Re-DUO DE COCU (suite)
Après cette excitante expérience, l'envie de recommencer le marquis et moi était une évidence . Il fallait néanmoins pimenter tout cela . Après de nombreux messages entre nous sur la question , il fut retenu que nos petites bites serviraient de raison à nos épouses pour nous cocufier avec de vrais mâles et de nous humilier en mêmes temps...Lors d'un repas bien arrosé avec Jocelyne et Alice , le marquis développa nos fantasmes de lopes cocues et c'est avec enthousiasme que nos chaudes femelles approuvèrent. Bien sur nous leur laissions le choix des partenaires , lieu et mise en scène avec la seule exigence que le marquis et moi assistions à tout cela , se qu'elles acceptèrent ravies.
L'idée était donc lancée , quelques semaines passèrent dû au fait des activités de chacuns mais je savais que nos épouses se contactaient par mail et s'étaient entrevues dans un bar.
Un mois passa et nous sommes invité avec Alice au domicile de nos amis en fin de cette belle matinée printanière . Pour l'occasion , Alice s'est vêtue léger d'un petit chemisier blanc et d'une jupe courte fleurie avec de petits escarpins fleuris aussi à talon . Nous arrivons à leur domicile , le marquis nous reçoit sur la terrasse et Jocelyne rapplique habillée d'une jupe mi-longue fleurie (le printemps ) fendue à mi-cuisse très sexy....Après les embrassades , Jocelyne demande à son mari et moi même de la suivre à l'intérieur et direction ,chambre d'ami ou elle nous demande de nous déshabiller complètement . Très intrigués , le marquis et moi obéissons et une fois à poil , le regard narquois et moqueur , Jocelyne sort d'une petite mallette , deux cages de chasteté en plastique transparent avec un petit cadenas... C'est pour vos petites nouilles et qu'elles le restent pour la journée . Joignant le geste à la parole , elle s'agenouille devant moi , me saisit le membre et avant qu'il enfle , l'enferme dans l'étui et verrouille l'engin avec le cadenas . Voilà me dit-elle moqueuse, c'est t'y pas mignon ? La zigounette de son mari subit le même sort et nous ressortons en terrasse nus et encagés ou Alice non surprise mais hilare , nous attend.
Messieurs , voilà le programme annonce Alice , Jocelyne et moi somment invitées au resto par Marc (le voisin) et Bernard son ami de bringues de longues dates , vous , vous restez ici . Il reste de quoi grignoter dans le frigo continue Jocelyne , vous êtes des grands garçons et bien sur , interdit de vous rhabiller , il fait chaud !
la cloche d'entrée sonne et de par l'allée ,je vois arrivé Marc suivit d'un homme plutôt trapu et carré cheveux courts et encore blondissant pour son âge , dans la cinquantaine comme nous tous . Je dois avouer que je suis assez gêné d'être à poil , encagé devant ces hommes mais eux font mine de nous ignorer et à ma grande surprise , Bernard s'approche de ma femme et l'embrasse sur la bouche en lui mettant une main au cul sans être inquiété de sa réaction . Ces deux là se sont déjà vu c'est une réalité ou on bien comploté....Les retrouvailles finies , les deux couples quittent la terrasse amusés , nous laissant pantois avec nos petites nouilles encagés .Tout de suite , mon compagnon prend les choses en main , nous allons boire l'apéro et casser la croûte en attendant tranquillement leur retour , me dit-il . Finalement,l'attente fut aussi des plus agréable , au soleil sur la terrasse nus comme des vers à déguster de bonnes parts de pizzas, un petit rosé pour pousser et d'un bon moment pour une petite micro-sieste. Les filles avaient bien assuré la première partie de cette journée et nous étions impatients de vivre la suite.
Vers les 15h.00 des discours nous sortent de notre torpeur et nous apercevons les couples qui remontent par l'allée dans notre direction .
