Une invitée de taille 2
Munie de mon collier de chienne asservie et de sa laisse, je me vois trainée d’une main ferme par cette jeune fille aux apparences d’elfe. C’est à cet instant que mon cerveau me fait prendre conscience que je ne m’appartiens plus. En quelques seconde je suis devenue le jouet de Maître François et de sa jeune amie.
Alice me plaque dos au mur, saisit ma main pour l’attacher à l’un des anneaux fixés en hauteur. Je souris intérieurement en pensant qu’avec mon mètre soixante-huit, je ne vois pas bien comment cette petite blondinette va pouvoir m’attacher. Mon sourire intérieur s’efface rapidement, un mini escabeau en bois avait été placé à proximité… Elle s’en empare et monte dessus avec u petit air de victoire, je finis par me demander si cette fille ne lit pas dans mes pensées. Alors qu’elle passe un lien autour de mon poignet avant de le fixer au premier anneau, je sens ses cheveux frôler mon corps dénudé, léger frisson. Elle réitère l’opération pour mes trois autres membres. Avant de m’attacher les jambes, elle m’a gentiment délestée de mon string. Me voilà crucifiée, dos au mur, dénudée, impuissante. Cette situation inédite pour moi, crée une confusion des genres dans mon esprit. Je suis à la fois la proie d’une réelle angoisse, mêlée d’une certaine excitation. Des sentiments mitigés qui m’assaillent par vagues, quand la voix de mon maître se fait entendre.
- Bande-lui les yeux.
- Bien Maître
Avec un regard qui en dit long sur le plaisir qu’elle prend à toutes ces manœuvres, Alice me colle sur les yeux qui me rend aveugle instantanément.
Attachée, aveugle, je suis totalement à la merci des désirs de mon maître et des mains de cette drôle de petite elfe.
Pendant un moment qui me semble une éternité le silence se fait, rien ne se passe. Ces longues secondes font monter en moi un sentiment d’angoisse difficilement maitrisable, et toujours cette pointe d’excitation. J’entends les bruissements d’un pas de quelqu’un qui se déplace, qui se rapproche. Je perçois une odeur masculine, un souffle près de mon visage, une main qui se pose sur mon sein, je tressaille. La main malaxe mon sein, je sais bien que c’est la main de mon maître.
Il saisit le téton et le pince sans aucune retenue, je pousse un petit cri de douleur.
- Prends les pinces et mets-lui sur ses petits seins de pute.
- Oui Maître François.
Dans ma tête c’est le chaos, j’ai déjà tenté l’expérience avec des pinces à linge, je n’avais pas forcément apprécié cette douloureuse sensation, pourtant il faut reconnaître que j’avais ressenti quelque chose qui peut s’apparenter à du plaisir.
Pendant qu’Alice cherche les pinces, le maître continue de me pincer les tétons par intermittence, tout en malaxant sans ménagement ma pauvre poitrine. Je sens son souffle sur ma peau, il se fait plus fort, sans doute l’excitation…
Je l’entends se reculer, et sens une main légère et fraiche se poser sur mon sein, je devine que c’est la main d’Alice. Elle s’approche de mon oreille et me chuchote, malicieuse « Je vais bien m’occuper de toi. » Je ne sais pas trop comment je dois prendre ça. Je n’ai pas le temps d’y réfléchir, que la diablesse pose la première pince sur mon téton plutôt habitué à être traité avec la douceur d’une langue, ou de doigts bienveillants. La douleur est vive mais supportable, elle s’empare de l’autre sein et lui fait subir le même sort. A cet instant, je ne sais pas ce qui est le pire, la douleur qui irradie dans ma poitrine, ou ne pas savoir ce que mijote le maître de cérémonie. Le cours de mes pensées est interrompu par la voix de maitre François.
- Aujourd’hui je veux te voir encore une fois totalement soumise à mes désirs, comme la bonne chienne que tu es. Je vais te faire osciller entre douleur et plaisir, tu vas adorer ça ma salope, n’est-ce pas ?
- ….Oui … maître François.
Devant mes hésitations, le maître s’approche, me saisit par le menton ;
- Je trouve que tu manques un peu d’enthousiasme, tu as peur ?
- Un peu oui.
- Tu ne me fais pas confiance ?
- Si Maître François.
- Bien, je préfère ça, dit-il en déposant un rapide et furtif baiser sur mon front d’une façon totalement inattendue, mais ce geste a aussitôt le pouvoir de me détendre.
