Rendez-vous avec Aurélia
Aujourd'hui j'ai rendez-vous avec Aurélia.
Elle m'attend chez elle, dans sa chambre, en petite tenue.
J'arrive à 18h, la grille de la demeure est ouverte et je m'introduis discrètement.
Quelques mètres de pavé en pierre me séparent de la porte d'entrée et je la gagne rapidement.
J'entre.
Je tombe sur la cuisine. L'ambiance est tamisée par une faible lumière.
Je continue ma progression au fond à gauche où se situe le salon.
La télé est allumée mais personne dans le grand canapé qui jouxte l'écran.
La maison semble déserte mais je sais que tu es là.
D'ailleurs, quelques premières effluves de ton parfum me chatouille les narines.
Un désir soudain me fait frissonner et je le ressens jusque dans mon entre-jambe qui frémit également.
Plus que quelques marches à monter et nous serons côte à côte.
Je grimpe une par une les marches en bois qui grincent sous le poids de mon corps. J'essaie de me faire le plus léger possible mais plus possible de cacher ma présence
À partir de maintenant, tu sais que je suis là, j'imagine ton cœur battre aussi vite que le mien.
Plus de retour en arrière. Juste se laisser emporter dans la folie du jeu.
En haut de l'escalier, une guirlande électrique aux couleurs chaudes est installée près du mur.
J'arrive dans ton antre.
Je suis déjà hypnotisé. Guidé par une force incontrôlable et phéromonale.
A droite se trouve ta chambre. J'arrive sur le seuil.
Mon coeur est à deux doigts d'exploser de te voir.
Tu es si belle!
La pièce est noyé de lueurs de bougies qui paraissent flotter dans cette pénombre.
A genou sur le lit, tu m'attends.
Ton sourire espiègle me fait comprendre que tu es heureuse de me voir. Je le sens à la manière dont tu gesticules, tu es déjà excitée.
Tu as mis ta petite nuisette grise, celle qui te va si bien et renforce mon envie de toi! Ton décolleté me fait chavirer d'entre-apercevoir ta généreuse poitrine, si parfaitement dessinée sous ce tissus soyeux.
J'ai envie de te sauter dessus mais je me retiens. Je veux y aller doucement, te déguster patiemment.
Tout l'inverse de toi qui semble vouloir me croquer sauvagement. Ton impatience se voit et tu ne tarde pas à me l'exprimer:
"Alors! Tu te dépêches! Tu viens me baiser!"
Ces mots me rendent fou et je ne peux contrôler le désir fougueux qui m'envahit. Je m'approche de toi jusqu'à n'être plus qu'à quelques centimètres de ta bouche.
Ta bouche grand ouverte est déjà prête pour un baiser goulu. Je ne me fais pas prier par cet appel. Penché au dessus de tes lèvres, mes lèvres rentrent en contact avec les tiennes.
Un baiser des plus emballant s'en suit. Nos langues se chevauchent, se heurtent, s'entre-melent!
J'ai la sensation que tu veux me dévorer la bouche tant la passion de nos souffles s'harmonisent en folie.
Pendant ce long échange salivaire, je profite de parcourir ton corps. Une main déjà s'est engouffrée sous ta nuisette pour te caresser les seins, je contourne ses formes voluptueuse jusqu'aux pointes que je pince subtilement.
L'autre main est parti à l'exploration de ton entre-cuisse déjà chaude et humide.
Mes doigts sont irrésistiblement attirés par cette source.
Un doigt, puis deux, puis trois...
Un gémissement sourd et grave retentit. J'accelère les mouvements. Je veux te sentir mienne, que tu ne puisse plus te sortir de mon emprise.
Tu coules à flots maintenant et je continue mon exploration dans ton petit trou.
Lui aussi est déjà bien ouvert et mon doigt glisse facilement et profondément.
Nouveau gémissement, plus crispé cette fois. Je ne peux l'interpréter. Était-ce de plaisir ou de douleur?
Peut être des deux à la fois!
Ce moment marque la rupture de nos embrassades.
Un long regard complice et coquin nous transcendent un peu plus.
Toi, haletante, toute offerte pour moi.
Moi, prêt à te saillir comme un mâle en rut.
