Mariette la coquinette (dit la pute à chiottes)

Mariette semblait plutôt tendue ce matin au boulot.
Ses autres collègues l'avait bien remarqué. Elle ne tenait pas en place.
Non pas qu'elle avait envie d'aller faire pipi, bien que ce soit le cas en cette fin de matinée.
Mais Mariette, avait surtout une furieuse envie d'aller se branler !

Elle était comme ça Mariette, des désirs soudains, qui lui faisaient accroître sa libido d'un coup !
Il faut dire que les échanges coquins avec un de ses collègues, depuis quelques jours, n'avaient pas arranger les choses.

A 11h, elle craqua ! Il fallait qu'elle aille se soulager.

"Les filles, lança Mariette à ses comparses, je vais aux toilettes vite fait !
-Oui, une envie pressante on dirait lui répondit-une."

Les autres se mirent à rire et Mariette avança à pas décidés.

Les toilettes venaient juste d'être refaits et on sentait encore l'odeur du bois fraîchement coupé.

"C'était parfait, pensa t'elle. En plus l'espace y est suffisamment large pour allonger les jambes et se mettre à l'aise !"

Elle rentra, retira d'un coup son pantalon et sa culotte, s'assit sur la cuvette et commença à se tripoter.


De l'autre côté de la pépinière, Arnaud venait juste de finir une vente avec un client.
Le café pris une heure auparavant était déjà en train de lui faire sentir sa vessie.

Les moments de calme était rare en cette saison. Mais là comme par magie, plus personne. Le moment idéal pour s'absenter.

Arnaud partit sur le champs, soulager son envie pressante.

A son arrivée il entra dans le petit vestibule où lui faisaient face trois portes. Celle de gauche les toilettes hommes, au milieu la douche, à droite celles des filles.


"Mais c'est pas possible pensa Mariette, c'est le défilé ce matin. On ne peut vraiment pas être tranquille pour se caresser tranquillement."

Tranquillement était un bien faible mot lorsque l'on voyait Mariette se branler. Surtout lorsqu'elle avait décidée d'être une sale petite branleuse de pute à chiottes.
Tout y passait ! Vagin, anus, clitoris !
La totale !

Quoiqu'il en soit, ces projets d'être pénarde pour un instant de détente, tombaient à l'eau.
Mais alors qu'elle était prête à se rhabiller, une pensée la fit frémir:

"Et si c'était lui ?"

Rien que de l'imaginer, son corps se mit à trembler. Une excitation instantanée vient raviver sa flamme.

Arnaud ouvrit la porte des toilettes hommes mais celle-ci restait bloquée.

"Ah mince désolé, dit-il confus."

Une voix répondit à l'intérieur:

"Non, non t'inquiète, j'en ai pas pour longtemps.
-Pas de souci, je vais chez les nanas, répondit Arnaud!

Le cœur de Mariette venait de s'accélèrer d'un coup, c'était bien sa voix ! Celui de son collègue pour qu'il elle s'éprenait et avec lequel elle communiquait depuis peu.

"Il arrive ! Que faire ?"

D'un geste soudain et impulsif elle tourna la serrure d'un quart de tour.

"Mais qu'est ce que je fais! Je suis devenue folle !
Vite, ma pauvre Mariette, referme moi vite cette serrure sinon... Trop tard !"

La porte s'ouvrit d'un coup, dans un silence de cathédrale.

Arnaud découvris, hébété, Mariette sur la cuvette des toilettes !
Il resta quelques secondes sans bouger, décontenancé par la situation gênante.
Mais alors qu'il était prêt à sortir un son, Mariette eut le réflexe de mettre son doigt sur sa bouche pour lui signifier le silence.
Arnaud était sur le point de fermer la porte mais se ravisa.
Après tout ces échanges sulfureux, il pouvait bien admirer le spectacle.
C'est alors que Mariette se remis à l'ouvrage. D'une frénésie machinale, elle poursuivis sa séance masturbatoire, sous les yeux d'un mateur imprévu.
Un sourire pervers illumina le visage de ce dernier.

"Mieux que de se montrer, pensait Arnaud, voilà maintenant qu'elle se branle cette salope ! Elle ne m'avait pas menti, c'est vraiment une sale pute à chiottes."

De l'autre côté, la chasse d'eau se déclencha.
Un instant de panique s'en suivit pour Arnaud qui voulu refermer la porte aussitôt.
Pas pour Mariette, qui prenait un malin plaisir de le laisser décider de son destin.
Arnaud regarda Mariette, elle lui répondit en ouvrant la bouche pour sortir la langue.
Il regarda l'autre porte, un bruit de métal de ceinture.

La porte des toilettes hommes s'ouvrit.

