Une invitée de taille 1
Depuis notre première séance, le temps s’est écoulé, chacun de nous est retourné à son quotidien. Bien entendu nous avons continué de communiquer, Maître François me procurant une formation en distanciel, terme devenu très tendance ces dernières années. Il y a quelques jours, il m’a annoncé que nous allions nous retrouver une nouvelle fois. Il n’a pas trop été explicite sur ce qui m’attendait, seulement que je ne serai pas seule.
Pour ce deuxième rendez-vous, je dois me rendre directement dans la maisonnette où se sont déroulés nos premiers ébats.
La porte du jardin est ouverte, j’ai pour mission de la refermer derrière moi selon la dernière instruction que j’ai reçu sur mon téléphone.
Je traverse ce jardin toujours aussi magnifiquement entretenu, un savant mélange d’essences aux couleurs chatoyantes et aux parfums enivrants.
J’ai hâte de découvrir ce qui m’attend dans cette maisonnette, des jours que j’échafaude des scénarios classés x, en même temps qu’une petite pointe d’appréhension. Je sais qu’il y aura une nouvelle jeune femme, mais va-t- elle me plaire autant que la plantureuse Perrine ?
Et que nous réserve, Maître François ?
Est-ce que je serai à la hauteur de ses attentes ? …
De toute manière il est trop tard pour se poser toutes ces questions je suis devant la porte.
Je frappe, on m’ouvre la porte. Une toute jeune fille m’ouvre la porte. Elle est vêtue d’une petite robe noire moulante, ses jambes sont gainées de bas noirs, petite tenue exigée par Maitre François pour ce nouveau rendez-vous.
Je suis frappée par sa frimousse de petite fille, surmontée d’une magnifique chevelure blonde qui lui descend jusqu’au bas des reins. Elle m’accueille par un timide sourire.
- Bonjour, moi c’est Alice.
- Bonjour, enchantée, moi c’est…
- Rose Mary, m’interrompt-elle. Maître François m’a beaucoup parlé de toi.
Ah ?
Elle m’invite à entrer et poser mon sac dans un coin de la pièce unique de cette maisonnette.
En passant le pas de la porte, je suis frappée par la pénombre qui y règne.
Mes yeux mettent un peu de temps à s’y habituer. Les volets ont été fermés et partout dans la pièce sont disposées une multitude de bougies donnant à ce lieu un aspect hors du temps. J’aperçois enfin mon maître installé dans son fauteuil et qui nous observe silencieusement. Petit moment de flottement… il finit par se lever et se diriger vers nous avec un sourire qui me rassure.
- Je suis heureux de te revoir autrement que par le biais de mon écran. Je lui rends son sourire.
- Plaisir partagé.
Nous échangeons quelques banalités, il m’invite à faire le tour de la pièce.
Je m’aperçois rapidement qu’ont été fixé aux murs des tableaux représentant des femmes dans des positions très explicites. Des femmes soumises, offrant leurs corps en pâture. Je remarque un tableau qui m’interpelle.
Je m’en approche, une jeune fille ressemblant à s’y méprendre à la jeune Alice est représentée en train de se livrer à une fellation sur un cheval. Ce tableau qui peut sembler choquant, n’en ai pas moins exempt d’un pouvoir érotique certain.
Lorsque je me retourne, le sourire de Maître François ne cache pas sa satisfaction face à mon air étonné.
- Tu ne trouves pas ce tableau intéressant ?
- Heu si… c’est quand même… surprenant.
- Je te l’accorde.
Je continue et découvre deux anneaux fixés au mur, sur une commode des liens, un martinet avec de longues lanières, une cravache, un bandeau...
Je suis parcourue par un frisson. Je suis prise de panique, quels plans machiavéliques ont germé dans la tête de Maître François. Sentant sans doute la peur qui vient de s’emparer de moi, il me dit d’une voix douce :
- Ne t’inquiète pas, fais-moi confiance.
- Oui… Maître François
Il est temps de retrouver Alice, qui nous attend sagement de l’autre côté de la pièce.
Arrivée en face d’elle, je suis encore une fois frappée par ses allures de petite fille. C’est une vraie miniature, elle est plutôt petite, sans doute pas plus d’un mètre cinquante-cinq et tellement fine, elle donne l’impression d’être si fragile que le moindre faux geste pourrait la briser en mille morceaux.
Son visage enfantin encadrée par cette splendide chevelure blonde, est ornée d’une bouche délicatement dessinée d’une sensualité indéniable. Mais le plus intriguant est ce regard noisette de f i l l e t t e qui par intermittence se teinte d’une étrange lueur incandescente bien loin de l’innocente jeune fille que j’ai en face de moi. Je ne peux m’empêcher de lui demander son âge. Elle vient de fêter son vingt-cinquième anniversaire. Toute jeune, oui, et pourtant quelque chose dans cette fille me dit qu’elle en a vu bien plus que moi.