- Alice, prends cette cravache et occupe-toi de ma pute.
- Oui Maître François
Si à cet instant, j’avais pu voir ses yeux, je n’aurais pas manqué d’y retrouver cette drôle de lueur indiquant que la jeune et gracile Alice allait prendre un malin plaisir à jouer avec mon corps.
Plantée devant moi, avec ses longs cheveux ondulés qui descendent en cascade sur son corps de poupée Barbie, elle se prépare à gentiment maltraiter mon corps.
Elle commence par faire glisser le petit rectangle de cuir, sur mes jambes, en remontant jusqu’entre mes cuisses. Elle passe sur mon ventre et se fait un malin plaisir à venir sur mes seins.
Les caresses, se transforment en légers coups rapides, qu’elle finit par concentrer sur ma vulve. Chaque petit coup asséné sur mon clitoris est un pur délice, petite décharge de plaisir. Mais, la petite garce n’en reste pas là et elle continue d’augmenter l’intensité des coups. C’est alors un subtil mélange de sensations, entre douleur et plaisir. Ma chatte est littéralement en feu, et je sens ma cyprine s’en écouler. Soudain elle frappe mes seins, vive douleur qui me fait crier et pas de plaisir. Je sens bien que le démon s’est emparé d’Alice et que ce n’est pas aux pays des merveilles qu’elle veut m’embarquer.
- Arrête ! La voix de mon maître retentit dans la pièce qui s’était rempli des claquements de la cravache sur ma peau et de mes gémissements.
- Tu as bien travaillé ma belle salope, maintenant dis moi si cette chienne est mouillée ?
- Oui Maître François.
Je sens ses doigts s’insinuer entre mes lèvres.
- Elle est trempée Maître François.
- Hmmmm quelle salope ! Agenouille toi et bouffe lui la chatte.
- Oui Maître François.
Une fois à genoux entre mes jambes, elle me saisit les fesses et colle sa bouche à ma chatte. Je sens sa langue qui me nettoie consciencieusement ma mouille, puis qui joue habilement avec mon clito me faisant onduler de plaisir, malgré la douleur qui se fait plus pressente sur mes tétons. Je suis saisi par un orgasme libérateur de toutes ces tensions imposées par ces deux-là. Comme pour contrarier cet orgasme bienvenu, Maître François vient donner des petits coups dans mes pinces tétons, ravivant la douleur. Je sers les dents, je veux que mon maître soit fier de moi.
Je l’entends à nouveau s’éloigner, farfouiller et revenir. Alice est restée à genoux, je sens son souffle rapide sur ma vulve. Elle doit être bien excitée cette petite salope. Maître François rompt le silence qui avait envahi la pièce :
- Prends ça et fais-en bonne usage.
- Oui Maître François.
J’entends un déclic le bruit d’un petit moteur, que mon oreille aguerrie reconnait immédiatement ; un vibromasseur…
Mon cerveau de chienne en chaleur fait des sauts périlleux de joie, je vais prendre un sacré pied.
Rien que d’y penser, je mouille à nouveau.
Alice colle l’engin sur ma chatte et masse mon clitoris qui m’envoie des décharges de plaisir instantanément, d’autant plus que le cunnilingus de la petite diablesse l’a rendu très réceptif. Très rapidement je sens que je vais être submergée par une nouvelle vague orgasmique, cet engin est diabolique ment efficace. En un instant le plaisir explose dans mon ventre faisant trembler tout mon corps, en même temps que la douleur se fait plus intense sous le pincement de ces maudites pinces. Mais la belle petite blonde laisse le vibromasseur en place et continue méthodiquement à me titiller le clito. Là, c’est terrible, mon petit bouton est devenu hyper sensible, mon corps est pris de spasmes sous ces terribles vibrations qui ne cessent de m’assaillir. Le plaisir est intense, trop intense, rapidement je jouis à nouveau… Mais Alice ne retire toujours pas ce terrible engin, qui d’engin de plaisir devient peu à peu un engin de torture, tout mon corps tremblent, j’ai du mal à retrouver mon souffle quand un nouvel orgasme me terrasse. Elle continue, je n’en peux plus, ma cyprine coule le long de ma cuisse, dans une sorte de brouillard, j’entends le Maître dire : « Regarde comme elle coule cette salope, t’aime ça qu’elle te fasse vibre ton clito sale pute ! »
Et ce putain de vibro qui continue, mon clitoris en devient douloureux, quand un nouvel orgasme me tétanise, je crie « Stop ! »
Alice retire aussitôt le vibro, coupe le moteur. Tout mon corps est pris de tremblement, ma peau d’une légère couche de sueur. Mes bras me font mal, les pinces me font souffrir, je suis à bout de force.