"Ça y est Arnaud j'ai fini, s'exprima Gérard qui sortait à l'instant."
Sous ces allures bedonnantes, Gérard regarda Arnaud l'air étonné:
"Bah alors ? T'es pas allé chez les gonzesses ?
-Non, c'était occupé répondit Arnaud dubitatif, en regardant la porte qu'il avait réussi à fermer, juste avant la sortie de Gérard."

Gérard poussa la porte du vestibule et quitta la pièce en gossant, après s'être succinctement lavé les mains.

Une fois le lourdeau parti, Arnaud ouvrit à nouveau la porte des toilettes femme.
Il y découvris la même image qu'il avait quitté quelques secondes auparavant.

Le calme étais revenu..sauf peut-être, les petits couinements de Mariette qui continuait son affaire.

C'est Arnaud qui pris l'initiative:

"Bon ! Puisque les toilettes hommes sont indisponibles, je crois bien que je vais devoir me soulager ici !
-Il me semble, si je ne dit pas de bêtises, que Gérard est parti cher Arnaud.
-Je le sais bien ma chère Mariette, mais je ne parlais pas d'indisponibilité physique, mais olfactive."

Mariette ne su quoi répondre. Elle était d'un coup tétanisée entre la peur et l'excitation.
Arnaud quand à lui, s'approchait lentement d'elle. Il degrapha son pantalon, s'arrêta, l'entre-jambe juste au niveau du visage de Mariette.
D'un geste instinctif, elle se recula jusqu'à s'adosser à la cuvette.

"Il ne vas quand-même pas me pisser dessus s'interrogea Mariette pris de panique."

-Écarte les cuisses, sale pute à chiottes ! Lâcha Arnaud d'un ton sec !

Mariette ouvrit ses cuisses le plus large possible pour faire apparaître une ouverture entre ses jambes et le fond de la cuvette.
Arnaud sorti son sexe déjà bien érigé en direction du trou et fit jaillir son jus doré.
Quelques projections vinrent humidifier les lèvres et le pubis de Mariette, qui sentait les gouttes malgré la toison bien fournie de sa chatte.

"Ah quel pied, s'exclaffa Arnaud ! J'étais sûr que t'étais qu'une bonne chienne à pisse."

Mariette ne répondait toujours pas. Curieusement, cela semblait lui plaire puisqu'elle mouillais davantage.

La fontaine doré qui ruisselait devant Mariette s'arrêta enfin. Elle pu constater que sa touffe était maintenant détrempée d'urine.
Elle en voulais plus encore.
Et comme cela ne suffisait pas, elle assuma son rôle en prenant en bouche la verge qui lui pendait au nez.

"C'est bien grognasse ! C'est ce que j'attendais de toi. Que tu sois une bonne serpillière à pisse !"
-Oui je le suis, répondit enfin Mariette entre deux bouchées.
-Putain, tu me fais bander sale traînée, je sens que je vais devoir te baiser ! Tu vas ramasser salope ! Fallait pas me provoquer !"

D'un geste soudain, Arnaud attrapa la tignasse de Mariette pour la relever de la cuvette. Il la retourna d'un coup de poignet pour positionner le cul de Mariette juste devant sa bite.
Prise par surprise, elle allait devoir aussi se résigner, à servir...de vide-couilles.

-Tu sais ce que j'attends d'une bonne pute à chiottes comme toi, interpella Arnaud ?
-Euh...Non, répondit fébrilement Mariette.
-Que tu sois une sale pouffiasse à enculer !
Allez, écarte moi ça chienasse que je t'enfourne à sec !"

Arnaud, galvanisé par le scénario et des pulsions dominantes, lui parlait de plus en plus durement.
Et ce n'était pas pour déplaire à Mariette, qui raffolait d'insultes toutes plus humiliantes les unes que les autres. Plus elle se sentait rabaissée, plus ça l'exaltait !
Perdue dans ses pensées, elle écarta son cul et sans prévenir, une divine sensation inconnue vint lui pénétrer l'anus.
Un plaisir infini s'empara de son corps et son esprit.

"Qu'est ce que c'est bon une bonne bite dans le cul, lâcha Mariette avec soulagement !
-J'en étais sûr que t'étais qu'une pauvre conasse juste bonne à se faire troncher le cul à sec ! Ça rentre comme dans du beurre ! T'as vraiment le fion d'un bon garage à bite ?
-Oh oui putain...Baise la bien ta sale pute à chiottes. Elle est juste là pour te servir de sac à jus !"

Les mouvements du bassin d'Arnaud s'accentuaient.
La cadence devenait effrénée...
Mariette n'arrivait même plus à respirer tant elle était essoufflée, éreintée de cet assaut impromptu.
Elle etait à un doigt de jouir. Un seul contact sur son clito et elle partait.

