Mes débuts de chienne soumise.
Après nos premiers échanges intimes, mon nouveau maître m'a fait comprendre que ce serait lui qui dicterais les règles de notre relation.
Compte tenu qu'il est en couple, j'ai accepté sa requête. De toute façon en tant que soumise, je n'avais pas le choix. Et puis si je voulais espérer quoique ce soit de sa part, il fallait bien être obéissante et docile.
Ainsi, mon maître a souhaité dans un premier temps que ma soumission se fasse uniquement de manière virtuelle.
Tout les matins il m'envoyait un questionnaire afin de tester mes compétences de soumise.
Il n'hésitait pas à me parler durement et crûment pour que je comprennes bien mon statut de soumise.
De mon côté je me contentais de répondre au mieux à ses attentes.
Au début j'avais un peur de ne pas être à la hauteur et de ne pas pouvoir accepter ce qu'il attendrais de moi.
Mais très vite, il m'a mis en confiance et des choses qui me paraissaient insensés avant, me faisait maintenant mouiller comme une pucelle.
Au bout d'une semaine, voyant qu'il pouvait lui aussi me faire confiance et que je ne trahirais pas vis à vis de sa femme, il a commencer à me lancer des défis.
Comme de ne pas porter de sous-vetements, ou bien de me branler le cul tout les soirs...
Complètement prise dans son étreinte, j'exécutais ses ordres sans broncher et avec un plaisir qui augmentait de jours en jours.
C'est alors qu'il commença à être plus tactile.
Depuis notre premièr échange coquin, il n'avait qu'une envie: de voir et toucher ma grosse poitrine.
Il faut dire qu'avec mon 120E, je ne suis pas en reste de ce côté là.
Surtout, il avait envie de découvrir mes tétons fraîchement percé.
Il n'avait encore jamais rencontré de femmes avec des anneaux au bout des seins et se déléctait de pouvoir les découvrir et bien sûr les toucher.
C'est ainsi qu'un matin il m'ordonna de venir le rejoindre dans les vestiaires. Par chance, il n'y avait personne à ce moment-là.
Je pu alors lui dévoiler mes mamelles joliment ornés.
Il était comme un fou, il les a pris à pleines mains pour les malaxer, les claquer et jouer avec, comme un enfant qui découvre ses cadeaux de Noël.
La seule restriction que je lui imposai était de ne pas encore tirer sur les les piercings compte-tenu qu'ils n'étaient pas encore cicatrisés.
C'était divin! Rien que le souvenir de ce premier touché mammaire me donne la chair de poule!
Plus les jours passèrent, plus je me sentais chienne et dévouée. Je me sentais capable de toutes les folies pour lui, tant ses mots et ses caresses me ravivaient la flamme qui brûlait ma chatte au quotidien.
Chaque soir ou presque, tout dépendait s'il était disponible, il me lançait au défi. Son truc était l'anal. Malheureusement mon petit trou qui ne servait pas était bien serré. Il fallait donc que je m'entraîne à me le dilater comme une bonne pouffiasse de merde.
Au début, ce ne fut pas simple, voire même douloureux, mais au fil des jours je me surprenais moi-même.
Quand je rentrais chez moi, mouillée comme jamais grâce à ses insultes, mon plug s'enfonçait comme dans du beurre et je prenais un pied de dingue!
Puis à distance, il me dirigeait tout en continuant a m'insulter et en choisissant le moment où j'avais le droit de jouir.
Ce ne fut pas facile parfois tant j'avais envie de me faire crier mais je ne voulait pas le décevoir et j'obéissais sagement comme une bonne chienne.
Il m'imposait aussi de lui envoyer mes masturbations quotidiennes en photos et vidéos afin de s'assurer que j'étais bien en train de me branler.
Au début, je n'étais pas très à l'aise, mais rapidement je me suis laissé prendre au jeu, lui envoyant de belles vidéos cochonnes où je devais m'humilier et me dégrader.
Voilà comment au bout de deux semaines, j'étais devenue sa chose, son esclave, son jouet. Et j'eus alors la bonne surprise un matin d'être récompensée de mes services...
La suite au prochain numéro.