Alors ; les p'tites bites , pas trop las de nous attendre , nous lance Jocelyne tenant Marc par la main suivi d'Alice et Bernard , j'espère que vous avez bien mangé car nous c'était super et avec Alice , nous nous devons de remercier nos compagnons de nous avoir offert ce bon moment gastronomique selon leurs désirs....Évidemment , le marquis et moi comprenons tout de suite ce que peuvent bien désirer ces deux beaux mâles.
Nous rentrons tous dans le grand salon et Bernard me fait signe de m'approcher de lui et me dit : ta femme m'a dit qu'avec ta petite nouille ,encagée de surcroît , il y a longtemps que tu ne l'a fait plus grimper aux rideaux , je te propose donc de te montrer comment sauter, faire jouir et inséminer une bonne femelle bien salope...Bon dommage , c'est la tienne et je me l'accapare sans ta permission et vais faire de toi un bon cocu , avec le regard amusé d'Alice...
De leur côté , Marc et Jocelyne en bon amants habitués s'embrassent goulûment et se tripotent sans retenue devant mon compagnon d'infortune qui à genou , mains dans le dos ,comme l'a exigé sa moitié , regarde la scène sans pouvoir se branler.
Bernard a pris les choses en mains ,il me demande de prendre la même position que l'autre cocu puis fait coucher mon épouse le buste en avant sur la grosse table massive du salon les bras en croix , son cul à bonne hauteur et les jambes écartées sur le sol en position idéale pour une bonne levrette . Sans ménagement il rabat la jupette à fleur sur le dos d'Alice et son beau postérieur apparaît dans une jolie culotte mauve en satin dentelée de blanc . A la vue de ce spectacle , mon sang ne fait qu'un tour et déjà je sens des picotements et chaleur à l'entre-jambe . Regarde ces beaux jambons cocu, me dit-il en palpant de haut en bas les cuisses ouvertes d'Alice , puis lui remonte les fesses par l'entre-jambe ce qui me permet d'apercevoir furtivement un peu de poil de sa chatte à travers l'étoffe humide de la culotte . Les mains dans le dos , j'ai vraiment envie de me tripoter le clito encagé mais je dois obéir à mon cocufieur...
Attrapant l'élastique de la culotte il descend celle-ci à mi-genoux , embrasse les joues roses des fesses puis décide d'enlever complètement le tissus , le faisant passer délicatement les escarpins à talons et lui demande d'écarter les jambes un maximum . Regarde ce beau abricot juteux cocu , tu aimerais bien y goûter ma salope , et bin non , c'est pour les vrais mâles comme moi , regarde bien ! Et là ,écartant largement les fesses de mon épouse il enfonce profondément sa tête dans l'intimité suave d'Alice et effectue des mouvements de haut en bas comme pour chercher de la profondeur et s'arrête pour reprendre sa respiration puis replonge comme envoûte par les senteurs... Ma femme pousse des petits cris et ses cuisses s'agitent comme prisent d'un tremblement.
Ayant eu sa ration de cyprine , Bernard se relève heureux la bouche un peu baveuse : C'est bête de ne pouvoir y goûter hein mon cocu ? je baisse les yeux de regret , mon pénis est vraiment très à l'étroit dans sa cage et cela devient un peu douloureux mais excitant aussi.
Bernard fait relever Alice face à lui et lui dit : A toi ma cochonne à me sucer , fais moi voir si Marc ne m'a pas menti à ton sujet...
Mon épouse s'agenouille devant lui, défait la ceinture du pantacourt puis les boutons de la braguette . L'habit tombe tout seul à ses pieds et apparaît des cuisses rondelettes mais musclées ,un slip moulant bleu clair sur des fesses rebondies et poutre apparente sur le devant. Alice semble impressionnée par cette vision mais elle aussi att**** l'élastique du slip le soulève un peu pour dégager le gland et libérer une belle tige un peu courbée sur la droite , épaisse , musclée et de taille très honorable . Le gland turgescent luit de pré-cum mais pas très longtemps , happé par une bouche gourmande puis léché de toutes ses faces , calotté puis décalotté par une main caressante . Bernard , la tête en arrière pousse des grognements rauques , surtout que l'autre main de la dame lui travaille les roustons agréablement. C'est au tour de Bernard de prendre la même pose sur la table . A genou derrière , la gourmande lui gobe les testicules l'un après l'autre puis remontant en lui écartant ses fesses musclées , elle s'attaque à grand coup de langue à la rondelle du mâle comme pour lui prouver sa soumission envers lui. Elle semble vraiment adorer ça , vu l'ardeur qu'elle y met , moi , qui n'est jamais connu ça de sa part , j'avoue là que ma fierté déjà bien entamée en prend un rude coup et que mon statut de lope-cocu prend tout son sens...
