Une petite escapade

Sous de faux prétextes, nous avons tous les deux échappé au domicile conjugal. Mensonges et faux semblants nécessaires pour assouvir nos désirs tant de fois évoqués sur nos écrans respectifs.
Nous sommes quelque part dans une petite maison isolée, en pleine nature. Il fait chaud, je profite sur la terrasse de la fraîcheur qu’offre ce début de soirée.
Je suis allongée sur un transat vêtue d’une légère tunique. Je suis à moitié en-dor-mie.
Tu me surprends en t’approchant furtivement. Tu te penches au dessus de moi, soulèves le bas de ma tunique découvrant le bas de mon ventre.
Je sursaute, tu approches ton visage de ma chatte, ton regard est sans ambiguïté…
- Non pas ici on pourrait nous voir !
- On s’en fout.
Ta bouche se pose sur ma vulve, je sens tes lèvres et ta barbe qui me caressent .
Je frémis.
J’entends un bruit, je me raidis scrutant les alentours.
Tu écartes mes cuisses , ta langue s’insinue entre les lèvres de ma chatte et trouve mon clitoris. Ces premières caresses mettent aussitôt fin à mes réticences. Je me cambre, mon souffle s’accélère, je pose me mains sur ta tête, agrippe tes cheveux ( mais pas trop fort, on est pas des brutes tout de même), pour plaquer ton visage contre ma chatte. Tu passes alors tes mains sous mes fesses, les agrippes, les malaxes…
Ta langue s’agite habilement, cherchant à amplifier mon plaisir, tu sens mon clitoris se durcir, et lorsque tu descends ma cyprine commence à couler sur ta langue. Ton excitation s’accroît au rythme de mes gémissements et des ondulations de mon corps. Tu retires tes mains de sous mes fesses, et les fais monter jusqu’à mes seins, que tu saisis à pleine mains, gémissant à ton tour de désir. Tu pinces délicatement mes deux tétons entre tes pouces et tes index et tu les roules, les titilles enflammant ainsi mes sensations… Tu as toutes les clés de mon plaisir en main, mon corps est à toi tu le sais et tu vas en abuser à ta guise. Tu as très envie de prendre possession de tous les orifices de mon corps, de les goûter, de les fouiller, de les remplir tour à tour , en même temps… Tu abandonnes ma chatte, pour prendre ma bouche, tu as le goût de mon plaisir et c’est délicieux.
- Ma belle, j’ai une envie bes-tiale de te baiser…
- Ah oui, je minaude, et si moi je n’en avais pas envie ?
- Tu veux te rebeller, te refuser à ton amant? En voyant la pointe d’amusement dans mon regard, tu as compris à quel jeu je voulais jouer.
Tu me saisis les deux poignets, les montes au dessus de ma tête, écrase ton corps contre le mien et me dis :
- Ton corps est à moi, j’en fais ce que je veux !
Ton regard est dur, je me demande si tu ne te prends pas un peu trop au sérieux quand même… Tu reprends ma bouche avec un râle bestial, je sens ton sexe dur au travers de ton caleçon….


Ton baiser est passionné, ta langue s’empare de la mienne, tu pèses de tout ton poids sur mon corps comme pour me faire sentir que je ne pourrai pas échapper à ton étreinte.
Tu libères ma bouches et me chuchotes :
- Retire ta tunique, je te veux nue.
- Si tu reste sur moi, ça va être compliqué…
Tu te relèves , je m’exécute.
- Enlève mon caleçon.
Je saisi ton caleçon et je le fais glisser jusqu’au sol. Ton pénis en a surgi tel un diable sorti de sa boîte.
- Tu vas commencer par t’occuper de ma queue.
Tu redresses le dossier de mon transat pour que je reste assise.
Tu enjambes le transat et colle ton sexe contre ma bouche.
- Suce moi ma belle.
Mes lèvres glissent sur ta queue si douce, pendant que ma main droite saisit sa base fermement .
Ma main gauche caresse tes fesses.
Ma langue se promène sur ta queue qui se durcit un peu plus, je m’en régale comme d’une véritable gourmandise.
Je gémis de plaisir et je sais que mes gémissements t’excitent un peu plus.
Tu saisis ma tête comme pour guider mes allés et venus, comme si tu voulais baiser ma bouche. Mais je n’aime pas perdre le contrôle, je résiste échappe un instant à ton emprise. Je te regarde fièrement, je mets deux doigts de ma main gauche dans ma bouche, l’index et
le majeur. Je reprends ta verge impatiente entre mes lèvres, et pénètre ton anus de mes deux doigts mouillés de salive . Tu pousses un râle de plaisir, ta queue palpite dans ma bouche, mes doigts baise ton joli cul, tes mains attirent ma tête vers toi, ton sexe bute au fond de ma gorge, ta queue m’étouffe, je râle, tu relâches un peu ton emprise sur ma tête en même temps que je sens ton sperme remplir ma bouche… Je m’en régale, léchant ton gland pour y récupérer les dernières gouttes…

Quand je relâche ta queue , elle a perdue sa fière allure de tout à l’heure. Je la prends entre deux doigts et te taquine :
- C’est pas avec ça que tu vas pouvoir me baiser.
Tu réponds par un sourire, te penches vers moi, embrasse mes lèvres, et me réponds :
- Je n’ai pas dit mon dernier mot…
Tu enjambes le transat et disparais dans la jolie petite maison que nous avons choisi pour accueillir notre escapade d’amants passés du virtuel au réel le temps d’une parenthèse.
Tu en ressors armé de mon gode et de mon « aspirateur à clitoris »…
- Ah oui, en effet tu n’as pas dit ton dernier mot, mais tu as besoin d’une béquille quand même !
Mon insolente remarque te fais sourire.
- Je veux te voir jouir avec cet engin.
Je mets en route ce jouet dont je connais le pouvoir orgasmique.
A peine ai je positionné mon vibromasseur sur mon clitoris que je suis parcourue par des vagues de plaisir qui parcourent tout mon corps qui se tend aussitôt. Le plaisir est instantané, je ne peux retenir mes gémissements. Du coin de l’œil je vois ta main sur ton sexe que tu caresses. Un premier orgasme arrive rapidement, je retire le vibro de mon clitoris, les sensations étant trop intenses.
- Continue, j’aime te voir jouir.
Je repose ce jouet diabolique sur mon clitoris, je suis à nouveau envahie par d’intenses et fulgurantes sensations de plaisir. Tu te rapproches le gode à la main, tu te places entre mes cuisses pour les maintenir écartées.Tu poses le le gland du gode à l’entrée de mon vagin et doucement tu le fais lentement pénétrer.
