu’elle mérite pour commencer une correction pour son lamentable strip tease.
- Je suis bien d’accord.
En entendant l’annonce d’une sentence, que je sais méritée pour avoir joué les allumeuses à deux balles, mon corps se tend. Pourtant, je le savais qu’en minaudant ainsi, la sentence allait tomber, je l’ai cherchée, avide de ressentir ma chair meurtrie, pourtant je ne peux empêcher cette soudaine montée d’adrénaline.
- Dis-nous que c’était lamentable.
- Je suis d’accord Messieurs, c’était lamentable.
- Bien, tu auras donc vingt coups de badine sur ton cul d’allumeuse.
- Oui Monsieur.
Le premier coup s’abat aussitôt. Je ne peux m’empêcher de pousser un cri de douleur, au deuxième coup elle se fait ressentir plus intensément, je serre les dents, le troisième m’arrache un nouveau cri, au quatrième les larmes me montent aux yeux, au cinquième je sens un sanglot s’étrangler dans ma gorge, au sixième, septième, huitième elle devient insupportable, cuisante, divinement ravageuse. Je les entends compter en cœur à chaque nouvelle frappe. Au neuvième mes larmes coulent sur mes joues. Au dixième, je sens les forces quitter mon corps, la douleur se métamorphose en autre chose, mon corps semble lâcher prise, mon cerveau émet un message troublant, comme si par son pouvoir chaque nouveau coup allait devenir un plaisir. Mais après ce dixième coup, plus rien, silence, conciliabules. Je n’aime pas ces moments d’attente, je déteste ne pas savoir ce qui se trame dans mon dos. Pourquoi s’arrêtent-ils maintenant, alors que j’étais prête, résignée, avide de recevoir une nouvelle volée de bois vert. Mais ces deux Messieurs en ont décidé autrement.
J’entends qu’on s’approche de ma tête, je suis saisie par les cheveux, en même temps que je sens quelque chose de doux et chaud se poser sur mes lèvres de façon insistante et une voix me dit : « Ouvre ta bouche de putain et suce-moi salope ! »
Il appuie sa queue qui pénètre dans ma bouche alors que les coups recommencent à pleuvoir. Pluie de grêle cinglante, qui me coupe le souffle, la bouche pleine de cette queue qui la pilonne sans pitié, s’enfonçant toujours plus loin. L’air me manque, cette bite m’étouffe, elle s’enfonce trop profondément dans ma gorge, je n’arrive plus à respirer, j’ai des hauts le cœur, je suis réduite au silence alors que tout mon corps veut hurler sa détresse. Treize, le sadique à la baguette prend son temps avant d’abattre une nouvelle fois cette badine, quatorze, pitoyable épave échouée sur ce banc de la honte, quinze, où est la fière amazone parfaitement coiffée, seize, fière de son maquillage que j’imagine maintenant dégoulinant indécemment sur mes joues remplies de larmes, dix-sept, le rouge éclatant de mes lèvres a dû s’étaler autour de ma bouche et sur la queue de celui qui continue de la baiser en râlant de plaisir. Dix-huit, me voilà clown triste, une queue palpitante dans la bouche, dix-neuf mes fesses sont en feu mais je ne ressens plus aucune douleur, vingt, je suis ce que je suis venue chercher, humiliée, salie, punie. La pluie de grêle s’est arrêtée, la bite décharge son foutre dans ma gorge. Enfin un peu de douceur, je m’en délecte entre deux sanglots, je reçois cette offrande avec reconnaissance.
- Nettoie mon gland correctement chienne !
- Oui monsieur…Je lèche ce gland que mon interlocuteur, laisse sur ma bouche. Toute cette douceur sur ma langue, quelle caresse. Je m’applique, m’en délecte alors qu’une main se glisse de façon inattendue entre mes cuisses.
- Cette chienne est trempée, tu as apprécié ta punition.
- Oui Monsieur, merci de m’avoir si bien puni.
- Mais regarde-toi tu ne ressembles plus à rien traînée.
Il met retire mon bandeau, malgré la faible clarté qui règne dans la pièce, je cligne des yeux. Ils ont placé un miroir face à moi, pitoyable spectacle qui m’est offert… Mon visage est devenu un tableau d’art abstrait, les coulures de noires se mélangent aux larmes pour se mêler au rouge étalé autour de ma bouche où s’amalgament bave et morve ; je découvre ainsi le triste et sublime tableau de ma déchéance.
- C’est vrai Monsieur, je ne ressemble à rien.
- Tu es une somptueuse putain ainsi défigurée.
- Merci Monsieur.
- Qu’est-ce que tu es pour nous ?
- Votre putain, Monsieur.