Maître François nous invite à boire un grand verre d’eau. C’est vrai qu’il fait un chaud et que ce verre est bienvenu.
Nous buvons notre verre d’eau, une fois vidée nous le déposons sur la table. Maître François les rempli à nouveau.
- Je souhaite que vous vidiez ce verre aussi.
Alice et moi nous nous regardons surprises. Il fait chaud mais quand même, on est loin de risquer la déshydratation. Nous savons qu’il n’est envisageable de discuter les souhaits de notre maître, nous nous exécutons.
- Il est temps d’ôter ces robes, nous dit-il en allant s’installer dans son fauteuil.
- Oui Maître François, répondons-nous en chœur, cette réponse d’une seule voix, nous faire sourire.
Nos deux robes noires finissent rapidement à terre. Nous sommes vêtues, si j’ose dire, d’un string noir, léger voile de dentelle qui couvre à peine nos vulves lisses. Des bas de la même couleur recouvrent nos jambes, nos seins quant à eux ne sont nus.
Je ne peux m’empêcher d’admirer ce petit corps gracile, comme à peine sorti de l’a d o l e s c e n c e. Mais, ce qui attire mon regard et attise ma convoitise, c’est sa poitrine qui se dresse fièrement, magnifiquement, avec deux superbes tétons gros comme des framboises, qui donnent une furieuse envie de les croquer. Cette fille dégage quelque chose que je n’arrive pas encore a bien définir dans la confusion des sens qui se mettent en éveil, sa quasi nudité ne me laisse pas indifférente. Son regard scrute mon corps, c’est de bonne guerre, qui s’il est resté mince, n’a plus la fermeté des vingt-cinq a n s d’Alice. Le sourire qui se dessine alors sur ses jolies lèvres, me laisse croire que ce qu’elle voit ne la laisse pas indifférente et je m’en réjouis en lui rendant son sourire.
Maître François nous observe de son fauteuil, silencieux avant d’interrompre cette pause silencieuse :
- Rose viens ici, que je te mette ton collier.
Docilement je viens m’agenouiller devant mon maître qui enserre mon cou de mon collier de chienne.
- Alice va attacher ma chienne dos au mur les bras et les jambes en croix, tu vas t’occuper d’elle.
- - Oui maître François, répond-elle et à cet instant je retrouve dans ces yeux cette fugace lueur. Je sens bien que la frêle Alice est très excitée par ce qui va suivre.
A suivre…..
Pour ce deuxième rendez-vous, je dois me rendre directement dans la maisonnette où se sont déroulés nos premiers ébats.
La porte du jardin est ouverte, j’ai pour mission de la refermer derrière moi selon la dernière instruction que j’ai reçu sur mon téléphone.
Je traverse ce jardin toujours aussi magnifiquement entretenu, un savant mélange d’essences aux couleurs chatoyantes et aux parfums enivrants.
J’ai hâte de découvrir ce qui m’attend dans cette maisonnette, des jours que j’échafaude des scénarios classés x, en même temps qu’une petite pointe d’appréhension. Je sais qu’il y aura une nouvelle jeune femme, mais va-t- elle me plaire autant que la plantureuse Perrine ?
Et que nous réserve, Maître François ?
Est-ce que je serai à la hauteur de ses attentes ? …
De toute manière il est trop tard pour se poser toutes ces questions je suis devant la porte.
Je frappe, on m’ouvre la porte. Une toute jeune fille m’ouvre la porte. Elle est vêtue d’une petite robe noire moulante, ses jambes sont gainées de bas noirs, petite tenue exigée par Maitre François pour ce nouveau rendez-vous.
Je suis frappée par sa frimousse de petite fille, surmontée d’une magnifique chevelure blonde qui lui descend jusqu’au bas des reins. Elle m’accueille par un timide sourire.
- Bonjour, moi c’est Alice.
- Bonjour, enchantée, moi c’est…
- Rose Mary, m’interrompt-elle. Maître François m’a beaucoup parlé de toi.
Ah ?
Elle m’invite à entrer et poser mon sac dans un coin de la pièce unique de cette maisonnette.
En passant le pas de la porte, je suis frappée par la pénombre qui y règne.
Mes yeux mettent un peu de temps à s’y habituer. Les volets ont été fermés et partout dans la pièce sont disposées une multitude de bougies donnant à ce lieu un aspect hors du temps. J’aperçois enfin mon maître installé dans son fauteuil et qui nous observe silencieusement. Petit moment de flottement… il finit par se lever et se diriger vers nous avec un sourire qui me rassure.