"Je vais te baiser salope".
- Oui vas-y baise moi bien! Ta salope attends que ça!"
Ce bref échange me sublime,
Je me me déshabille à la hâte. Sentant mon érection à son paroxysme, je ne peu attendre plus.
Je dois te prendre, là, tout de suite, sans attendre une seconde de plus.
Une fois nu, je t'allonge d'une traite sur le matelas, relève tes jambes et d'un coup sec, enfonce mon pieux raide dans ton vagin.
Un râle expressif s'échappe de ta bouche. Si puissant que je le sens même te faire vibrer de l'intérieur.
Nous sommes en communion parfaite. Je t'assène de grands coups de butoirs. Mes cris rauques contrastent avec tes couinement aigüs, mais ils s'harmonisent comme un seul homme, une seule âme.
Pendant plusieurs minutes d'assauts répétés, de langues baveuses, d'échanges crus, je me retire.
Je veux te prendre le cul!
Je te retourne comme une crêpe. Ton cul est face à moi et je bande encore plus de te le fourrer.
"Putain ma salope je vais te prendre le cul comme une bonne pute! J'en ai trop envie!"
Ni-une ni-deux, je t'enfourne ma queue tendu sur ton anus.
Elle rentre sans problème, déjà lubrifié par la cyprine, qui ne semble plus vouloir s'arrêter de couler.
Quelle sensation merveilleuse! Je t'encule sans résistance et j'ai l'impression de te posséder. J'accèlere mes coups de butoirs. Je veux aller au plus profond de tes entrailles, te faire sentir mon plaisir ultime de te prendre sauvagement, là où je m'y sens le mieux.
Tu as l'air d'aimer, tu couines comme une belle cochonne qui se laisse ainsi emporter par mon vice pervers.
J'aime entendre le son de tes cris qui m'excitent de plus en plus. Je sais que ce sera l'ultime moment de notre baise avant que je ne jouisse.
Mais je veux en profiter encore tant je me sens bien. Et je continue de t'assener de longs et profonds mouvements que tu encaisses sans problème. Je bénis le ciel de posséder un pénis propice à la sodomie.
"Allez! Baise lui bien son cul à ta pute, exprimes-tu soudainement.
-Oh oui putain, c'est trop bon de te défoncer ton cul de chienne! T'aime ça salope? T'aime ça être ma pute!
- Oui, je suis ta pute, encule moi fort et crache moi ton foutre dans mon anus!"
Ces derniers mots me font l'effet dune bombe et je me sens exploser. Je sens ma jouissance arriver et mes cris se font maintenant distinctifs. Tu le sens aussi et attends ce moment que tu apprécies tant: m'entendre hurler!
Mais aujourd'hui, je veux te faire une surprise. Te montrer comment je peux être dégradant et humiliant envers une bonne salope comme toi.
A deux doigts d'éjaculer, je sors mon sexe prêt à imploser et l'approche de ton visage. Surprise de ma démarche, tu me harangues:
"Qu'est ce que tu fais, non!
-Oh que si ma belle pute, je vais te cracher à la gueule pour mon plus grand plaisir!"
A peine le temps de finir ma phrase, que des flots de sperme chaud jaillissent de mon gland et ruisselent sur tes joues. Le jet abondant se déverse partout et je ne peux le maîtriser totalement. Tes cheveux sont eux aussi souillés de ma semance et au bout de quelque secondes, te voilà noyé sous mon odeur de jus blanc.
Je te regarde, hagard, comme grogui par l'effet inattendu de ce final et me délecte de te voir ainsi.
Je suis pris d'une frénésie et pour parfaire notre communion, je plonge sur toi et t'embrasse langoureusement.
Mon sperme passe d'une bouche à l'autre et je me vois également couvert de mon propre sperme qui se mélange avec harmonie sur nos peaux chaudes qui ne font plus qu'une.
Dans un dernier élan de générosité, je te regarde dans les yeux et après un petit blanc, je te susurre:
"Je t'adore! J'aime tant faire l'amour de cette manière avec toi.
Moi aussi, me reponds-tu."
Après un sourire complice plein de tendresse, nous reprenons nos échanges baveux pour sceller cette alchimie si parfaite.