Mes deux maîtres me détachent et me redressent cette fois avec beaucoup de douceur, il faut dire que cette séance m’a pas mal ébranlée. Je ne fais plus la maline, je ne suis plus aussi fière sur mes échasses. L’un d’entre eux, replace derrière mon oreille une mèche échappée de mon chignon. Son geste est doux, empreint de tendresse. Je devine alors quel est son auteur, fougueux, pervers mais tendre. Je lui adresse un sourire timide pour le remercier. En y regardant de plus près je vois que ses yeux sont un peu plus clairs que son complice, pas de doute c’est bien lui. Si je ne peux pas les reconnaître grâce à leur stature, ils ont 2 petits centimètres de différence et si l’un est mince, l’autre est plus athlétique, dans leurs costumes sombres difficile de dire lequel est le plus fin des deux. Mais ces quelques indices me donnent la réponse que je cherchais. Je garde pour moi ma découverte.
Ils m’amènent jusqu’à un canapé de cuir noir et m’invitent à m’y allonger sur le côté face au dossier. Je m’interroge sur leurs intentions. Je me m’installe dans la position demandée, en évitant de poser mon cul endolori sur le cuir, aussi doux soit-il. Les deux hommes s’affairent dans mon dos, je n’ose évidemment pas me retourner sans y être invitée. L’un deux s’approche et dit :
- Nous allons faire une petite pause avant de continuer, nous te voulons en pleine possession de tes moyens pour la suite.
- Merci Monsieur.
J’entends le bruit d’un bouchon qu’on dévisse, une odeur d’amande douce me parvient. Une main enduite de crème se pose sur la peau de mon séant devenue si sensible. Avec des gestes qui me semblent d’une infinie douceur après la correction que je viens de recevoir, mon bienfaiteur étale ce baume qui immédiatement soulage mes cuisantes fesses. Je soupire d’aise, tant de suavité me plonge dans une demi-léthargie.
Une deuxième main, m’attrape la tête pour venir appliquer un coton imbibé d’une lotion pour nettoyer le brouillon qu’est devenu mon visage, si je pouvais, je ronronnerais.
Une fois leurs soins réparateurs terminés, des mains me caressent le dos, les jambes, le ventre, les seins… Là, les caresses deviennent plus insistantes, je sens que la fin de la récréation a sonné. Une main pousse ma jambe vers l’avant pour s’insérer dans mon entre jambe. Je sens les doigts glisser entre les lèvres de ma vulve, jouer avec mon clitoris pendant que plus hauts les doigts du second caressent, pincent mes tétons. Ces caresses ont pour effet de me sortir de mon état léthargique. Les caresses se montrent plus pressantes, plus intrusives, je sens le désir me tordre le ventre. J’entends le souffle des hommes devenir plus rapide, je suis certaine que leur verge est tendue, cette idée me met en joie, joie de courte durée.
Les mains se retirent simultanément, on reprend ma laisse pour me faire descendre de ce si douillet canapé, l’accalmie aura été de courte durée, mais m’a heureusement permis de reprendre des forces.
- Mets-toi à quatre pattes, chienne, la tête sur le canapé.
- Oui, Monsieur.
Obéissante, je me place comme il m’a été demandé. On m’attrape les mains pour les placer dans mon dos et je sens qu’on enserre mes poignets et qu’une barre maintient les deux bracelets entre eux. Nouveau flash, ce qui me fait penser que pendant la précédente séance, les yeux bandés je n’ai pu voir si j’avais été flashée…
- Nous allons maintenant nous occuper de tes orifices.
Je frissonne.
- Oui, Monsieur.
- Parce que tu aimes ça putain.
- Oui, Monsieur.
- Dis-le que tu es notre putain.
- Je suis votre putain, Monsieur.
Sans préavis, l’un d’entre eux tire sur mon plug pour l’extirper de mon petit trou. Je pousse un petit cri.
- Voilà une salope bien dilatée, qu’en pensez-vous mon cher ami ?
- Je pense que l’on peut faire mieux.
- Effectivement, on peut toujours mieux faire, n’est-ce pas chienne ?
- Sans doute, Monsieur.
- Ce n’est pas une bonne réponse, me dit l’un d’eux, en m’assenant une claque sur la fesse, ravivant aussitôt le feu quasiment éteint. Je pousse un cri de douleur et répond à ce vicelard :
- Oui Monsieur, on peut toujours mieux faire.
- Nous allons donc nous en occuper séance tenante.
- Merci Monsieur.
Mais après quelques minutes rien ne se passe. Ils me laissent mariner dans cette position pendant de longues minutes, une éternité. Quelques flashs encore, discussions à voix basse. Cette attente s’éternise et devient insupportable.
Séance tenante… tu parles.
Je les entends maintenant s’agiter dans mon dos, j’ai beau me concentrer sur les sons émis, je ne parviens pas à deviner ce qu’ils manigancent. Ne pas savoir finit par m’angoisser.