Je sens qu’on défait les liens retenant mes pieds, puis que les pinces me sont retirées, enfin mes poignets sont libérés à leur tour. Je tremble sur mes jambes, Maître François qui vient de me libérer, me soutien pour me faire avancer jusqu’au lit. Là il me pousse dessus je m’affale, les draps sur lesquels je tombe me semble d’une incroyable douceur, pour un peu je demanderai bien la marque de l’adoucissant, je dois avoir l’esprit qui s’égare. Il tire mes bras au-dessus de ma tête pour les attacher de nouveaux, cette fois au montant du lit. Décidément, c’est une manie. Moi qui pensais en avoir fini…
Il me demande alors, de relever mon cul. Je me redresse sur mes genoux, ma tête enfouis dans les draps.
- Pour avoir réclamer qu’Alice arrête sa séance de masturbation, je vais de voir te punir.
Tu comprends.
- Oui Maître François prononce ma bouche, pendant que mon cerveau pense tout à fait le contraire. Mais après tout je n’ai peut-être pas été assez endurante, étonnement je me mets à penser que oui je mérite ma punition, ne pas décevoir mon maître…
- Alice va chercher le martinet pour punir cette vilaine pute.
- Oui Maître François.
Pas la peine de al voir, j’entends dans sa vois qu’elle se régale la petite garce aux allures angéliques. Tu parles d’un ange.
J’offre à ces deux-là le spectacle de mon cul en buse, je me cambre, l’air de dire vas y punis moi, mais regarde bien comme je suis offerte. J’ai à ce moment là une terrible envie d’être baisée, comme si l’idée du martiner m’excitait. C’est sur cette fois je ne leur ferai pas le plaisir de lâcher l’affaire.
Alice est revenue et s’amuse à me caresser le dos et les fesse avec les lanières du martinet.
- Donne lui vingt coups de martinet.
- Oui Maître François.
Ah oui quand même, vingt coups… Je sers les dents.
Le premier coup vient cingler la peau de mes fesses, le deuxième tombe, puis le troisième, le quatrième… Elle n’y va pas trop fort, mais quand même, puis les coups s’enchainent plus mordant, au dixième je me prends à espérer le onzième, la douleur devient supportable, mon système nerveux s’est habitué dirait-on. Continue ma belle salope. Provocatrice je me mets à bouger mon cul comme pour dire, vas-y fouette moi, encore. Et lentement les dix derniers coups viennent mordre la peau tendre de mon cul, à n’en pas douté striée de griffures rouges. Lorsqu’Alice a donné son vingtième et ultime coup de martinet, je sens des doigts se glisser dans ma chatte et remonter jusqu’à mon anus.
- Mais regarde-moi ça, cette salope est trempée ! Je vais te prendre ton cul comme tu aimes, comme la pute que tu es.
- Oui Maître François.
Il se place derrière moi, et m’encule sans ménagement. Cette séance l’a particulièrement excité.
Je sens sa queue s’insérer profondément dans ce petit orifice, étroit passage mais ô combien accueillant. Il entame de vigoureux allés et venues me faisant gémir d’un plaisir non dissimulé.
- Tu aimes ça chienne !
- Ouiii
- Tu aimes que je fourre ma queue dans ton cul de salope.
- Oh oui !
- Dis-le !
- J’aime quand vous m’enculer Maître François.
- Dis-moi que tu es une vraie salope.
- Je suis une vraie salope maitre François.
- Que tu es ma pute.
- Je suis votre pute maître François.
Mon orgasme arrive à ce moment-là, délicieux, virulent, libérateur. Maître François se retire subitement, défais mes liens, retire mon bandeau, me tire hors du lit, me mets à genoux et m’ordonne :
- Suce-moi, et prends mon foutre dans ta bouche.
Je n’ai pas le temps de répondre, qu’il m’attrape par les cheveux et pénètre ma bouche pour me la baiser. Sa queue, délicieuse friandise, remplit ma bouche et très rapidement palpite avant de gicler sur ma langue, dans ma gorge. Je me délecte de cette offrande, et maintenant libre de mes mouvements, attrape sa queue et nettoie méticuleusement son gland, jusqu’à récupérer la dernière goutte de sperme.