Une fois rassasié de leur préliminaire , Alice fini d'enlever sa jupe et assois ses fesses rebondies sur la table puis finit par se coucher sur le dos les jambes pendantes. Bernard me saisit par le cou et à genou me force à m'approcher de plus près de la table . "Faut pas que tu en perdes une miette mon cocu , tu vas voir que ta salope aime vraiment les gros morceau"
Ceci étant dit , il att**** les jambes d'Alice qu'il fait reposer sur chacune de ses épaules . A genou , j'ai vraiment la chatte de ma femme devant les yeux , putain le salaud , il l'a vraiment bien ouverte avec sa langue et la salope mouille comme une huître fraîche.
Le braquemart raide comme un poteau , Bernard approche avec deux doigts son gros gland devant l'antre moite et béant de la femelle et l'y pousse dedans dans un coup de rein modéré , ce qui fait pousser un petit cri de satisfaction à Alice . Sans problème le reste suit , magré la légère courbure , jusqu'à la garde des bourses et ma fois voilà une chatte bien remplie dans l'attente de se faire bien limer et inséminer comme toute bonne reproductrice , l'orgasme en point d'orgue .
"T'as vu mon cocu , prends de la graine , voilà comme on doit chevaucher une bonne jument , avec force ,vivacité et un bonne queue qui remplit bien " me lance Bernard un peu essoufflé et concentré sur la chose . " t'entends comme elle couine ? t'as jamais connu ça toi ? " le salaud , il a pas tout à fait tord , il y a longtemps que je ne l'a faisait plus quiner comme à nos débuts .Les choses s’accélèrent , le claquement du ventre du mâle sur le cul de la femelle deviennent de plus en plus rapides accompagnant les bruits de sucions de la fente dégoulinante et de la bite pénetreuse ; puis un gros râle grave sort de la bouche de l'homme et des va s’y ,va s’y de la femme , un dernier coup de rein puissant , un petit cri aigu de douleur et j'aperçois les spasmes des testicules du mâle qui déversent leur flot de semence dans la chatte de ma femme . Je n'en peut plus , je tripote la cage enfermant ma petite bite et quelques gouttes de sperme tombent sur le carrelage , l'effet est indescriptible je suis dans tous mes états ,pulsions sexuelles au maximum et frustrations incommensurables ,vivement que ça se termine....
Bernard s'est retiré de la chatte dégoulinante de sperme et monte à genou sur la table au niveau de la tête d'Alice et lui demande une fellation histoire de rien laisser perdre , ce qu'elle accepte avec plaisir me semble t'il , vu la tendresse et l'application qu'elle y met comme pour le remercier de ce moment torride .
"T'as vu cocu , un petit entretien du matos , ça sera peut-être toi la prochaine fois qui le fera , prends bien des notes ". Encore une fois il a pas tort , quoi de plus naturel que le cocu nettoie avec sa bouche la bite qui a honoré sa femme , voir même la chatte remplie du bon foutre du cocufieur.
C'est d'ailleurs ce que fait le marquis , la tête enfouie entre les cuisses de Jocelyne , il a l'air de se régaler sous les ricanements de Marc qui lui fesse le postérieur.
Les deux couples d'amants se rejoignent , la bite de Bernard encore un peu dure baisse du gland , les filles , du sopalins coincé dans l'entre-jambe ils discutent doucement puis Marc nous interpellent : " les cocus , nous allons chez moi pour nous doucher et finir la journée ensemble , bien sur vous restez là , Jocelyne va vous passer les clés de vos cages à clito pour que vous vous le tripotiez un peu....Bonne branle !" Jocelyne nous jette les clefs en rigolant " Bonne branle petites lopes " et les voilà quittant les lieux.