Ils sont maintenant juste derrière moi, tout près quand j’entend le bruit d’une machine qu’on met en route.
Le bruit se rapproche. Comme un bruit de va et vient…
- Prépare toi salope, ton moment est venu.
C’est brutal, soudain, inattendu… quelque chose me pénètre la chatte, puis commence des allers et retours réguliers, une sex machine ! Un gode aux dimensions à faire pâlir bien des messieurs s’insinue en moi à un rythme lent et régulier. Et encore un flash…
- Tu aimes ça, chienne.
- Oui… Monsieur.
Mais les deux pervers n’ont pas l’intention de s’arrêter là, progressivement ils augmentent la vitesse de la machine qui me pilonne sans vergogne. Ces va et vient répétés, baise machinale, intense, cette bite qui me dé fon ce sans jamais faiblir me comblent de plaisir. Un premier orgasme arrive et me submerge. Mais la machine continue son incessant pilonnage. J’ai du mal à retrouver mon souffle, j’aurais besoin d’une pose. Afin que je ne me dérobe pas à cette baise mécanique l’un de mes deux maîtres vient s’asseoir sur le canapé, me soulève par les épaules pour se glisser sous ma tête. Il sort sa queue de son pantalon et la colle sur mes lèvres. Le message est clair. Il m’attrape par les cheveux pour me coller sa bite dans la bouche alors que je cherche à reprendre ma respiration. Elle me pénètre au rythme donné par la main qui guide les mouvements de ma tête. Je ne maîtrise plus rien.
Et cette satanée machine qui continue inlassablement, tapant dans mon vagin sans faiblir. C’est à la limite du supportable. Mon corps tout entier réagit à chaque nouvelle insertion, mon cœur s’est emballé, je sens monter un nouvel orgasme quand tout s’arrête...
Je reste à la merci de cette main qui m’oblige toujours à sucer la queue de Monsieur. Pendant ce temps, on s’affaire derrière moi. La machine se remet en route. Cette fois elle pénètre mon anus … La machine m’encule. Je pousse un cri déchirant lorsque l’énorme engin me pourfend. Flash… Lentement son membre de silicone se retire pour se réintroduire aussitôt. Jouissive douleur, mon corps tout entier se tend. Chaque nouvelle percée me transperce, me terrasse et cette queue qui ne cesse de remplir ma bouche. Le vicieux aux manettes accélère le tempo, mon anus se dilate un peu plus à chaque nouvelle perforation. Mes sens s’affolent, je gémis, j’étouffe, c’est trop. Mais rien ne sert à arrêter ni la machine, ni la verge qui vient jusque dans ma gorge. Le rythme est devenu insoutenable, tous mes membres tremblent.
- C’est comme ça qu’on baise une salope comme toi !
Evidemment impossible de répondre…
L’orgasme me fait imploser en mille morceaux, j’ai l’impression que chaque cellule de tout mon être rentre en fusion. C’est ce moment incandescent que choisi mon envahisseur buccal pour décharger dans ma gorge. De long jets de spermes s’écoulent sur ma langue, remplissent ma bouche, coulent sur mon menton… et cette machine qui continue de me baiser alors que je suffoque. Et comme ci ça ne suffisait pas, cet infernal engin continue inlassablement de me baiser le cul. J’oscille entre cris de plaisir et pleurs tellement les sensations sont poussées à l’extrême. Je voudrais que ça s’arrête, maintenant. Mes bras entravés dans mon dos me tirent. Mes genoux sur le sol de plus en plus dur me font mal. Le temps s’écoule rythmé par le ronronnement de cette machine et mes gémissements. Je suis épuisée… Mais mes tortionnaires doivent estimer que ce n’est pas assez.
La machine s’arrête. Nouveau remue ménage, j’en profite pour reprendre mon souffle et mes esprits. Mais le répit est de courte durée. De nouveau le bruit entêtant de la machine reprend… Je me fais prendre aussitôt par deux queues en même temps. Le pervers aux manettes a dû adapter un double sextoy. Je pousse un râle quand les deux orifices se font assaillir brutalement. Et le va et vient infernal reprend, inexorablement. Mes chairs sur sollicitées me rendent dingue, odieux plaisir, s’il en est, qui me dévaste. Et ce maudit flash encore… J’halète comme la chienne que je suis. Encore une fois la cadence s’accélère, c’est insoutenable. Je tente de me débattre quand une claque assénée avec force calme instantanément mes tentatives d’échapper à la diabolique mécanique. Mon corps m’échappe, mon esprit divague et les orgasmes douloureux me ravagent le ventre. Je manque d’air…
Toujours maintenue fermement je m’abandonne de guerre lasse, prisonnière de leurs vices. Les orgasmes se succèdent, violents, me terrassant, mes nerfs lâchent. Mon corps n’est plus que soubresauts, des sanglots surgissent, libérateurs.