C'est à ce moment précis qu'Arnaud décida d'aventurer une main sur le minou de Mariette. Ce touché fut comme une décharge électrique et elle ne pu contenir son plaisir.
Presque instantanément une joussance extrême l'envahit de la tête aux pieds. Son corps tremblait comme une feuille si bien qu'elle eut du mal à étouffer les cris qui sortaient de sa bouche comme une délivrance.
Mariette eut à peine le temps d'en profiter, que sa chevelure fut tirée d'un coup en arrière et son visage amené devant la queue toute luisante d'Arnaud qui venait de s'extraire de son petit trou.
Dans une synchronisation parfaite, un flux abondant de sperme vint lui asperger les joues et la bouche sans qu'elle ne pu l'empêcher. Machinalement elle ouvrit sa bouche pour se délecter de ce nectar qui jaillissait à grosses gouttes sur son visage immaculé.

"Tiens, prend ça sale pute à foutre, beugla Arnaud dans un soupire salvateur ! C'est ça que tu voulais être une pauvre esclave juste bonne à servir de serpillière à jus !"

La réponse de Mariette ne se fut pas attendre. Elle engouffra le chibre d'Arnaud à pleine bouche pour déguster ce met qu'elle espérait tant depuis quelques jours.

"Mmmh, pensais t'elle, il a bon goût son jus."

D'ordinaire, elle n'aurait jamais pris en bouche un penis qui sortait de son anus. Mais là pour une raison qu'elle ignorait, cela lui semblait comme une évidence.
Comme si elle fut sous hypnose, elle lustra à pleine bouchée le gland d'Arnaud pour ne pas en perdre une miette. Elle fut même surprise de constater qu'elle n'était pas écœurée par le goût légèrement parfumé par son anus. Au contraire ! C'était même encore meilleur !
Elle était tellement exaltée par cette nouveauté qu'elle en venait même à se demander pourquoi elle n'avait jamais fait ça auparavant !

On peut dire que ce jour là Mariette avait été gâtée. Non seulement elle avait pu prendre son pied, mais en plus elle avait découvert que les promesses des échanges avec Aranud étaient bien réelles.
De toute son expérience sexuelle, jamais elle n'avait ressenti autant de plaisir à se faire rabaisser de la sorte. Et bien que ce fut pendant longtemps son fantasme, elle était satisfaite et comblée, de le réaliser avec l'homme qu'elle désirait secrètement.

Arnaud aurait pu rester longtemps à se faire lustrer par la langue de Mariette qui ne déscotchais plus de son sexe. Mais la sonnerie de son téléphone vint le faire sortie de son extase.
C'était sa cheffe !

"Mince pensait-il, pourvu que je ne me fasse pas engueuler ! Il doit y avoir du monde et je dois retourner vite aux affaires."

Dans un élan maladroit il extirpa sa queue de la bouche de Mariette sans lui demander son avis. Il remballa à la hâte et s'excusa de couper court à ce moment d'apaisement:

"Désolé, faut que j'y retourne, dit Arnaud confus."

Alors qui repartait, il eu un dernier regard et un dernier mot pour Mariette:

"Mais t'inquiète pas, va ! On va remettre le couvert très bientôt. Je vais m'occuper de toi salope ! Tu vas voir, tu va comprendre à qui tu as affaire."


Sur ces derniers mots, Arnaud disparu aussi vite qu'il était arrivé.
Le calme revenait dans les toilettes laissant Mariette en pleine contemplation de son état: humiliée, dégradée, souillée.
Cette fin impromptu eu le mérite de faire redescendre les pieds de Mariette sur terre.
Elle nettoya son visage à la hâte avec du papier toilette et entrepris le chemin du retour.

"Difficile de repartir au taf après ce qu'il venait de se passer, pensa t'elle."

Mais comme elle n'avait pas le choix, elle quitta les lieux, s'assurant qu'aucun detail ne puisse la trahir vis à vis de ses collègues.

Ce jour là, Mariette était comblée de bonheur et elle s'impatientait déjà, des prochaines aventures avec Arnaud.
Bien qu'elle fut assouvi de ses tensions matinales, un climat tropical régnait dans la culotte de Mariette. Elle n'était pas rassasiée.
Elle pensa alors qu'il semblait inéluctable
qu'elle allait devoir se soulager une nouvelle fois dans la journée.



A suivre...
发布者 Phoenicurus
8 月 前
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POUFFIASSELOVER
POUFFIASSELOVER 7 月 前
j'adore enmener ma chiennasse dans des chiotte puant
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Naughtynev69
Naughtynev69 7 月 前
Yummy
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Katyne
Katyne 8 月 前
Phoenicurus : Il coulera beaucoup d'eau sous le pont avant que cela arrive. Mais Merci.
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Phoenicurus
Phoenicurus 出版商 8 月 前
Katyne : Merci beaucoup chère Katyne. Puisses-tu retrouver un homme pour te redonner ce plaisir !
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Katyne
Katyne 8 月 前
Elle en a de la chance cette Mariette.... 
Toujours une belle plume mon cher Phoenicurus. 
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