Bien sur le marquis et moi nous sommes bien branlé en se souvenant oralement du safari de nos salopes et déjà l'envie de recommencer nous titille et je pense que nos chères épouses n'y verront pas trop d’inconvénients
L'idée était donc lancée , quelques semaines passèrent dû au fait des activités de chacuns mais je savais que nos épouses se contactaient par mail et s'étaient entrevues dans un bar.
Un mois passa et nous sommes invité avec Alice au domicile de nos amis en fin de cette belle matinée printanière . Pour l'occasion , Alice s'est vêtue léger d'un petit chemisier blanc et d'une jupe courte fleurie avec de petits escarpins fleuris aussi à talon . Nous arrivons à leur domicile , le marquis nous reçoit sur la terrasse et Jocelyne rapplique habillée d'une jupe mi-longue fleurie (le printemps ) fendue à mi-cuisse très sexy....Après les embrassades , Jocelyne demande à son mari et moi même de la suivre à l'intérieur et direction ,chambre d'ami ou elle nous demande de nous déshabiller complètement . Très intrigués , le marquis et moi obéissons et une fois à poil , le regard narquois et moqueur , Jocelyne sort d'une petite mallette , deux cages de chasteté en plastique transparent avec un petit cadenas... C'est pour vos petites nouilles et qu'elles le restent pour la journée . Joignant le geste à la parole , elle s'agenouille devant moi , me saisit le membre et avant qu'il enfle , l'enferme dans l'étui et verrouille l'engin avec le cadenas . Voilà me dit-elle moqueuse, c'est t'y pas mignon ? La zigounette de son mari subit le même sort et nous ressortons en terrasse nus et encagés ou Alice non surprise mais hilare , nous attend.
Messieurs , voilà le programme annonce Alice , Jocelyne et moi somment invitées au resto par Marc (le voisin) et Bernard son ami de bringues de longues dates , vous , vous restez ici . Il reste de quoi grignoter dans le frigo continue Jocelyne , vous êtes des grands garçons et bien sur , interdit de vous rhabiller , il fait chaud !
la cloche d'entrée sonne et de par l'allée ,je vois arrivé Marc suivit d'un homme plutôt trapu et carré cheveux courts et encore blondissant pour son âge , dans la cinquantaine comme nous tous . Je dois avouer que je suis assez gêné d'être à poil , encagé devant ces hommes mais eux font mine de nous ignorer et à ma grande surprise , Bernard s'approche de ma femme et l'embrasse sur la bouche en lui mettant une main au cul sans être inquiété de sa réaction . Ces deux là se sont déjà vu c'est une réalité ou on bien comploté....Les retrouvailles finies , les deux couples quittent la terrasse amusés , nous laissant pantois avec nos petites nouilles encagés .Tout de suite , mon compagnon prend les choses en main , nous allons boire l'apéro et casser la croûte en attendant tranquillement leur retour , me dit-il . Finalement,l'attente fut aussi des plus agréable , au soleil sur la terrasse nus comme des vers à déguster de bonnes parts de pizzas, un petit rosé pour pousser et d'un bon moment pour une petite micro-sieste. Les filles avaient bien assuré la première partie de cette journée et nous étions impatients de vivre la suite.
Vers les 15h.00 des discours nous sortent de notre torpeur et nous apercevons les couples qui remontent par l'allée dans notre direction .
Alors ; les p'tites bites , pas trop las de nous attendre , nous lance Jocelyne tenant Marc par la main suivi d'Alice et Bernard , j'espère que vous avez bien mangé car nous c'était super et avec Alice , nous nous devons de remercier nos compagnons de nous avoir offert ce bon moment gastronomique selon leurs désirs....Évidemment , le marquis et moi comprenons tout de suite ce que peuvent bien désirer ces deux beaux mâles.