- Je suis heureux de te revoir autrement que par le biais de mon écran. Je lui rends son sourire.
- Plaisir partagé.
Nous échangeons quelques banalités, il m’invite à faire le tour de la pièce.
Je m’aperçois rapidement qu’ont été fixé aux murs des tableaux représentant des femmes dans des positions très explicites. Des femmes soumises, offrant leurs corps en pâture. Je remarque un tableau qui m’interpelle.
Je m’en approche, une jeune fille ressemblant à s’y méprendre à la jeune Alice est représentée en train de se livrer à une fellation sur un cheval. Ce tableau qui peut sembler choquant, n’en ai pas moins exempt d’un pouvoir érotique certain.
Lorsque je me retourne, le sourire de Maître François ne cache pas sa satisfaction face à mon air étonné.
- Tu ne trouves pas ce tableau intéressant ?
- Heu si… c’est quand même… surprenant.
- Je te l’accorde.
Je continue et découvre deux anneaux fixés au mur, sur une commode des liens, un martinet avec de longues lanières, une cravache, un bandeau...
Je suis parcourue par un frisson. Je suis prise de panique, quels plans machiavéliques ont germé dans la tête de Maître François. Sentant sans doute la peur qui vient de s’emparer de moi, il me dit d’une voix douce :
- Ne t’inquiète pas, fais-moi confiance.
- Oui… Maître François
Il est temps de retrouver Alice, qui nous attend sagement de l’autre côté de la pièce.
Arrivée en face d’elle, je suis encore une fois frappée par ses allures de petite fille. C’est une vraie miniature, elle est plutôt petite, sans doute pas plus d’un mètre cinquante-cinq et tellement fine, elle donne l’impression d’être si fragile que le moindre faux geste pourrait la briser en mille morceaux.
Son visage enfantin encadrée par cette splendide chevelure blonde, est ornée d’une bouche délicatement dessinée d’une sensualité indéniable. Mais le plus intriguant est ce regard noisette de f i l l e t t e qui par intermittence se teinte d’une étrange lueur incandescente bien loin de l’innocente jeune fille que j’ai en face de moi. Je ne peux m’empêcher de lui demander son âge. Elle vient de fêter son vingt-cinquième anniversaire. Toute jeune, oui, et pourtant quelque chose dans cette fille me dit qu’elle en a vu bien plus que moi.
Maître François nous invite à boire un grand verre d’eau. C’est vrai qu’il fait un chaud et que ce verre est bienvenu.
Nous buvons notre verre d’eau, une fois vidée nous le déposons sur la table. Maître François les rempli à nouveau.
- Je souhaite que vous vidiez ce verre aussi.
Alice et moi nous nous regardons surprises. Il fait chaud mais quand même, on est loin de risquer la déshydratation. Nous savons qu’il n’est envisageable de discuter les souhaits de notre maître, nous nous exécutons.
- Il est temps d’ôter ces robes, nous dit-il en allant s’installer dans son fauteuil.
- Oui Maître François, répondons-nous en chœur, cette réponse d’une seule voix, nous faire sourire.
Nos deux robes noires finissent rapidement à terre. Nous sommes vêtues, si j’ose dire, d’un string noir, léger voile de dentelle qui couvre à peine nos vulves lisses. Des bas de la même couleur recouvrent nos jambes, nos seins quant à eux ne sont nus.
Je ne peux m’empêcher d’admirer ce petit corps gracile, comme à peine sorti de l’a d o l e s c e n c e. Mais, ce qui attire mon regard et attise ma convoitise, c’est sa poitrine qui se dresse fièrement, magnifiquement, avec deux superbes tétons gros comme des framboises, qui donnent une furieuse envie de les croquer. Cette fille dégage quelque chose que je n’arrive pas encore a bien définir dans la confusion des sens qui se mettent en éveil, sa quasi nudité ne me laisse pas indifférente. Son regard scrute mon corps, c’est de bonne guerre, qui s’il est resté mince, n’a plus la fermeté des vingt-cinq a n s d’Alice. Le sourire qui se dessine alors sur ses jolies lèvres, me laisse croire que ce qu’elle voit ne la laisse pas indifférente et je m’en réjouis en lui rendant son sourire.
Maître François nous observe de son fauteuil, silencieux avant d’interrompre cette pause silencieuse :
- Rose viens ici, que je te mette ton collier.
Docilement je viens m’agenouiller devant mon maître qui enserre mon cou de mon collier de chienne.
- Alice va attacher ma chienne dos au mur les bras et les jambes en croix, tu vas t’occuper d’elle.
- - Oui maître François, répond-elle et à cet instant je retrouve dans ces yeux cette fugace lueur. Je sens bien que la frêle Alice est très excitée par ce qui va suivre.
A suivre…..
8 月 前