Une invitée de taille 3

Les jambes encore tremblantes, je me dirige vers le coin cuisine où se trouve nos verres d’eau, déjà remplis. Ma petite tortionnaire m’accompagne, petite elfe maléfique… Nous restons silencieuses, comme le désire le maitre de ces lieux. Je finis par lever les yeux, nos regards se croisent et, à ce moment-là, je lis dans celui d’Alice tellement de douceur, que j’en suis surprise et émue. Je retrouve la fragile jeune fille croisée à mon arrivée. Anges et démons semblent cohabiter sous cette splendide chevelure blonde. Ses yeux semblent vouloir me demander pardon, je lui souris, elle me renvoie un joli sourire, me faisant oublier en un instant que c’est sa main qui a laissé de cuisantes traces sur mes fesses.

Mais je n’ai pas le temps de laisser mes pensées errer plus longtemps, que déjà la voix du maître se fait entendre, il semble impatient de nous faire connaître la suite. Nous voilà en bons petits soldats plantées devant celui qui va dicter notre conduite pendant les minutes ou les heures qui vont suivre.
- Tu vas m’attacher cette petite salope au mur dans la même position que toi, me dit-il en me tendant les liens.
- Oui Maître François.
Alice se place seule contre le mur, et provocatrice à souhait écarte bras et jambes pour que je l’attache. Les rôles devraient être inversés, pourtant j’ai l’étrange sentiment, que pour le moment c’est toujours ce petit bout de bonne femme qui tient les rênes. Je commence par attacher ses poignets… ses articulations sont si fines que j’ai peur de les casser. Elle semble si fragile, mais son regard de défiance, me rappelle à l’ordre. Cette gamine cache en elle quelque chose de dur… ou alors cet air bravache est là pour nous cacher une réelle fragilité ?... Mais je dois faire abstraction de qui se cache derrière ce masque et rester concentrée sur les ordres qui vont suivre.
Une fois ma première tache terminée, je me recule et ne peux m’empêcher d’être subjuguée par la beauté que dégage ce corps un peu trop maigre, et cette poitrine fièrement dressée si appétissante, que même l’hétérosexuelle que je suis à très envie de s’y attarder.
A croire que Maître François a un don de divination, car je l’entends me dire :
- Tu vas commencer par t’occuper de sa poitrine à cette petite salope. Et comme tu es une bonne chienne, tu vas la lécher, la malaxer, la pétrir, lui pincer ses tétons. Je veux que tu la maltraites.
- Oui Maître François.
Il est là derrière moi, il nous observe silencieux, je sens sa présence, elle est presque palpable, je sais que rien ne lui échappe. Je me dois d’être obéissante .Je m’approche de ma future proie partagée entre l’envie de toucher cette délicate créature avec douceur et la maltraiter pour lui rendre la monnaie de sa pièce.
Je commence par caresser cette poitrine si délicieusement dessinée, elle est douce, moelleuse. Je me rends compte de l’attraction que ces deux globes auréolés de rose peuvent avoir sur la gent masculine. Plus j’y touche plus je sens l’envie de les malaxer plus vigoureusement. J’approche ma bouche et commence à lécher un de ces deux gros tétons qui me font de l’œil depuis que sa robe a fini sur le sol. Il est dur, roule sous ma langue. Je l’aspire, le tire avec mes lèvres. Brutalement, je suis surprise par une fulgurante douleur sur mon cul déjà meurtri. Je sursaute, me retourne et découvre maître François muni du martinet.
- Je t’ai demandé de maltraiter cette poitrine espèce de chienne, pas de lui faire des papouilles.
- Pardon Maître François.
- Ne me déçois pas.
- Non Maître François.