- Oh putain!…
Cette envahissement de mon vagin ne fait que décupler mon plaisir. Tu fais aller et venir cette queue de silicone de plus un plus vite et de plus en plus fort. Je suis complètement asservie à mon plaisir, je ne contrôle plus rien mes gémissements se sont fait bien plus intenses, mon corps est secoués de spasmes, les orgasmes s’enchaînent au rythme de tes allés et venus.
- Ouiii !! Baise moi encore c’est tellement bon ! Est la seule phrase compréhensible que j’arrive à articuler.
- Regarde si j’ai encore besoin d’une béquille.
Effectivement, je constate, non sans plaisir, que ce petit jeu à redonner une belle vigueur à ta queue.
Tu relèves les jambes, laisses le gode dans ma chatte et frotte ton gland contre mon anus trempé de ma cyprine.
D’un coup de rein, tu introduis ta queue dans mon cul.
Je crie mon plaisir…
A chacun de tes coups de reins, ton pubis vient cogner sur le gode…
J’ai lâché le vibromasseur, je suis sous ton contrôle et j’adore ça.
- Tu aimes quand je te baise et que je t’encules en même temps ?
- Ouiiii…
Sentir les allés et venus de ta queue dans mon anus et ce gode qui remplit mon vagin est si puissamment jouissif.
Mon cœur est au bord de l’explosion, je sens qu’un nouvel orgasme va me submerger, mes mains agrippent le matelas du transat, mon corps se cambre…
- Je vais jouiiiiir !
C’est une véritable déflagration, mon corps tout entier est pris de spasmes, je cris mon plaisir et tant pis pour les oreilles aux alentours… Tu sens mon anus, ce fourreau tout de douceur se contracter autour de ta bite, et tu jouis à ton tour, laissant s’écouler ta semence dans les entrailles.
Tu relâches mes jambes, qui retombent mollement , tu retires le gode de mon vagin en même temps que ta queue de mon anus provoquant un ultime sursaut de mon corps .
Tu me prends dans tes bras, poupée de chiffon, m’attires contre toi, je pose ma tête sur ton épaule, tu me chuchotes :
- Quel pied…
- Oh oui…
Je frissonne.
- Si on rentrait ma belle , il commence à faire frais….


Les jambes tremblantes je te suis. Ton sperme coule le long de ma jambe. Tu t’en aperçois, t’agenouille devant moi et me dis :
- C’est serait dommage de gâcher ça…
Je souris devant ton regard gourmand.
Tu lèches ma cuisses du bas vers le haut, tu me retournes , écartes mes fesses et lèches mon anus encore hyper sensible.
Puis tu te relèves et pour venir partager le fruit de ta récolte tu viens m’embrasser. Nous gémissons à l’unisson.
Tu t’écartes, et me tire jusqu’au lit sur lequel je me laisse tombée, comblée et vidée de toute énergie pour un temps. Tu viens t’allonger à mes côtés, caressant tendrement mon ventre, je me retourne, ta main se promène sur mon dos, c’est doux, c’est délicieux, apaisant, mes yeux se ferment… Comme après chaque orgasme, le froid m’envahît, je frissonne. Tu me recouvre et colle ton corps contre le mien pour partager ta chaleur. Je ronronne de plaisir. Et je m’endors…

Dans la nuit, je me réveille. Tu do-rs comme un bien heureux, je ne vois que ton œil gauche, le bout de ton nez et ta joue gauche éclairés par un rayon de lune…
Seul un drap est posé sur nous, et je devine une bosse qui m’interpelle au niveau de ton entre jambes… Mais, tu bandes ma parole… je passe ma main sur le drap jusqu’à cette proéminence, et oui tu bandes…
Rien que de sentir ton membre tendu à travers le drap, je sens l’envie de toi monter en moi.
Je le caresse doucement, pour ne pas te réveiller, enfin pas tout de suite.
Dans ton sommeil tu gémis.
Je passe ma main sous le drap, et caresse délicatement ta verge à la peau si soyeuse… si chaude. Mon sexe s’inonde instantanément de désir.
Tu continues de gémir… Tes yeux sont fermés, do-rs tu vraiment ?
Cette queue a besoin que je m’occupe d’elle, je me glisse sous les draps et approche mon visage de ta queue. Je frotte ma joue à ta queue, comme elle est douce…
Mes lèvres sont irrésistiblement attirées , je les caresse de ton gland, elles s’entrouvrent pour laisser sortir le bout de ma langue qui te goûte… petite friandise nocturne au goût de stupre, de notre luxure…
Ma langue se fait plus gourmande encore et lèche le gland aux goûts de nos amours de la veille … tes mains me saisissent la tête et je t’entends dire d’une voix encore chargée de sommeil :
- Mmmh quel doux réveil.
- Oh ! Je t’ai réveillé ?!
- Ha ha ma petite sexomane ! Continue de me réveiller avec ta bouche c’est délicieux ma belle…
Pour toute réponse je te prends en bouche et toujours avec beaucoup de lenteur et de douceur me régale de ta queue qui se durcit encore plus… tes mains se crispent m’attrapant par les cheveux pour tenter de me faire accélérer le mouvement, mais je résiste…
Je sens la première goutte de precum que je lèche, avant de me redresser et de me glisser jusqu’à ta bouche, je suis allongée de tout mon corps sur le tien , je prends ta tête entre mes mains, t’embrasse langoureusement …
- Je vais te baiser mon bel amant… oh ! à moins que tu veuilles te ren/dor/mir?
Pour toute réponse à ma question volontairement stupide tu poses tes mains sur mes fesses pour me plaquer contre ton pubis et me faire sentir ta queue palpiter contre mon ventre.
- Ah ! Je crois que tu n’as pas envie de te rév/eiller tout de suite , nouveau sourire.
Ton œil qui luit d’une lueur féline, me convainc, s’il le fallait encore, que ma proposition t’enchante.
Je me redresse sur mes bras, m’asseyant sur ton sexe durcit par le désir.
Ta queue est plaquée contre ton ventre, je pose ma chatte trempée de désir dessus et je commence à basculer mon bassin d’avant en arrière, faisant ainsi glisser mes lèvres sur ton sexe maintenant trempé de ma salive et de ma cyprine.
Sensation divine que de sentir ta queue glisser entre mes lèvres, en procurant de jouissives caresses à mon clitoris…
Et pour toi te sentir lécher par ma chatte te procure un indéniable plaisir.
J’hésite alors … continuer cette délicieuse masturbation commune ou te faire entrer dans le vif du sujet … enfin dans ma chatte bien entendu .
Mais j’ai douloureusement envie de te sentir en moi. Je me soulève légèrement, saisis ta queue toute gluante de ma cyprine, et m’empale dessus dans un gémissement de contentement.