Il me relève, et me dit :
- Je suis fière de toi, mais cette séance n’est pas terminée. Allez boire un coup et revenez.
A suivre….
Alice me plaque dos au mur, saisit ma main pour l’attacher à l’un des anneaux fixés en hauteur. Je souris intérieurement en pensant qu’avec mon mètre soixante-huit, je ne vois pas bien comment cette petite blondinette va pouvoir m’attacher. Mon sourire intérieur s’efface rapidement, un mini escabeau en bois avait été placé à proximité… Elle s’en empare et monte dessus avec u petit air de victoire, je finis par me demander si cette fille ne lit pas dans mes pensées. Alors qu’elle passe un lien autour de mon poignet avant de le fixer au premier anneau, je sens ses cheveux frôler mon corps dénudé, léger frisson. Elle réitère l’opération pour mes trois autres membres. Avant de m’attacher les jambes, elle m’a gentiment délestée de mon string. Me voilà crucifiée, dos au mur, dénudée, impuissante. Cette situation inédite pour moi, crée une confusion des genres dans mon esprit. Je suis à la fois la proie d’une réelle angoisse, mêlée d’une certaine excitation. Des sentiments mitigés qui m’assaillent par vagues, quand la voix de mon maître se fait entendre.
- Bande-lui les yeux.
- Bien Maître
Avec un regard qui en dit long sur le plaisir qu’elle prend à toutes ces manœuvres, Alice me colle sur les yeux qui me rend aveugle instantanément.
Attachée, aveugle, je suis totalement à la merci des désirs de mon maître et des mains de cette drôle de petite elfe.
Pendant un moment qui me semble une éternité le silence se fait, rien ne se passe. Ces longues secondes font monter en moi un sentiment d’angoisse difficilement maitrisable, et toujours cette pointe d’excitation. J’entends les bruissements d’un pas de quelqu’un qui se déplace, qui se rapproche. Je perçois une odeur masculine, un souffle près de mon visage, une main qui se pose sur mon sein, je tressaille. La main malaxe mon sein, je sais bien que c’est la main de mon maître.
Il saisit le téton et le pince sans aucune retenue, je pousse un petit cri de douleur.
- Prends les pinces et mets-lui sur ses petits seins de pute.
- Oui Maître François.
Dans ma tête c’est le chaos, j’ai déjà tenté l’expérience avec des pinces à linge, je n’avais pas forcément apprécié cette douloureuse sensation, pourtant il faut reconnaître que j’avais ressenti quelque chose qui peut s’apparenter à du plaisir.
Pendant qu’Alice cherche les pinces, le maître continue de me pincer les tétons par intermittence, tout en malaxant sans ménagement ma pauvre poitrine. Je sens son souffle sur ma peau, il se fait plus fort, sans doute l’excitation…
Je l’entends se reculer, et sens une main légère et fraiche se poser sur mon sein, je devine que c’est la main d’Alice. Elle s’approche de mon oreille et me chuchote, malicieuse « Je vais bien m’occuper de toi. » Je ne sais pas trop comment je dois prendre ça. Je n’ai pas le temps d’y réfléchir, que la diablesse pose la première pince sur mon téton plutôt habitué à être traité avec la douceur d’une langue, ou de doigts bienveillants. La douleur est vive mais supportable, elle s’empare de l’autre sein et lui fait subir le même sort. A cet instant, je ne sais pas ce qui est le pire, la douleur qui irradie dans ma poitrine, ou ne pas savoir ce que mijote le maître de cérémonie. Le cours de mes pensées est interrompu par la voix de maitre François.
- Aujourd’hui je veux te voir encore une fois totalement soumise à mes désirs, comme la bonne chienne que tu es. Je vais te faire osciller entre douleur et plaisir, tu vas adorer ça ma salope, n’est-ce pas ?
- ….Oui … maître François.
Devant mes hésitations, le maître s’approche, me saisit par le menton ;
- Je trouve que tu manques un peu d’enthousiasme, tu as peur ?
- Un peu oui.
- Tu ne me fais pas confiance ?
- Si Maître François.
- Bien, je préfère ça, dit-il en déposant un rapide et furtif baiser sur mon front d’une façon totalement inattendue, mais ce geste a aussitôt le pouvoir de me détendre.
- Alice, prends cette cravache et occupe-toi de ma pute.