Il n’y est pas allé de ma main morte la douleur est cuisante. J’enrage, après tout elle a visiblement pris son pied à me maltraiter cette petite garce. Cette fois je saisis à pleine main cette splendide paire de seins que je pétris fermement. Le regard d’Alice brille, il semble me dire : « c’est tout ce que tu as dans le ventre. » je saisis ses deux tétons et les pince entre mes doigts, rien dans son regard ne semble la faire vaciller. Je sens monter en moi une nouvelle excitation, je ressens le besoin de lui faire mal, un plaisir malsain m’envahit L’envie me prend de gifler cette arrogante poitrine et je ne me gêne pas. J’alterne mes gifles avec des pincements. Mais cette petite bougresse ne bronche et pas et ça m’excite encore plus. Il me prend l’envie subite de mordre cette chair si blanche, si douce… ou cet insolent téton. J’approche ma bouche du petit provocateur, m’en saisis et le m o r d s… Alice se tend légèrement mais ne bronche pas. J’alterne morsures et sucions, je suis au comble de l’excitation et pour qui irait fourrer ses doigts entre les lèvres charnues de ma chatte y serait englué de ma cyprine. A cet instant je suis devenue la pire des salopes. Mais une main ferme me saisit par les cheveux pour me tirer en arrière, je sens la bouche de mon maitre se poser sur la mienne, il me donne un baiser passionné, brutal puis tire de nouveau ma tête en arrière en me disant :
- Voilà ça c’est ma salope, J’aime quand tu réponds à mes désirs sale pute.
- Merci Maître François.
- Maintenant à toi de jouer avec le martinet, fouette là comme elle le mérite cette chienne.
- Oui Maître François.
Je me saisis de cet engin de torture, regarde Alice dans les yeux et n’y lit aucune appréhension.
Timidement, je commence à lui asséner un premier coup sur ces fines cuisses, puis un deuxième.
Le regard d’Alice a l’air de me dire même pas mal. Alors, je commence à frapper un peu plus fort, à chaque coup donné je ressens la morsure des lanières dans ma chair. Sa peau commence à se zébrer de rose, et toujours ce regard insolent, alors je frappe plus fort, les marques sont plus marquées plus rouges. La même excitation s’empare de mon bras, Je fouette ses cuisses, son ventre, ses seins. Une sorte de frénésie me prend, une satisfaction à voir chaque coup laisser des traces. En levant les yeux, je perçois des larmes dans les yeux d’Alice, mon bras reste en suspens, mais la belle ingénue sert les dents et me provoque par un nouveau sourire. De nouveau je sens cette envie d’entendre les lanières fouetter l’air avant de claquer sur sa peau et de laisser leur empreinte, effacer ce sourire bravache de ce visage de poupée. Mon bras s’abaisse à nouveau, encore et encore. Alice semble ailleurs, je la trouve magnifique, la douleur ne semble plus l’affecter, elle est passée de l’autre côté, là où la douleur devient, par un subterfuge du cerveau, plaisir. Et moi qui suis devenue son bourreau, je sens mon ventre tendu d’un désir incroyable, mon sexe est trempé de ce désir dont en temps normal je devrais avoir honte. Mon bras va s’abattre une nouvelle fois, mais maître François me le saisit, je suis comme en trans.
- Tu as aimé ça sale pute ! Et toi aussi ! dit-il en s’adressant à Alice. Vous êtres deux vraies salopes. Je suis fière de vous.
Il la détache, elle reste fièrement campée sur ses deux jambes, dans ses yeux aucun reproche, juste cette lueur indescriptible qui vient les hanter.
Maître François me demande alors d’enduire le corps lacéré de notre jeune amie d’une huile apaisante, mélange subtil de calendula et de rose. Bien entendu je m’exécute, avec d’autant de plaisir que mon euphorie de bourreau est retombée et que j’espère soulager la peau meurtrie de ma frêle victime.
Après avoir versé l’huile au doux parfum au creux d'une de mes mains, je la frottre contre l'autre afin de bien la repartir. Maître François exige que je commence par le bas du corps, je m’atèle à cette nouvelle tâche avec un plaisir indéniable.
Sentir mes mains glisser sur cette peau de fille, si lisse, si douce, la rendre toute luisante, me donne une incroyable envie de me frotter contre ce corps que j’enduis peu à peu entièrement d’huile. Quand mes doigts sont arrivés au niveau de sa vulve, je n’ai pu que constater qu’elle était trempée de cyprine… Mes coups de martinets avaient donc excité Alice à ce point… Je ne m’attarde pas et continue mon ascension, jusqu’à ses seins que je masse avec un plaisir plus grand encore. Je sens ses tétons titiller le creux de mes mains, c’est délicieux. Arrivée à ses épaules, je redescends par la face nord, coté fesses, avec un passage un peu plus appuyé sur son joli petit cul. La voilà maintenant toute enduite, petite elfe luisante, qui se voit assigner à son tour à la même tache que moi. Je sens ses petites mains huileuses se promener sur ma peau, cette douceur après toute cette tension n’en est que plus appréciable. Je me laisse aller sous ces mains délicates. A mon tour luisante et glissante, j’aimerais encore sentir ses mains caresser mon corps, je désire la toucher, mon corps ressent un besoin irrésistible de se frotter au sien, J’ai envie de cette fille, une envie féroce. Après nous être infligées ces petites tortures, pourquoi pas nous donner un peu de plaisir. Mais c’est sans compter sur ce que désire Maître François, devenu le chef d’orchestre de nos corps.