Comme j’aime cette sensation d’être remplie, te sentir dur bien au fond… comme c’est le petit matin, je vais te baiser en douceur pour faire monter le plaisir doucement ( mais sûrement)
Je balance mon bassin d’avant et arrière pour te sentir fouiller mon vagin avec ta queue en même temps que celui-ci devenu bouche géante te donne l’impression de te sucer… en me balançant ainsi, empalée sur ta queue, mon clito se frotte à ta toison ce qui participe à la montée inexorable de mon plaisir… je m’arrête, me penche en arrière te dévoilant à la lueur de la lune, mon sexe sur ta bite, et je commence à me caresser…
- Caresse toi ma belle, fais toi jouir sur ma queue
Bien entendu je ne vais pas résister à une telle injonction…
Mon doigt s’agite par moment frénétiquement puis plus lentement pour gérer la montée de ce divin plaisir.
Je bouge légèrement sur ta queue pour bien la sentir … et enfin le moment tant attendu arrive, mon orgasme explose dans mon ventre, mon vagin se contracte spasmodiquement sur ta queue , queue sur laquelle ma cyprine coule en abondance, venant couler jusque sur ta toison trempée à son tour.
Pour prolonger mon plaisir et t’amener à ton tour à l’orgasme, je commence à te chevaucher cette fois-ci, matin ou pas , frénétiquement, mon vagin gonflé de plaisir devenu hypersensible, réagi aux coups de queue que je me donne en m’agitant comme une damnée de façon démesurée, je prends mon pied quoi…
- Je te baise mon bel amant, et j’aime ça !
- Oui baise moi encore ma belle amante , je vais te remplir de mon sperme… me dis tu dans un souffle
Ton souffle qui s’accélère, tu m’attrapes par les hanches pour accompagner mon mouvement. Je te chevauche maintenant sauvagement, amazone à la recherche éperdue de plaisir. Ton sexe tape dans le fond de mon vagin trempé de ma liqueur … Tu sens mon vagin se contracter autour de ta queue tendue à l’extrême. Nous sommes transportés par nos sensations, les endorphines inondent nos cerveaux en un instant au moment où notre orgasme explose dans nos ventre nous unissant dans un même cri animal qui se perd dans la nuit .
Nos corps secoués de spasmes, se retrouvent enlacés, nos bouches se prennent passionnément, un instant nous ne faisons plus qu’un, ton sexe encore planté dans le mien, nos langues entremêlées, nos bras et nos jambes entrelacées…
- Je suis désolée de t’avoir réveillé…
- Menteuse ! me dis tu en mordillant mon oreille.
Nous rions, je me soulève pour libérer ton sexe encore prisonnier de mon vagin, ton sperme et ma cyprine coulent sur ton pubis trempant ta toison brune des nectars de notre plaisir. Nous sommes poisseux de nos divines sécrétions et de sueur.
L’aurore pointe , le bout de son nez…
Je dépose un baiser sur tes lèvres en t’annonçant que je vais prendre une douche.
- Je te suis me réponds tu….

Nous entrons dans un grande douche à l’italienne. Je mets l’eau en route, la règle à la bonne température.
Je t’invite à me rejoindre sous le pommeau d’où s’écoule une eau chaude et réconfortante.
Je me colle contre toi, nos lèvres se trouvent, s’entrouvrent pour laisser nos langues s’entremêler. L’eau sur nos peau, nous corps qui se touchent, nos bouches qui se dévorent , nos mains qui nous caressent… c’est un moment de douceur, de tendresse dont nous avions besoin après nos ébats endiablés.
Nous nous repaissons l’un de l’autre comme pour nous régénérer.
J’attrape le flacon de shampooing et entreprends de te laver ta tignasse brune. Mes doigts massent ton cuir chevelu, lentement avec beaucoup de douceur.
Je rince mes mains puis je verse du savon pour m’attaquer au lavage de ton corps, sacré chantier.
Je commence par tes épaules, je suis face toi, je descends doucement vers ta poitrine, je remonte sous tes bras, je m’attaque à chacun de ceux-ci.
Je reviens sur ta poitrine , descends sur ton ventre.
Je viens me plaquer contre toi, pour passer mes mains dans ton dos… En même temps que mes mains savonnent ton dos, je fais glisser ma poitrine sur la tienne, toute savonnée, toute glissante. Un trois en un, je te caresse tout en te lavant et en me caressant aussi…
Mes lèvres cherchent les tiennes, elles se trouvent et nous échangeons un long baiser à la fois tendre et passionné.
Mes mains continuent de parcourir ton dos, puis descendent sur tes fesses.
Mes doigts s’insinuent dans le sillon où se cache ton anus. Ils vont et viennent doucement, massant ton petit trou étoilé.
Mais petit coquin, tu te cambres pour t’offrir à mes caresses.
Je me recule un peu, laissant ta bouche à regret, te regarde et te dis :
- Juste une douche…
- Oui bien sûr, me réponds tu avec un sourire et une lueur dans tes yeux qui ne trompe pas.
Je me retiens de sourire, et continue de te savonner méticuleusement .
Je m’accroupis afin de pouvoir m’occuper de tes jambes. Mes deux mains descendent le long de ta cuisse droite, en partant du creux de l’aine jusqu’au genou.Difficile d’ignorer ton appendice que malignement tu agites par de petits soubresauts … un pousse au crime que j’ignore.
Mes mains descendent jusqu’à ton pied, puis je recommence pour l’autre jambe.
Je me redresse.
- Voilà ! Tout propre !
- Tu n’as rien oublié ?
- Non j’crois pas (sourire taquin)
- Et ma queue ? Dis tu en m’indiquant l’objet du délit.
- Oups ! Comment ai-je pu l’oublier ?
Consciencieuse, je dépose un peu de savon au creux de ma main, je le répartis dans mes deux mains, puis je commence par savonner ta superbe toison . Ceci fait, une main descend sur tes testicules pendant que l’autre saisit ta queue déjà bien ragaillardie.
Ma main sur tes bourses, les savonne délicatement pendant que l’autre glisse tout le long de ta verge qui se tend un peu plus sous ces caresses.
Quel plaisir de sentir au creux de ma main la caresses de ta queue toute lisse, de tes couilles toutes mousseuses.
Quel plaisir d’entendre ton souffle devenir gémissement.
Je te regarde dans les yeux, tout en continuant le lavage méthodique de ton sexe, et te dis :
- Ça ne serait pas raisonnable…
- pas raisonnable du tout…
Tu m’attrapes alors la tête entre tes mains m’embrasses passionnément, me relâches et tu me demandes de me retourner.
Je m’exécute, je pose mes deux mains sur le carrelage humide, l’eau coule sur mon dos, je me cambre prête à te recevoir.
Je sens ton gland qui vient caresser ma vulve, qui remonte vers mon anus, puis redescend comme s'il hésitait à trouver son chemin… Après quelques allers et retours, il semblerait que tu te sois décidé, je sens ton gland for/cer l’entrée de mon plus petit trou.