Elle m'attend chez elle, dans sa chambre, en petite tenue.
J'arrive à 18h, la grille de la demeure est ouverte et je m'introduis discrètement.
Quelques mètres de pavé en pierre me séparent de la porte d'entrée et je la gagne rapidement.
J'entre.
Je tombe sur la cuisine. L'ambiance est tamisée par une faible lumière.
Je continue ma progression au fond à gauche où se situe le salon.
La télé est allumée mais personne dans le grand canapé qui jouxte l'écran.
La maison semble déserte mais je sais que tu es là.
D'ailleurs, quelques premières effluves de ton parfum me chatouille les narines.
Un désir soudain me fait frissonner et je le ressens jusque dans mon entre-jambe qui frémit également.
Plus que quelques marches à monter et nous serons côte à côte.
Je grimpe une par une les marches en bois qui grincent sous le poids de mon corps. J'essaie de me faire le plus léger possible mais plus possible de cacher ma présence
À partir de maintenant, tu sais que je suis là, j'imagine ton cœur battre aussi vite que le mien.
Plus de retour en arrière. Juste se laisser emporter dans la folie du jeu.
En haut de l'escalier, une guirlande électrique aux couleurs chaudes est installée près du mur.
J'arrive dans ton antre.
Je suis déjà hypnotisé. Guidé par une force incontrôlable et phéromonale.
A droite se trouve ta chambre. J'arrive sur le seuil.
Mon coeur est à deux doigts d'exploser de te voir.
Tu es si belle!
La pièce est noyé de lueurs de bougies qui paraissent flotter dans cette pénombre.
A genou sur le lit, tu m'attends.
Ton sourire espiègle me fait comprendre que tu es heureuse de me voir. Je le sens à la manière dont tu gesticules, tu es déjà excitée.
Tu as mis ta petite nuisette grise, celle qui te va si bien et renforce mon envie de toi! Ton décolleté me fait chavirer d'entre-apercevoir ta généreuse poitrine, si parfaitement dessinée sous ce tissus soyeux.
J'ai envie de te sauter dessus mais je me retiens. Je veux y aller doucement, te déguster patiemment.
Tout l'inverse de toi qui semble vouloir me croquer sauvagement. Ton impatience se voit et tu ne tarde pas à me l'exprimer:
"Alors! Tu te dépêches! Tu viens me baiser!"
Ces mots me rendent fou et je ne peux contrôler le désir fougueux qui m'envahit. Je m'approche de toi jusqu'à n'être plus qu'à quelques centimètres de ta bouche.
Ta bouche grand ouverte est déjà prête pour un baiser goulu. Je ne me fais pas prier par cet appel. Penché au dessus de tes lèvres, mes lèvres rentrent en contact avec les tiennes.
Un baiser des plus emballant s'en suit. Nos langues se chevauchent, se heurtent, s'entre-melent!
J'ai la sensation que tu veux me dévorer la bouche tant la passion de nos souffles s'harmonisent en folie.
Pendant ce long échange salivaire, je profite de parcourir ton corps. Une main déjà s'est engouffrée sous ta nuisette pour te caresser les seins, je contourne ses formes voluptueuse jusqu'aux pointes que je pince subtilement.
L'autre main est parti à l'exploration de ton entre-cuisse déjà chaude et humide.
Mes doigts sont irrésistiblement attirés par cette source.
Un doigt, puis deux, puis trois...
Un gémissement sourd et grave retentit. J'accelère les mouvements. Je veux te sentir mienne, que tu ne puisse plus te sortir de mon emprise.
Tu coules à flots maintenant et je continue mon exploration dans ton petit trou.
Lui aussi est déjà bien ouvert et mon doigt glisse facilement et profondément.
Nouveau gémissement, plus crispé cette fois. Je ne peux l'interpréter. Était-ce de plaisir ou de douleur?
Peut être des deux à la fois!
Ce moment marque la rupture de nos embrassades.
Un long regard complice et coquin nous transcendent un peu plus.
Toi, haletante, toute offerte pour moi.
Moi, prêt à te saillir comme un mâle en rut.
"Je vais te baiser salope".