- Oui Maître François
Si à cet instant, j’avais pu voir ses yeux, je n’aurais pas manqué d’y retrouver cette drôle de lueur indiquant que la jeune et gracile Alice allait prendre un malin plaisir à jouer avec mon corps.
Plantée devant moi, avec ses longs cheveux ondulés qui descendent en cascade sur son corps de poupée Barbie, elle se prépare à gentiment maltraiter mon corps.
Elle commence par faire glisser le petit rectangle de cuir, sur mes jambes, en remontant jusqu’entre mes cuisses. Elle passe sur mon ventre et se fait un malin plaisir à venir sur mes seins.
Les caresses, se transforment en légers coups rapides, qu’elle finit par concentrer sur ma vulve. Chaque petit coup asséné sur mon clitoris est un pur délice, petite décharge de plaisir. Mais, la petite garce n’en reste pas là et elle continue d’augmenter l’intensité des coups. C’est alors un subtil mélange de sensations, entre douleur et plaisir. Ma chatte est littéralement en feu, et je sens ma cyprine s’en écouler. Soudain elle frappe mes seins, vive douleur qui me fait crier et pas de plaisir. Je sens bien que le démon s’est emparé d’Alice et que ce n’est pas aux pays des merveilles qu’elle veut m’embarquer.
- Arrête ! La voix de mon maître retentit dans la pièce qui s’était rempli des claquements de la cravache sur ma peau et de mes gémissements.
- Tu as bien travaillé ma belle salope, maintenant dis moi si cette chienne est mouillée ?
- Oui Maître François.
Je sens ses doigts s’insinuer entre mes lèvres.
- Elle est trempée Maître François.
- Hmmmm quelle salope ! Agenouille toi et bouffe lui la chatte.
- Oui Maître François.
Une fois à genoux entre mes jambes, elle me saisit les fesses et colle sa bouche à ma chatte. Je sens sa langue qui me nettoie consciencieusement ma mouille, puis qui joue habilement avec mon clito me faisant onduler de plaisir, malgré la douleur qui se fait plus pressente sur mes tétons. Je suis saisi par un orgasme libérateur de toutes ces tensions imposées par ces deux-là. Comme pour contrarier cet orgasme bienvenu, Maître François vient donner des petits coups dans mes pinces tétons, ravivant la douleur. Je sers les dents, je veux que mon maître soit fier de moi.
Je l’entends à nouveau s’éloigner, farfouiller et revenir. Alice est restée à genoux, je sens son souffle rapide sur ma vulve. Elle doit être bien excitée cette petite salope. Maître François rompt le silence qui avait envahi la pièce :
- Prends ça et fais-en bonne usage.
- Oui Maître François.
J’entends un déclic le bruit d’un petit moteur, que mon oreille aguerrie reconnait immédiatement ; un vibromasseur…
Mon cerveau de chienne en chaleur fait des sauts périlleux de joie, je vais prendre un sacré pied.
Rien que d’y penser, je mouille à nouveau.
Alice colle l’engin sur ma chatte et masse mon clitoris qui m’envoie des décharges de plaisir instantanément, d’autant plus que le cunnilingus de la petite diablesse l’a rendu très réceptif. Très rapidement je sens que je vais être submergée par une nouvelle vague orgasmique, cet engin est diabolique ment efficace. En un instant le plaisir explose dans mon ventre faisant trembler tout mon corps, en même temps que la douleur se fait plus intense sous le pincement de ces maudites pinces. Mais la belle petite blonde laisse le vibromasseur en place et continue méthodiquement à me titiller le clito. Là, c’est terrible, mon petit bouton est devenu hyper sensible, mon corps est pris de spasmes sous ces terribles vibrations qui ne cessent de m’assaillir. Le plaisir est intense, trop intense, rapidement je jouis à nouveau… Mais Alice ne retire toujours pas ce terrible engin, qui d’engin de plaisir devient peu à peu un engin de torture, tout mon corps tremblent, j’ai du mal à retrouver mon souffle quand un nouvel orgasme me terrasse. Elle continue, je n’en peux plus, ma cyprine coule le long de ma cuisse, dans une sorte de brouillard, j’entends le Maître dire : « Regarde comme elle coule cette salope, t’aime ça qu’elle te fasse vibre ton clito sale pute ! »
Et ce putain de vibro qui continue, mon clitoris en devient douloureux, quand un nouvel orgasme me tétanise, je crie « Stop ! »
Alice retire aussitôt le vibro, coupe le moteur. Tout mon corps est pris de tremblement, ma peau d’une légère couche de sueur. Mes bras me font mal, les pinces me font souffrir, je suis à bout de force.