Tu t’immobilises, pour laisser le temps à mon anus de se faire à cette nouvelle intrusion. Mes doigts viennent masturber mon clitoris, tes mains caressent mes seins, l’excitation est à son comble.
- Encule moi mon bel amant !
- Avec plaisir ma belle amante.
Je sens ton sourire en prononçant ces mots.
Tes deux mains prennent possession de mes hanches, et tu m’encules avec force et vigueur. Mes cris et tes grognements raisonnent dans la salle d’eau, maintenant complètement embuée.
- Ouiiii !! Tu vas me faire jouir ! Aaah !
- Oh c’que j’aime ton cul… je vais le remplir…
Folles sensations qui nous envahissent, plaisir de sentir ta verge me pénétrer au plus profond de mes entrailles , plaisir de sentir ta queue enserrée dans cet étroit fourreau.
De nouveau nous sommes submergé par une vague orgasmique, nos cris raisonnent à l’unisson. Ta queue palpite dans le fond de mon anus qui se contracte autour de celle-ci. Je sens ton sperme me remplir.
- Oh putain c’que c’est bon ! Me dis tu en m’embrassant le creux de mon épaule.
- Ouiii trop bon !
Doucement tu te retires, le laissant cette sensation de vide.
Tu me retournes, m’embrasses tendrement.
Rassasiés, nous finissons de nous doucher avec de douces caresses.
Nous nous séchons mutuellement, prenant plaisir à toucher le corps de l’autre.
- Je crois qu’on va bien dormir, te dis-je en baillant.
- Je crois aussi… si tu ne me réveilles pas… réponds tu avec un sourire malicieux.
Je viens me coller à ton corps tout chaud de la douche, pose ma tête sur ton épaule, dépose un baiser au creux de ton cou et te chuchote, à moitié en/dor/mie :
- Aucun risque, c’est pas mon genre…
Tout souriants, nous nous laissons aller dans les bras de Morphée….

Après une bonne nuit et une bonne grasse matinée nous nous réveillons dans une pièce baignée de soleil. Nous sommes parfaitement détendus, nos frasques sexuelles ayant annihilées quelque tension que ce soit. Par contre nous avons très faim , et après un câlin matinal tout emprunt de douceur et de tendresse nous nous précipitons dans la cuisine . Là nous trouvons de quoi étancher notre soif et remplir nos estomacs affamés après nos multiples assauts endiablés.
La cuisine est remplie des odeurs de pain grillé, de thé, de café . Nos tartines gourmandes se parent de beurres, de confiture ou de miel. Des pêches aux parfums savoureux viennent égayer nos papilles. Moment de plaisirs gustatif, où en même temps que nos estomacs se remplissent nos corps se régénèrent..
Nous décidons de terminer ce festin matinal sur la terrasse où un soleil déjà haut dans le ciel vient réchauffer nos corps que peu de tissus recouvre.
Un simple caleçon de coton pour toi et une légère nuisette pour moi.
Nos regards se perdent sur les étendues herbeuses qui nous entourent, une légère brise fait frissonner les feuilles des arbres alentours, les oiseaux nous régalent de leurs chants, pour un peu on se croirait dans un monde parfait. Nous devisons sur la perfection de ce moment, parenthèse inattendue et inespérée, dans nos vies respectives. Moments que nous avons volés pour enfin pouvoir donner libre cours à tous nos désirs inavoués ou inassouvis.
Nous échangeons sur notre vision du monde, nous n’essayons pas de le refaire, mais si on pouvait... Nous parlons musique, littérature avec passion. Et les heures s’écoulent sans que nous nous en apercevions. C’est encore une fois nos estomacs qui nous rappellent à l’ordre.
Nous nous lançons joyeusement dans la confection de crêpes où semble-t-il tu excelles.
Après avoir préparé en musique une bonne quantité de crêpes salées et sucrées, nous nous attablons et dégustons de bon appétit ce festin au goût de la Bretagne.
Arrivée au dessert , les crêpes sont agrémentées de sucre, de confiture, de miel, de crème de marrons et de chantilly… dont je ne suis pas fan, mais pourquoi pas.
Tu t’amuses à faire des dessins sur ta crêpe avec la bombe à chantilly, quand semble-t-il une idée te vient. Ton regard est très explicite, notre festin va sans aucun doute se transformer en orgie.
Toujours la bombe de chantilly en main tu t’approches de moi, toujours avec cette petite étincelle lubrique dans le regard, tu fais glisser la bretelle de ma nuisette découvrant ainsi mon sein droit.
J’ai bien entendu, une petite idée de ce que tu comptes faire, et elle se vérifie lorsque tu badigeonnes mon téton de chantilly.
- Hmmm voilà un dessert comme je les aime, me dis tu avec un brin de malice.
- Je pense que je risque de l’apprécier aussi… à peine ai-je prononcé ces mots que ta langue vient se régaler de cette chantilly en régalant mon téton de ses divins attouchements. L’effet est immédiat, une douce chaleur envahie mon ventre, le désir se faisant ressentir instantanément. Tu as maintenant mon téton dans la bouche , tu têtes goulûment mon sein et me fais gémir d'un plaisir naissant.
Tu abandonnes mon sein, fais glisser la deuxième bretelle en me disant :
- Faut pas faire de jaloux, avec un petite sourire à la chantilly.
Avant, que tu t’occupes de mon deuxième sein, j’attrape ta tête, et je lèches tes lèvres maculées de chantilly.
Puis ta bouche s’ouvre laissant passer ta langue gourmande qui vient se joindre à la mienne pour un langoureux baiser sucré.
Une fois que toute la chantilly a disparu, je te libère, afin que tu puisses t’occuper de mon téton gauche.
Téton qui à son tour se voit recouvert de chantilly puis dégusté par ta langue et ta bouche incendiaire . Tes caresses et cette bombe de chantilly ont embrasé mon ventre et j’ai très envie de toi…

Le désir s’est emparé de nos deux corps, et notre imagination est sans limite.
Tu finis de me débarrasser de ma nuisette devenue superflue. Ton caleçon ne peut dissimuler ton érection, que je ne peux m’empêcher de regarder. Malicieux, tu t’approches et me demandes ce que je regarde. Sans répondre ma main se pose sur ton sexe qui tend le tissus de ton caleçon..
Je te demande si tu n’es pas trop à l’étroit, et tu me réponds : « un peu, si »
A mon tour je te débarrasse de ce vêtement devenu superflu.
Nous voilà nus, devant la longue table en bois où s’étale le reste de nos agapes.
Tu repousses le tout vers l’autre bout en m’invitant à m’y allonger :
- J’ai envie d’un bon dessert .