Il attrape la laisse toujours fixée à mon collier et m’oblige à m’allonger sur un tapis en mousse qu’il a sorti d’en dessous du lit.
Il demande à Alice de m’enjamber de façon à placer chacun de ses pieds de chaque côté de mon corps. Au dessus de moi, je vois sa petite fente s’entrouvrir, me donnant le spectacle de sa petite chatte suintante de cyprine.
- Pisse sur cette pute !
- Oui Maître François !
Je vais recevoir la pisse de cette fille sur mes seins, j’en suis toute émoustillée. Avec un sourire de grande satisfaction, il est vrai que nos vessies commencent à se faire un peu trop pesantes, elle commence à lâcher un long jet d’urine chaude qui gicle sur ma poitrine, et j'aime sentir ce liquide chaud me couler dessus.
- Ouvre la bouche sale pute.
Sans réfléchir, je réponds aux ordres, ouvre ma bouche et reçois un premier jet d’urine sur ma langue. Je deviens le réceptacle de cette douche dorée. Je ferme les yeux, le liquide m’éclabousse le visage, s’écoule dans mon cou, je m’oublie et me surprends à en éprouver du plaisir. Les dernières gouttes rebondissent sur ma joue, Maitre François m’ordonne d’avaler ce que j’ai dans la bouche et nettoyer la chatte d’Alice. Cet ordre là a du mal à passer. Je n'apprécie pas le goût que j'ai dans la bouche, je suis prise d' un léger haut le coeur, que je tente de maîtriser et bravement j'avale. Je me focalise sur l'idée que je vais avoir bientôt le gout de la cyprine de cette petite allumeuse pour en finir avec cette boisson qui n'est certes pas ma préférée . Je me redresse et colle ma bouche sur sa chatte trempée de sa pisse et de sa mouille, Je suis hors de moi et je me jette avec une avidité démesurée sur sa petite chatte rose. Ma langue fouille son orifice plein de cyprine et dont je me repais.
Mais Maître François veille au grain, et me stoppe dans mon élan, encore une fois...

A suivre…
发布者 RoseMaryass
8 月 前
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caso29
caso29 7 月 前
Une bonne soumise à son Maître sait devenir une vraie tortionnaire avec les autres Salopes et Alice et toi formaient le + fabuleux duo de perverses
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hellyeeeeah
hellyeeeeah 7 月 前
Ce maitre qui t'empêche de te repaitre du meilleur des miels... quelle torture !
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Psylome
Psylome 8 月 前
Ce qui semble être, l'image, les apparences... et la réalité. Cette brutalité distillant douleur et jouissance, presque une délivrance au moment de l'orgasme. Le cerveau envoi un message... le corps un autre.
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Elodie82
Elodie82 8 月 前
Un régal 
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ccandau
ccandau 8 月 前
RoseMaryass : comme tout bon maitre
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RoseMaryass 出版商 8 月 前
ccandau : Un vrai maître queue
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ccandau
ccandau 8 月 前
un régal le maitre sait se faire obéir 
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IDAELE
IDAELE 8 月 前
solcaliente : Ecriture mille feuilles , Rose est une pâtissière hors paire ....de menottes 
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solcaliente 8 月 前
lorsque se conjugue douleur et plaisir, dégout et effet de transe, l'elfe s'épanche sur toi..et en revanche tu risques de la dorer a ton tour..ta cyprine est palpable sous tes mots ..tellement jouissif ^^
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IDAELE
IDAELE 8 月 前
Hmmmm Ma Douce , comme tu parviens à décrire avec magnificence ces moments magiques passés ensemble . Ta mémoire a tout retenu . kiss spécial , là où tu sais .
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torpilleur
torpilleur 8 月 前
je suis aussi hors de moi , dans tous mes états et j aurais adoré glisser mes doigts entre tes levres charnues , ouiiiiiiiiiiiiiiiii j aurais aimé ça !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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