Un déclic, le moteur cesse, fin de partie, je m’écroule, poupée de chiffon, plus une once d’énergie.
Les deux hommes me prennent dans leur bras. Pour calmer le flot de mes intarissables larmes ils me caressent la tête, comme on caresse un animal de compagnie. Mes larmes finissent par se tarir. Ils me redressent, me déposent sur le canapé, où je m’effondre non sans pousser un soupir de profond soulagement. Encore tremblante, je les remercie d’un timide sourire. Ils me couvrent d’une douce couverture, retirent leurs affreuses cagoules et me sourient à leur tour.
- Repose-toi, me dit Jacques, tu auras besoin de forces pour t’occuper de nous à ton tour,
Cette perspective me ravit. Avec un grand sourire je lui réponds :
- Et comment !…
发布者 RoseMaryass
6 月 前
评论
18
账户以发表评论
RoseMaryass 出版商 5 月 前
solcaliente : Voilà de quoi passer un bon été et faire frétiller les papilles 
回答 显示原始评论
solcaliente 5 月 前
l'effeuillage..suite a votre salade., le robot mixant vos chairs en orgasme ., la lacération en lardons.. on tient la, la recette estivale ^^
回答
ccandau
ccandau 6 月 前
RoseMaryass : oui c'est très excitant
回答 显示原始评论
RoseMaryass 出版商 6 月 前
ccandau : Détenue et mise à nue par deux pervers sans retenue 
回答 显示原始评论
ccandau
ccandau 6 月 前
quelle suite ces deux pervers jouent de ton corps de soumise à merveille très bandant merci
回答
RoseMaryass 出版商 6 月 前
caso29 : Et moi je les connais ces deux pervers 
回答 显示原始评论
RoseMaryass 出版商 6 月 前
caso29 : Eh oui c’est moi qui ai les cartes en main
回答 显示原始评论
caso29
caso29 6 月 前
RoseMaryass : Pas sur qu'ils vont te laisser les dominer, tu es et tu resteras leur Salope Soumise.....quoi que c'est toi qui écrit :stuck_out_tongue_winking_eye:
回答 显示原始评论
RoseMaryass 出版商 6 月 前
caso29 : Pour ça compte sur moi tu connais mon côté switch
回答 显示原始评论
RoseMaryass 出版商 6 月 前
Vous m’en voyez outrageusement ravie
回答
caso29
caso29 6 月 前
Sublime, je bande de la première à la dernière ligne.
Et ce supplice de la fuck machine te déchirant sans discontinuité et te faisant jouir de longue. 2 tortionnaires qu'il va falloir honorer à préseent
回答
RoseMaryass 出版商 6 月 前
torpilleur : Si tu le dis, seulement il faudra un jour que tu m’expliques le sens de mot? Il doit me manquer la référence je pense… Mais merci ton foupoudav .
回答 显示原始评论
torpilleur
torpilleur 6 月 前
Que dire de plus,  après Alice,  on se sent tout petit,  presque ridicule,  heuuu non ridicule carrément,   je peux simplement dire que tes récits sont comme le chant des sirènes . Si on commence à les lire c est FOUPOUDAV 
回答
RoseMaryass 出版商 6 月 前
IDAELE : Ce flot de compliments venant d’une orfèvre telle que toi est une délicieuse caresse. Tu seras toujours la bienvenue pour venir te rassasier dans mon auberge où je suis en recherche perpétuelle de nouvelles recettes aux épices secrètes.
回答 显示原始评论
IDAELE
IDAELE 6 月 前
C'est dingue, ça suppure le vécu. Encore une admirable démonstration de ton talent de conteuse. Difficile, non impossible de lever les yeux, une fois plongée en toi. C'est une véritable auberge, un self sévices où chacun peut à l'envie venir remplir son assiette, le tout nappé de sauces piquantes dont seule tu as le Secret. Surtout surtout ne dévoile pas tes recettes endiablées, il est si bon de venir en salle et attendre que tu viennes déposer de quoi nous rassasier régulièrement. Si seulement les algorithmes censeurs pouvaient cesser de brider ta verve. Nous gagnerions en fluidité. Encore merci 
回答
hellyeeeeah
hellyeeeeah 6 月 前
RoseMaryass : Et tu sais que combien ca fonctionne :fire: 🤤
回答 显示原始评论
RoseMaryass 出版商 6 月 前
hellyeeeeah : Tu sais combien te donner du plaisir avec mes mots me donne à mon tour une infini jouissance 
回答 显示原始评论
hellyeeeeah
hellyeeeeah 6 月 前
J'adore ! :fire:
L'histoire, ton écriture, tu nous donnes envie d'y être ! En participant, profitant de ta bouche pour y décharger toute sa liqueur, ou juste en voyeur, tapis dans l'ombre à se soulager en regardant toutes ces délicieuses horreur 🤤
回答