- Et moi aussi j’ai envie d’un bon dessert ! En disant cela je me
redresse, te prends la bombe des mains, saisis ta queue, petite allumeuse qui se dandine irrésistiblement sous mes yeux, et en recouvre le gland de chantilly. Je m’agenouille et sans plus attendre, ma langue vient se régaler de ce dessert qui m’excite les papilles et embrase le reste de mon corps.
Gourmande, ma bouche s’empare de ta queue au goût vanillé, et goulûment la suce, l’aspire, la lèche, s’en régale, s’en délecte. Cet excitant dessert me fait gémir de plaisir, gémissements qui font vibrer ta queue. Tu saisis ma tête pour accompagner, puis guider cette pipe sucrerie. Tu enfonces ta queue profondément dans ma bouche, tu veux baiser ma bouche et d’une voix devenue caverneuse tu me le dis.
Taquine, je glisse un doigt trempé de chantilly entre tes fesses, et cherche à pénétrer ce petit trou dont je connais l’appétence pour les pénétrations en tous genres. Se faisant tu tends ton cul afin de me permette de trouver plus facilement l’accès de ton anus, je me libère de ton étreinte et te dis dans un sourire maculé de chantilly :
- Et moi je baise ton cul.
Mon doigt glisse dans ce petit passage étroit, chaud si doux et si sensible à mes caresses. Ces caresses anales semblent t’avoir donné de nouvelles idées.
Tu me reprends la bombe des mains, me fait assoir au bord de la table en me demandant de m’allonger sur celle-ci.
Tu écartes mes cuisses, et commences par recouvrir mon entre cuisse de cette crème fouettée que tu affectionnes et je plus particulièrement quand elle devient promesse de plaisirs autres que gustatifs.
C’est donc avec une grande ferveur que tu viens lécher ma chatte à la chantilly, tes coups de langues insistants me font aussitôt gémir, et je t’entends à ton tour émettre une sorte de grognement de plaisir, presque animal.
Une fois que tu as finis de nettoyer consciencieusement mon sexe d’où s’écoule maintenant un autre met que tu affectionnes , tu y introduis l’embout de la bombe et … oh mais qu’est ce que tu fais ? Tu remplis mon vagin de chantilly, sensation subite de me sentir remplie… mais sans doute pas assez à ton goût, puisque tu m’as soulevée les deux jambes et sans plus de précaution pénétré ma chatte remplie de chantilly.
Des sensations nouvelles nous envahissent toi comme moi. Ta queue pénètre dans un douillet vagin crémeux à souhait, quant à moi, cette queue nageant dans la crème fouettée me remplit pleinement, moelleusement, follement. Ces jeux culinaires nous excitent énormément, comme deux gosse lâchés dans une confiserie, nous avons envie de tout goûter, quitte à en faire une indigestion.
Tu ressors ta queue, elle est totalement recouverte de crème. Friandise qui me fait tout autant envie que tu as envie de goûter de nouveau à ma chatte remplie de crème elle aussi.

Tu me relèves et me dis : « Viens »
Tu t’allonges sur le carrelage, ta queue à la chantilly dressée fièrement, me donnes des envies de la sucer mais aussi de m’empaler dessus.
- Donne moi ta chatte j’ai encore envie de la goûter
Comment refuser une telle invitation.
Je viens m’accroupir au dessus de ton visage, ma chatte crémeuse à souhait offerte aux assauts de ta langue. Je me penche en avant pour m’emparer à mon tour de ta queue au goût de vanille et de cyprine. Nos deux bouches se régalent mutuellement de nos deux sexes, notre plaisir va grandissant. Je sens ta langue me lécher, me pénétrer et tes doigts qui entrent en moi me fouillent , doigts que tu sucent pour mieux me goûter encore en émettant des gloussements de plaisir.
Ta queue se met à palpiter dans ma bouche, m’annonçant l’approche de ton orgasme. Alors que tes doigts et ta langue s’agitent en moi et sur mon clito je sens que je vais jouir et je te souffle entre deux spasmes : « Je vais jouir ! » alors que je jouis je sens ton sperme gicler dans ma bouche, c’est un festival de sucré salé dont je me régale.
Je me retourne vers ton visage et dans un baiser vorace nous mélangeons ta semence, ma cyprine et la chantilly en un délicieux cocktail. Nous restons un moment étendus encore le cœur battant après ce premier dessert orgasmique. La bombe gît à nos côtés. Tu te redresses alors en me disant :
- J’ai encore un petit creux pas toi ?
- C’est vrai que je ne dirai pas non à un petit peu de rabe.
Tu attrapes à nouveau la bombe prometteuse de nouveaux délices sucrés.
- J’ai très envie de manger ton cul plein de chantilly.
Cette idée m’excite aussitôt. Avant que tu puisses prendre possession de cette partie de mon corps, je pars me livrer aux quelques ablutions nécessaires.
Lorsque je reviens avec un intérieur propre et prêt à être consommé, tu es toujours allongé sur le carrelage frais de la cuisine. Pour te signaler mon retour je prends ta jolie queue au repos dans la bouche, petite gourmandise que j’adore sucer. Tu m’attires à toi pour m’embrasser, me mets une tape sur le cul en me disant :
- Donne moi ton cul ma jolie.
Je me mets à quatre pattes sur le carrelage ma croupe tendue, offerte . Pour plus de confort tu places deux coussins sous mes genoux et je te remercie pour cette délicate attention.
- Prête ?
- Oui remplie moi !
Je sens l’embout de la bombe pénétrer mon anus, arrive cette drôle de sensation de froid qui s’infiltre au fond de mes entrailles puis celle de me sentir remplie peu à peu, c’est très agréable.
Tu retires l’embout, je sens tes mains se poser sur chacune de mes fesses pour les tenir bien écarter. Je sens ta langue prendre possession de mon anus.
Tu commences par lécher ma raie, puis mon petit trou rempli à ras bord de crème. Ta langue s’insère dans mon anus me faisant alors frémir de plaisir. Je t’entends me dire d’une voix sourde :
- Donne m’en plus !
Je souris devant cet appétit orgiaque.
Je pousse alors pour expulser hors de mon anus cette crème dont tu veux te repaître. Je sens ta langue me fouiller de plus belle , m’excitant toujours un peu plus . Je t’entends t’exclamer :
- Putain c’est trop bon, ça me rend dingue. J’ai envie de t’enculer, mettre ma bite dans ton cul crémeux
- Ouiii encule moi ! Baise moi ! Ouii j’ai envie !
Tu entres en moi deux doigts que tu fais aller et venir dans mon cul encore rempli de crème chantilly. Mes gémissements, sentir mon anus autour de tes doigts finissent par t’exciter encore plus. Tu appuies alors ton gland à l’entrée étroite que tu convoites, tu m’attrapes par les hanches et d’un mouvement lent tu entres au plus profond de mes entrailles crémeuse.