Compte tenu qu'il est en couple, j'ai accepté sa requête. De toute façon en tant que soumise, je n'avais pas le choix. Et puis si je voulais espérer quoique ce soit de sa part, il fallait bien être obéissante et docile.
Ainsi, mon maître a souhaité dans un premier temps que ma soumission se fasse uniquement de manière virtuelle.
Tout les matins il m'envoyait un questionnaire afin de tester mes compétences de soumise.
Il n'hésitait pas à me parler durement et crûment pour que je comprennes bien mon statut de soumise.
De mon côté je me contentais de répondre au mieux à ses attentes.
Au début j'avais un peur de ne pas être à la hauteur et de ne pas pouvoir accepter ce qu'il attendrais de moi.
Mais très vite, il m'a mis en confiance et des choses qui me paraissaient insensés avant, me faisait maintenant mouiller comme une pucelle.
Au bout d'une semaine, voyant qu'il pouvait lui aussi me faire confiance et que je ne trahirais pas vis à vis de sa femme, il a commencer à me lancer des défis.
Comme de ne pas porter de sous-vetements, ou bien de me branler le cul tout les soirs...
Complètement prise dans son étreinte, j'exécutais ses ordres sans broncher et avec un plaisir qui augmentait de jours en jours.
C'est alors qu'il commença à être plus tactile.
Depuis notre premièr échange coquin, il n'avait qu'une envie: de voir et toucher ma grosse poitrine.
Il faut dire qu'avec mon 120E, je ne suis pas en reste de ce côté là.
Surtout, il avait envie de découvrir mes tétons fraîchement percé.
Il n'avait encore jamais rencontré de femmes avec des anneaux au bout des seins et se déléctait de pouvoir les découvrir et bien sûr les toucher.
C'est ainsi qu'un matin il m'ordonna de venir le rejoindre dans les vestiaires. Par chance, il n'y avait personne à ce moment-là.
Je pu alors lui dévoiler mes mamelles joliment ornés.
Il était comme un fou, il les a pris à pleines mains pour les malaxer, les claquer et jouer avec, comme un enfant qui découvre ses cadeaux de Noël.
La seule restriction que je lui imposai était de ne pas encore tirer sur les les piercings compte-tenu qu'ils n'étaient pas encore cicatrisés.
C'était divin! Rien que le souvenir de ce premier touché mammaire me donne la chair de poule!
Plus les jours passèrent, plus je me sentais chienne et dévouée. Je me sentais capable de toutes les folies pour lui, tant ses mots et ses caresses me ravivaient la flamme qui brûlait ma chatte au quotidien.
Chaque soir ou presque, tout dépendait s'il était disponible, il me lançait au défi. Son truc était l'anal. Malheureusement mon petit trou qui ne servait pas était bien serré. Il fallait donc que je m'entraîne à me le dilater comme une bonne pouffiasse de merde.
Au début, ce ne fut pas simple, voire même douloureux, mais au fil des jours je me surprenais moi-même.
Quand je rentrais chez moi, mouillée comme jamais grâce à ses insultes, mon plug s'enfonçait comme dans du beurre et je prenais un pied de dingue!
Puis à distance, il me dirigeait tout en continuant a m'insulter et en choisissant le moment où j'avais le droit de jouir.
Ce ne fut pas facile parfois tant j'avais envie de me faire crier mais je ne voulait pas le décevoir et j'obéissais sagement comme une bonne chienne.
Il m'imposait aussi de lui envoyer mes masturbations quotidiennes en photos et vidéos afin de s'assurer que j'étais bien en train de me branler.
Au début, je n'étais pas très à l'aise, mais rapidement je me suis laissé prendre au jeu, lui envoyant de belles vidéos cochonnes où je devais m'humilier et me dégrader.
Voilà comment au bout de deux semaines, j'étais devenue sa chose, son esclave, son jouet. Et j'eus alors la bonne surprise un matin d'être récompensée de mes services...
La suite au prochain numéro.
1 年 前
Il ne faut pas etre jalouse ! JE peux vous dire que certes cela attire, mais il faut pouvoir les porter... ca me fait mal des fois au dos. Surtout que je ne mets pas de soutif depuis 1an suite a l'injonction de mon Maitre.
Cela étant, je ne me vois pas en remettre !