Nous rentrons tous dans le grand salon et Bernard me fait signe de m'approcher de lui et me dit : ta femme m'a dit qu'avec ta petite nouille ,encagée de surcroît , il y a longtemps que tu ne l'a fait plus grimper aux rideaux , je te propose donc de te montrer comment sauter, faire jouir et inséminer une bonne femelle bien salope...Bon dommage , c'est la tienne et je me l'accapare sans ta permission et vais faire de toi un bon cocu , avec le regard amusé d'Alice...
De leur côté , Marc et Jocelyne en bon amants habitués s'embrassent goulûment et se tripotent sans retenue devant mon compagnon d'infortune qui à genou , mains dans le dos ,comme l'a exigé sa moitié , regarde la scène sans pouvoir se branler.
Bernard a pris les choses en mains ,il me demande de prendre la même position que l'autre cocu puis fait coucher mon épouse le buste en avant sur la grosse table massive du salon les bras en croix , son cul à bonne hauteur et les jambes écartées sur le sol en position idéale pour une bonne levrette . Sans ménagement il rabat la jupette à fleur sur le dos d'Alice et son beau postérieur apparaît dans une jolie culotte mauve en satin dentelée de blanc . A la vue de ce spectacle , mon sang ne fait qu'un tour et déjà je sens des picotements et chaleur à l'entre-jambe . Regarde ces beaux jambons cocu, me dit-il en palpant de haut en bas les cuisses ouvertes d'Alice , puis lui remonte les fesses par l'entre-jambe ce qui me permet d'apercevoir furtivement un peu de poil de sa chatte à travers l'étoffe humide de la culotte . Les mains dans le dos , j'ai vraiment envie de me tripoter le clito encagé mais je dois obéir à mon cocufieur...
Attrapant l'élastique de la culotte il descend celle-ci à mi-genoux , embrasse les joues roses des fesses puis décide d'enlever complètement le tissus , le faisant passer délicatement les escarpins à talons et lui demande d'écarter les jambes un maximum . Regarde ce beau abricot juteux cocu , tu aimerais bien y goûter ma salope , et bin non , c'est pour les vrais mâles comme moi , regarde bien ! Et là ,écartant largement les fesses de mon épouse il enfonce profondément sa tête dans l'intimité suave d'Alice et effectue des mouvements de haut en bas comme pour chercher de la profondeur et s'arrête pour reprendre sa respiration puis replonge comme envoûte par les senteurs... Ma femme pousse des petits cris et ses cuisses s'agitent comme prisent d'un tremblement.
Ayant eu sa ration de cyprine , Bernard se relève heureux la bouche un peu baveuse : C'est bête de ne pouvoir y goûter hein mon cocu ? je baisse les yeux de regret , mon pénis est vraiment très à l'étroit dans sa cage et cela devient un peu douloureux mais excitant aussi.
Bernard fait relever Alice face à lui et lui dit : A toi ma cochonne à me sucer , fais moi voir si Marc ne m'a pas menti à ton sujet...
Mon épouse s'agenouille devant lui, défait la ceinture du pantacourt puis les boutons de la braguette . L'habit tombe tout seul à ses pieds et apparaît des cuisses rondelettes mais musclées ,un slip moulant bleu clair sur des fesses rebondies et poutre apparente sur le devant. Alice semble impressionnée par cette vision mais elle aussi att**** l'élastique du slip le soulève un peu pour dégager le gland et libérer une belle tige un peu courbée sur la droite , épaisse , musclée et de taille très honorable . Le gland turgescent luit de pré-cum mais pas très longtemps , happé par une bouche gourmande puis léché de toutes ses faces , calotté puis décalotté par une main caressante . Bernard , la tête en arrière pousse des grognements rauques , surtout que l'autre main de la dame lui travaille les roustons agréablement. C'est au tour de Bernard de prendre la même pose sur la table . A genou derrière , la gourmande lui gobe les testicules l'un après l'autre puis remontant en lui écartant ses fesses musclées , elle s'attaque à grand coup de langue à la rondelle du mâle comme pour lui prouver sa soumission envers lui. Elle semble vraiment adorer ça , vu l'ardeur qu'elle y met , moi , qui n'est jamais connu ça de sa part , j'avoue là que ma fierté déjà bien entamée en prend un rude coup et que mon statut de lope-cocu prend tout son sens...