Et là tu restes un petit moment sans bouger. Je me mets alors à me dandiner te signifiant ainsi que j’en veux plus. Alors tout doucement tu te mets en branle, je sens ta queue, engloutie dans mes entrailles encore remplie de crème , me dilater, m’écarteler , lentement et profondément. Pour augmenter ce plaisir anal déjà si intense, je descends une de mes mains vers mon clitoris pour le caresser. Et là…
- Encule moi plus fort, baise moi comme une chienne… joignant le geste à la parole , je fais en sorte de mouvoir mon cul pour te sentir me baiser plus vite et plus fort.
- Oh putain c’que c’est bon ma belle !
Je vais te défoncer , t’enculer ton cul de petite salope…
Te resserres ton étreinte sur mes hanches, et vient plaquer ton bassin sur mes fesses en t’immobilisant, planté bien profondément dans mon intimité chaude et humide, avant de brusquement commencer des allers et venus devenus plus rapides et plus forts qui nous arrachent à tous les deux des cris devenus bestiales. Notre plaisir monte rapidement, il est intense presque trop même
- Hoo ouiii ouiii haaa encooore !!
- Putain ! Putain c’que c’est bon ! Je vais te remplir de ma semence , tu veux ?!
- Ouii remplis moi !
Tes mouvements devenus frénétiques m’envoient rapidement au septième ciel, mon orgasme explose violemment, mon corps tout entier se met à trembler , mon anus se contracte autour de ta queue qui à son tour palpite avant d’envoyer des giclées de foutre dans mes entrailles. Si d’aventure quelqu’un venait à passer par là il aurait été surpris ************ de nos deux cris de jouissance s’élevant à l’unisson…
Doucement, après être resté bien planté au fond de moi tu te retires, me laissant soudainement vide… Tu te lèves, me redresses à mon tour sur mes jambes encore tremblantes. Je sens couler le long de mes cuisses un mélange de crème et de sperme, je te dis en souriant :”quel gâchis” en te montrant les traînées blanches .
- Tu as raison ! Pose tes mains sur la table et penche toi en avant, je vais m’occuper de ça…
Je me place donc face à la table, et me penche en avant pour t’offrir à nouveau accès à mon cul. Je sens alors ta langue remonter le long de ma cuisse avec un petit grognement de satisfaction, puis tu passes à l’autre cuisse pour remonter jusqu’à la source.
Cette langue gourmande vient à nouveau fouiller mon anus devenu si sensible, et il faut avouer que c’est une délicieuse sensation. Enfin repu, tu me signale la fin de ton festin anal par une claque bien sentie sur ma fesse.
- Mais heu !
- Râle pas ! Me dis tu en souriant.
Tu ne me laisses pas le temps de répondre , tu me plaques contre toi et prends ma bouche d’assaut pour me faire goûter à mon tour à ton sperme mélangé à la crème chantilly et tout ça sorti de mon cul… baiser collant, comme tout notre corps maculé des restes de nos ébats sucrés.
Nous dirigeons vers la douche, qui sera juste un pur moment de douceur et de tendresse, échange de caresses et de baisers mouillés. Puis repus nous irons nous allongés sur le lit pour une sieste bien méritée. Avant de nous assoupir, nos corps encore un peu humide enlacés, je te glisse à l’oreille :
- J’ai une surprise pour le goûter…
Intrigué, tu cherches à savoir, mais une surprise c’est une surprise…

Après le repos des guerriers que nous sommes, nous finissons par émerger. Nous avons dormi tout l’après-midi , maintenant la pièce est remplie d’un douce lueur de soleil couchant. La porte fenêtre restée ouverte laisse entrer les doux parfums d’été, le bruits des insectes qui s’agitent encore avant la tombée de la nuit et le chants des oiseaux qui se préparent à regagner leurs pénates avant que le soleil ne leur fasse faux bon.
Doux réveil que celui-ci. Je respire ta peau un peu humide , il a fait chaud tout l’après midi et nous sommes un peu moites. Je goûte le sel de ta peau et je te trouves à mon goût.
Tes mains baladeuses se promènent innocemment sur ma peau qui frémit sous ces douces caresses. J’aime sentir ton odeur animale non masquée par des parfums artificiels.
Une fois complètement réveillé nous nous décidons à sortir du lit pour aller nous désaltérer sur la terrasse encore baignée d’un soleil devenu plus doux. comme notre réveil.
Nous nous régalons de quelques pêches juteuses .
Tu me dis alors :
- C’est l’heure du goûter ?
- Il est un peu tard pour un goûter non ? Te dis je faussement innocemment.
- Mais la surprise pour le goûter alors ?
- Ah oui … il est peut-être trop tard…
- Tu vas voir s’il est trop tard !
Tu veux m’attraper le poignet mais j’ai anticipé et adroitement je m’esquive dans la maison . Tu me retrouves devant mon sac de voyage, un petit sourire aux lèvres .
- Tu as de la chance que cette surprise me fasse très envie, tant pis si l’heure du goûter est passée .
Je fouille dans mon sac, tu as le regard d’un enfant devant un sapin de Noël et qui attend de découvrir ses cadeaux et ça m’amuse, alors je fais durer le plaisir, en farfouillant et faisant mine de ne pas retrouver l’objet en question.
Tu t’impatientes un peu :
- Tu ne le retrouves pas ou tu me fais languir et ça t’amuses…
- Oh non c’est pas mon genre, te répondis-je faussement offusquée.
Je mets fin au suspens et sors de mon sac l’objet tant attendu : un gode à deux têtes magnifiquement bien membré pour répondre aux appétits de nos orifices gourmands.
Tes yeux se mettent à briller, un sourire carnassier aux lèvres tu me dis affectueusement :
- Tu es vraiment la reine des salopes.
- Je prends ça pour un compliment ( ce qui n’est pas politiquement correcte, mais dans nos jeux sexuels tout est permis ou presque…)
Tu me prends dans tes bras pour me jeter sur le lit.
- J’ai tellement d’idées qui me viennent avec ce gode, putain je suis déjà tout excité.
- Je vois ça, te dis-je en me saisissant de ta queue qui doucement reprend de la vigueur.
- Nous allons nous baiser comme les deux chiennes que nous sommes.
- Hmm, et je prends ta queue si délicieuse dans ma bouche, te faisant instantanément gémir et bander.
Je ressors un moment ta queue pour la remplacer par mon index , puis reprend ton chibre qui s’impatiente.
Je glisse mon doigt mouillé de salive entre tes fesses à la recherche de ton anus. L’objet de ma quête enfin trouvé, j’introduis mon index dans ce très étroit passage, et je commence à le faire aller et venir.