Je sens qu’on défait les liens retenant mes pieds, puis que les pinces me sont retirées, enfin mes poignets sont libérés à leur tour. Je tremble sur mes jambes, Maître François qui vient de me libérer, me soutien pour me faire avancer jusqu’au lit. Là il me pousse dessus je m’affale, les draps sur lesquels je tombe me semble d’une incroyable douceur, pour un peu je demanderai bien la marque de l’adoucissant, je dois avoir l’esprit qui s’égare. Il tire mes bras au-dessus de ma tête pour les attacher de nouveaux, cette fois au montant du lit. Décidément, c’est une manie. Moi qui pensais en avoir fini…
Il me demande alors, de relever mon cul. Je me redresse sur mes genoux, ma tête enfouis dans les draps.
- Pour avoir réclamer qu’Alice arrête sa séance de masturbation, je vais de voir te punir.
Tu comprends.
- Oui Maître François prononce ma bouche, pendant que mon cerveau pense tout à fait le contraire. Mais après tout je n’ai peut-être pas été assez endurante, étonnement je me mets à penser que oui je mérite ma punition, ne pas décevoir mon maître…
- Alice va chercher le martinet pour punir cette vilaine pute.
- Oui Maître François.
Pas la peine de al voir, j’entends dans sa vois qu’elle se régale la petite garce aux allures angéliques. Tu parles d’un ange.
J’offre à ces deux-là le spectacle de mon cul en buse, je me cambre, l’air de dire vas y punis moi, mais regarde bien comme je suis offerte. J’ai à ce moment là une terrible envie d’être baisée, comme si l’idée du martiner m’excitait. C’est sur cette fois je ne leur ferai pas le plaisir de lâcher l’affaire.
Alice est revenue et s’amuse à me caresser le dos et les fesse avec les lanières du martinet.
- Donne lui vingt coups de martinet.
- Oui Maître François.
Ah oui quand même, vingt coups… Je sers les dents.
Le premier coup vient cingler la peau de mes fesses, le deuxième tombe, puis le troisième, le quatrième… Elle n’y va pas trop fort, mais quand même, puis les coups s’enchainent plus mordant, au dixième je me prends à espérer le onzième, la douleur devient supportable, mon système nerveux s’est habitué dirait-on. Continue ma belle salope. Provocatrice je me mets à bouger mon cul comme pour dire, vas-y fouette moi, encore. Et lentement les dix derniers coups viennent mordre la peau tendre de mon cul, à n’en pas douté striée de griffures rouges. Lorsqu’Alice a donné son vingtième et ultime coup de martinet, je sens des doigts se glisser dans ma chatte et remonter jusqu’à mon anus.
- Mais regarde-moi ça, cette salope est trempée ! Je vais te prendre ton cul comme tu aimes, comme la pute que tu es.
- Oui Maître François.
Il se place derrière moi, et m’encule sans ménagement. Cette séance l’a particulièrement excité.
Je sens sa queue s’insérer profondément dans ce petit orifice, étroit passage mais ô combien accueillant. Il entame de vigoureux allés et venues me faisant gémir d’un plaisir non dissimulé.
- Tu aimes ça chienne !
- Ouiii
- Tu aimes que je fourre ma queue dans ton cul de salope.
- Oh oui !
- Dis-le !
- J’aime quand vous m’enculer Maître François.
- Dis-moi que tu es une vraie salope.
- Je suis une vraie salope maitre François.
- Que tu es ma pute.
- Je suis votre pute maître François.
Mon orgasme arrive à ce moment-là, délicieux, virulent, libérateur. Maître François se retire subitement, défais mes liens, retire mon bandeau, me tire hors du lit, me mets à genoux et m’ordonne :
- Suce-moi, et prends mon foutre dans ta bouche.
Je n’ai pas le temps de répondre, qu’il m’attrape par les cheveux et pénètre ma bouche pour me la baiser. Sa queue, délicieuse friandise, remplit ma bouche et très rapidement palpite avant de gicler sur ma langue, dans ma gorge. Je me délecte de cette offrande, et maintenant libre de mes mouvements, attrape sa queue et nettoie méticuleusement son gland, jusqu’à récupérer la dernière goutte de sperme.
Il me relève, et me dit :
- Je suis fière de toi, mais cette séance n’est pas terminée. Allez boire un coup et revenez.
A suivre….
8 月 前