- Oui vas-y baise moi bien! Ta salope attends que ça!"
Ce bref échange me sublime,
Je me me déshabille à la hâte. Sentant mon érection à son paroxysme, je ne peu attendre plus.
Je dois te prendre, là, tout de suite, sans attendre une seconde de plus.
Une fois nu, je t'allonge d'une traite sur le matelas, relève tes jambes et d'un coup sec, enfonce mon pieux raide dans ton vagin.
Un râle expressif s'échappe de ta bouche. Si puissant que je le sens même te faire vibrer de l'intérieur.
Nous sommes en communion parfaite. Je t'assène de grands coups de butoirs. Mes cris rauques contrastent avec tes couinement aigüs, mais ils s'harmonisent comme un seul homme, une seule âme.
Pendant plusieurs minutes d'assauts répétés, de langues baveuses, d'échanges crus, je me retire.
Je veux te prendre le cul!
Je te retourne comme une crêpe. Ton cul est face à moi et je bande encore plus de te le fourrer.
"Putain ma salope je vais te prendre le cul comme une bonne pute! J'en ai trop envie!"
Ni-une ni-deux, je t'enfourne ma queue tendu sur ton anus.
Elle rentre sans problème, déjà lubrifié par la cyprine, qui ne semble plus vouloir s'arrêter de couler.
Quelle sensation merveilleuse! Je t'encule sans résistance et j'ai l'impression de te posséder. J'accèlere mes coups de butoirs. Je veux aller au plus profond de tes entrailles, te faire sentir mon plaisir ultime de te prendre sauvagement, là où je m'y sens le mieux.
Tu as l'air d'aimer, tu couines comme une belle cochonne qui se laisse ainsi emporter par mon vice pervers.
J'aime entendre le son de tes cris qui m'excitent de plus en plus. Je sais que ce sera l'ultime moment de notre baise avant que je ne jouisse.
Mais je veux en profiter encore tant je me sens bien. Et je continue de t'assener de longs et profonds mouvements que tu encaisses sans problème. Je bénis le ciel de posséder un pénis propice à la sodomie.
"Allez! Baise lui bien son cul à ta pute, exprimes-tu soudainement.
-Oh oui putain, c'est trop bon de te défoncer ton cul de chienne! T'aime ça salope? T'aime ça être ma pute!
- Oui, je suis ta pute, encule moi fort et crache moi ton foutre dans mon anus!"
Ces derniers mots me font l'effet dune bombe et je me sens exploser. Je sens ma jouissance arriver et mes cris se font maintenant distinctifs. Tu le sens aussi et attends ce moment que tu apprécies tant: m'entendre hurler!
Mais aujourd'hui, je veux te faire une surprise. Te montrer comment je peux être dégradant et humiliant envers une bonne salope comme toi.
A deux doigts d'éjaculer, je sors mon sexe prêt à imploser et l'approche de ton visage. Surprise de ma démarche, tu me harangues:
"Qu'est ce que tu fais, non!
-Oh que si ma belle pute, je vais te cracher à la gueule pour mon plus grand plaisir!"
A peine le temps de finir ma phrase, que des flots de sperme chaud jaillissent de mon gland et ruisselent sur tes joues. Le jet abondant se déverse partout et je ne peux le maîtriser totalement. Tes cheveux sont eux aussi souillés de ma semance et au bout de quelque secondes, te voilà noyé sous mon odeur de jus blanc.
Je te regarde, hagard, comme grogui par l'effet inattendu de ce final et me délecte de te voir ainsi.
Je suis pris d'une frénésie et pour parfaire notre communion, je plonge sur toi et t'embrasse langoureusement.
Mon sperme passe d'une bouche à l'autre et je me vois également couvert de mon propre sperme qui se mélange avec harmonie sur nos peaux chaudes qui ne font plus qu'une.
Dans un dernier élan de générosité, je te regarde dans les yeux et après un petit blanc, je te susurre:
"Je t'adore! J'aime tant faire l'amour de cette manière avec toi.
Moi aussi, me reponds-tu."
Après un sourire complice plein de tendresse, nous reprenons nos échanges baveux pour sceller cette alchimie si parfaite.
1 年 前