- Oh putain vas y encule moi ! C’est trop bon. Tu saisis la tête entre tes mains pour guider ma fellation.
Mais subitement tu t’échappes, surprise je te regarde.
- Mets toi à quatre pattes j’ai envie de te bouffer le cul comme…
- Comme une chienne
Je ne me fais pas prier, je mets à quatre patte, la tête posée sur le matelas.
Sans plus attendre ta bouche s’empare de mon anus. Je sens ta langue qui s’agite sur mon anus. Notre excitation est palpable, nos hormones du désir prennent les rennes de nos cerveaux qui en sont inondés. Nous n’avons plus qu’un seul but atteindre le plus de plaisir par tous les moyens.
Bientôt tu remplaces ta langue par un doigt que je sens pénétrer dans mon petit trou ce qui me procure un plaisir instantané. De ton côté, sentir ton doigt glisser dans cet étroit fourreau te procure presque autant de plaisir .
De ta main libre tu saisis le gode un moment oublié à nos côtés et l’introduis dans ma chatte trempée de cyprine.
Mon plaisir s’exprime bruyamment.
- T’aime ça que je te prenne tes deux trous ?
- Ouiii …
- Putain ça m’excite trop, j’ai envie de te baiser de t’enculer !
- Et tu ne veux pas que je t’encule moi ?
- Oh siii putain ! Oui encule moi !
- Laisse le gode dans ma chatte et mets toi à quatre pattes, à moi de te prendre comme une chienne.
Te voilà ton joli cul tendu, prêt à recevoir ma bite de silicone. Je claque ton cul , avant de badigeonner ton anus de gel. Pour mieux préparer le terrain je prends un malin plaisir à introduire deux doigts dans ton cul, et tu gémis aussitôt comme ma bonne petite salope qui adore que je prenne son cul pour mon terrain de jeu. Une fois ton anus bien enduit de gel, j’en recouvre aussi le gode, dont l’autre extrémité est toujours plantée dans mon vagin.
Je me place derrière toi, accroupie au dessus de ton cul, je saisis le gode et commence par titiller ton anus avec le gland avant de l’enfoncer doucement dans ton cul si gourmand.
Tes gémissements m’excitent au plus haut point. Je continue d’enfoncer ma bite de silicon, je veux te faire crier.
Enfin tu t’exclames :
- Haaa putain c’que c’est bon , encule moi encore !
Le gode est maintenant bien enfoncé profondément dans ton cul , et je commence à bouger mon bassin pour te baiser en même temps que je me baise sur ce gode . Mon excitation est à son comble, partager ce gode dans une baise mutuelle quoi de plus bandant ?!
Mais sans prévenir tu t’affales à plat ventre, le gode toujours fiché dans ton cul mais sorti de ma chatte.
Tu te retournes sur le dos en maintenant cette bite bien en place et tu me demandes de venir m’allonger et face de toi, ce que je fais.
Tu te redresses de façon à pouvoir manipuler cet engin magnifique .
- Moi aussi je vais t’enculer …
- Oh oui encule moi, encule moi !
Tu approches ton cul du mien et commences à enfoncer le gode dans mon cul trempé de cyprine. Je ne peux m’empêcher de gémir à mon tour.
Nous voilà cul à cul, empalés sur la même queue, nous enculant simultanément… le rêve…
Nous entamons des balancements, faisant aller et venir le gode dans nos cul, notre plaisir monte crescendo. Nous nous masturbons en même temps. Soudain te prends l’idée de vouloir pénétrer ma chatte avec ta queue. Quelle excellente idée !
Tu diriges ton gland en direction de ma chatte et tu me pénètres, collant encore plus ton cul au mien, nous pénétrant encore plus profondément .
Les sensations sont tellement fortes, ta bite me rend complètement dingue, des « ouiii ouiii » sortent de ma gorge comme pour extérioriser tout ce trop plein de sensations si intenses.
Nous nous agitons fébrilement sur cette queue plastifié , faisant monter progressivement notre plaisir à son paroxysme.
Je suis sur le point de jouir, tout mon corps se tend prêt à recevoir la déferlante qui s’annonce. Mon souffle est court, mon cœur bat la chamade.
Et il arrive, m’envahît, m’envoie dans la stratosphère tant convoité, un orgasme indescriptible, énorme, fantastique, les mots manquent pour décrire l’intensité du moment.
Encore tremblante, je sors le gode de mon cul.
Le souffle court, encore secouée des spasmes de l’orgasme je reste allongée sur le dos, me régalant des dernières vagues de plaisir qui continuent de déferler dans mon ventre.
De ton côté, tu n’as pas encore eu ton compte et ton excitation est bien vivace.
Tu retires le gode de ton cul, ce qui t’envoie une petite décharge de plaisir, tu viens t’allonger à côté de moi, tu m’embrasses et me dit :
- Tu sais que j’ai encore envie de te baiser, mets toi à quatre pattes, moi aussi j’ai une surprise pour toi.
- Une surprise ?
Curieuse, je m’exécute. Je me redresse sur les genoux au bord du lit, pendant que tu es allé chercher la surprise. Je vais pour me retourner et tu me dis taquin :
- Noooon ! Tu ne te retournes pas…
- Rhooo….
Je t’entends revenir :
- Hmmm la vue n’est pas vilaine, je vais prendre ton cul, j’ai très envie de t’enculer, sentir ma queue s’enfoncer dans très entrailles, te faire crier de plaisirs ,encore…
Et je te réponds avec un sourire :
- Fais toi plaisir alors. J’accompagne la réponse d’un trémoussement de mon cul, que tu gratifies de quelques claques.
- Bon alors c’est quoi cette surprise ?
- Patience ma belle, patience…
Silence… un déclic et un bruit , un petit vrombissement que je reconnais aisément, c’´est le bruit familier que fait un vibro… mais lequel ?
Tu poses l’engin sur mon clito, et ma réaction est immédiate, mon corps se tend sous les vibrations jouissives que me procure instantanément cette merveilleuse invention.
Tu fais glisser la surprise vers l’entrée de ma chatte, et tu me pénètres… c’est donc un gode vibrant…
- Oh putain !
Je réalise que tu vas m’offrir une double pénétration avec vibration en prime…
- Alors ma surprise ?
- Je crois qu’on va adorer tous les deux.
- On va voir ça tout de suite…
Tu joins le geste à la parole, je sens ton gland qui frappe à la porte de mon cul, tu me pénètres doucement. Je sens ta queue me remplir, je sens les vibrations dans mon vagin, vibrations qui se propagent dans mon anus quand ta queue vient glisser contre la fine paroi qui sépare les deux orifices maintenant remplis tous les deux.
Tu ressens toi aussi ces vibrations qui t’apportent une excitation et un plaisir supplémentaire. Tu commences à aller et venir doucement, faisant glisser ta verge dans mon cul, me procurant de délicieuses caresses .