Une fois rassasié de leur préliminaire , Alice fini d'enlever sa jupe et assois ses fesses rebondies sur la table puis finit par se coucher sur le dos les jambes pendantes. Bernard me saisit par le cou et à genou me force à m'approcher de plus près de la table . "Faut pas que tu en perdes une miette mon cocu , tu vas voir que ta salope aime vraiment les gros morceau"
Ceci étant dit , il att**** les jambes d'Alice qu'il fait reposer sur chacune de ses épaules . A genou , j'ai vraiment la chatte de ma femme devant les yeux , putain le salaud , il l'a vraiment bien ouverte avec sa langue et la salope mouille comme une huître fraîche.
Le braquemart raide comme un poteau , Bernard approche avec deux doigts son gros gland devant l'antre moite et béant de la femelle et l'y pousse dedans dans un coup de rein modéré , ce qui fait pousser un petit cri de satisfaction à Alice . Sans problème le reste suit , magré la légère courbure , jusqu'à la garde des bourses et ma fois voilà une chatte bien remplie dans l'attente de se faire bien limer et inséminer comme toute bonne reproductrice , l'orgasme en point d'orgue .
"T'as vu mon cocu , prends de la graine , voilà comme on doit chevaucher une bonne jument , avec force ,vivacité et un bonne queue qui remplit bien " me lance Bernard un peu essoufflé et concentré sur la chose . " t'entends comme elle couine ? t'as jamais connu ça toi ? " le salaud , il a pas tout à fait tord , il y a longtemps que je ne l'a faisait plus quiner comme à nos débuts .Les choses s’accélèrent , le claquement du ventre du mâle sur le cul de la femelle deviennent de plus en plus rapides accompagnant les bruits de sucions de la fente dégoulinante et de la bite pénetreuse ; puis un gros râle grave sort de la bouche de l'homme et des va s’y ,va s’y de la femme , un dernier coup de rein puissant , un petit cri aigu de douleur et j'aperçois les spasmes des testicules du mâle qui déversent leur flot de semence dans la chatte de ma femme . Je n'en peut plus , je tripote la cage enfermant ma petite bite et quelques gouttes de sperme tombent sur le carrelage , l'effet est indescriptible je suis dans tous mes états ,pulsions sexuelles au maximum et frustrations incommensurables ,vivement que ça se termine....
Bernard s'est retiré de la chatte dégoulinante de sperme et monte à genou sur la table au niveau de la tête d'Alice et lui demande une fellation histoire de rien laisser perdre , ce qu'elle accepte avec plaisir me semble t'il , vu la tendresse et l'application qu'elle y met comme pour le remercier de ce moment torride .
"T'as vu cocu , un petit entretien du matos , ça sera peut-être toi la prochaine fois qui le fera , prends bien des notes ". Encore une fois il a pas tort , quoi de plus naturel que le cocu nettoie avec sa bouche la bite qui a honoré sa femme , voir même la chatte remplie du bon foutre du cocufieur.
C'est d'ailleurs ce que fait le marquis , la tête enfouie entre les cuisses de Jocelyne , il a l'air de se régaler sous les ricanements de Marc qui lui fesse le postérieur.
Les deux couples d'amants se rejoignent , la bite de Bernard encore un peu dure baisse du gland , les filles , du sopalins coincé dans l'entre-jambe ils discutent doucement puis Marc nous interpellent : " les cocus , nous allons chez moi pour nous doucher et finir la journée ensemble , bien sur vous restez là , Jocelyne va vous passer les clés de vos cages à clito pour que vous vous le tripotiez un peu....Bonne branle !" Jocelyne nous jette les clefs en rigolant " Bonne branle petites lopes " et les voilà quittant les lieux.
Bien sur le marquis et moi nous sommes bien branlé en se souvenant oralement du safari de nos salopes et déjà l'envie de recommencer nous titille et je pense que nos chères épouses n'y verront pas trop d’inconvénients
2 年 前