Mais j’ai envie de te sentir me baiser comme une chienne, je deviens chienne
- Plus fort… baise moi plus fort !
Tu m’attrapes fermement les hanches et donnes un peu plus de vigueur à tes coups de reins,
- C’est ça que tu veux ?
- Encore plus vite, plus fort. Baise moi comme une chienne je te dis !
Ces mots ont le pouvoir de particulièrement t’exciter.
- Oh putain oui ! Tu veux ma bite, tu veux que je te défonce avec ma bite !
- Ouii ! Allé baise moi !
Les mots nous excitent encore un peu plus, nous sommes de nouveaux deux bêtes assoiffées de plaisir.
Tu me prends alors frénétiquement, ton bassin claque sur mes fesses, ta bite s’enfonce rageusement dans mon anus me faisant crier de plaisir.
Tu sens que tu vas jouir rapidement, mon anus est tellement serré autour de ta queue, et ces vibrations…
Je sens tes mains se crisper sur mes hanches :
- Oh putain c’est trop bon ! Je vais te remplir de ma semence.
- Ouiii viens, remplis moi !
Ton orgasme arrive , je sens ta queue qui s’immobilise et palpite avant de gicler en moi alors que tu laisses échapper un râle de plaisir. Doucement tu reprends tes allés et venus continuant de remplir mon cul de sperme. J’ai sorti le gode de mon vagin pour me caresser le clitoris, et mon orgasme arrive et tu sens mon anus se contracter spasmodiquement sur ta queue. Nos deux corps vibrent, tremblent sous cette nouvelle déflagration orgasmique. Tu restes de nouveau immobile, comme pour prolonger indéfiniment notre plaisir.
Mais toutes les bonnes choses ont une fin, tu te retires doucement… je m’effondre sur le lit. Tu éteins le vibro qui continuait de s’exciter tout seul.
Tu te laisses tomber à ton tour sur le lit, en disant :
- Putain ce que c’était bon…
- Hmmm…
- Tu do/rs déjà à moitié toi, dis tu en souriant
- Mais nooon…
Je me retourne avant de sombrer dans les bras de Morphée, passe ma main dans tes cheveux et t’embrasse . Nos corps s’enlacent tendrement, moments de douceur après nos gargantuesques ébats .
Je pose ma tête dans ton cou, et nous nous endormons alors que le soleil disparaît derrière les arbres…
发布者 RoseMaryass
8 月 前
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RoseMaryass 出版商 1 月 前
nono6264 : Merci, si vous avez pris du plaisir mon but est atteint.
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nono6264 3 月 前
Récit très excitant et admirablement écrit , un vrai régal de vous lire
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RoseMaryass 出版商 5 月 前
nanarloutres : Si je vous ai permis de vous fluidifier alors vive la fluidité 
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nanarloutres
nanarloutres 5 月 前
mmmmm....quelle petite escapade merveilleusement excitante....et si bien contée que la lecture en a été d'une très agréable fluidité.... merci !!
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Jadoreleschiennes
RoseMaryass : Ça fait plaisir si mes commentaires te rendent humide 😉
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RoseMaryass 出版商 5 月 前
Jadoreleschiennes : Merci x 1000 . Je prends énormément de plaisir à écrire ces lignes également et pas qu’un plaisir intellectuel 😋
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Jadoreleschiennes
C'est vraiment envoûtant et puissant, je ressens un plaisir immense à  te lire. Bravo x1000
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caso29
caso29 7 月 前
Mais c'est inhumain autant de plaisir coupable dans cette lecture !!! "petite" escapade, vous les nombreux orgasmes que vous avez eu heureusement qu'elle n'était pas "longue". En tout cas on sent très bien votre grand plaisir à la sodomie :wink:
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RoseMaryass 出版商 7 月 前
hellyeeeeah : Venant de quelqu’un qui a su , grâce à sa plume, tremper mes lèvres, c’est un compliment que je prends avec joie
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hellyeeeeah
hellyeeeeah 8 月 前
Quelle plume, j'aurais voulu resté impassible à la lecture, j'aurais été trahis par la raideur de ma queue et la coulée de précum qui s'en échappe... J'adore!
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torpilleur
torpilleur 8 月 前
J ai beau lire et relire,  a chaque fois je prends encore plus de plaisir que la précédente,  ce qui m incite obligatoirement a la relire une nouvelle fois pour savoir j usqu' ou va m emmener cette nouvelle lecture,  c est incroyable !!!!!!! 
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solcaliente 8 月 前
Cette escapade a huit clos.. est un escape game diablement bien conté.. Une invitation a se faire enfermer pour l éternité a tes côtés. ^^
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ccandau
ccandau 8 月 前
muet d'admiration rejoint mon amie IDAELE on ne sait plus en quelle saison nous somment là c'est tropical
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IDAELE
IDAELE 8 月 前
torpilleur : mdr
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torpilleur
torpilleur 8 月 前
IDAELE : Tout a fait d'accord avec toi,  si Rose arrête je lui colle un procès,  c est incroyable cette plume  , a lire sans modération !!!!!
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Pgoue25
Pgoue25 8 月 前
Merci du plaisir pris à vous lire. Vous narrez très bien.
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IDAELE
IDAELE 8 月 前
Pour ceux et celles qui doutent encore du réchauffement climatique, il suffit de lire ce récit pour comprendre le pourquoi de la fonte de la culotte glaciaire. Sans rire, continue tu es vraiment douée pour biu faire pénétrer dans le vif des sujets voir plus si affinités. KISS 💋
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IDAELE
IDAELE 8 月 前
Ah si 
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IDAELE
IDAELE 8 月 前
Désolée les commentaires ne passent toujours pas 
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RoseMaryass 出版商 8 月 前
Ohmygo2 : Je me consume 
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Ohmygo2
Ohmygo2 8 月 前
This girl is on fire 
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torpilleur
torpilleur 8 月 前
RoseMaryass : Bien obligé d éteindre le feu 🔥 🔥 🔥 que tu a allumé !!!!!
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RoseMaryass 出版商 8 月 前
torpilleur : Si cette envie occupe une de tes mains, alors j’ai atteint mon but.
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RoseMaryass 出版商 8 月 前
Amis lecteurs, si vous rencontrez dans ce texte des mots entrecoupés de - où de /, ce n’est pas une excentricité de ma part juste le moyen de contrecarrer la censure. Bonne lecture, j’espère qu’elle vous ouvrira l’appétit…
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torpilleur
torpilleur 8 月 前
Impossible de ne rien ressentir,  Impossible de ne pas te désirer,  c est incroyable,  j ai adoré,  et maintenant je ne suis plus sur cette planète.  Tu a mis le feu dans tout mon être,  je n ai qu une envie maintenant !!!!
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