Un dimanche après-midi 3
Il est devant moi, mon ami virtuel J.F. Entre vite, lui dis-je et puis tu es tout mouillé, viens te sécher. On s'examine mutuellement et il me sort de son blouson ce qu'il a apporté : une bouteille de whisky. Humm! Je sens qu'on va boire pas mal. Ca va nous donner du courage et nous désinhiber.
Je le remercie et je l'emmène dans ma salle de bains se sécher la tête car il a ramassé une bonne averse. Le bas de son survêt' est trempé également ainsi que ses chaussures. Il s'en excuse en me disant : " je n'allais quand même pas venir en auto pour faire 400 mètres... il s'est mis à tomber des cordes juste à ce moment-là ".
Je lui propose un pantalon de survêt' sec et des pantoufles tandis qu'il se frictionne la tête avec une serviette. J'observe qu'il ne porte pas de sous-vêtement, le coquin.
Je ramène J.F. dans mon séjour et le fais asseoir dans mon canapé tandis que je vais chercher des verres et des biscuits salés. Pas d'eau dans le whisky, me dit-il. Nous avons les mêmes goûts : whisky sec.
Je nous verse une bonne rasade d'alcool et j'attaque pendant que nous trinquons : "je suis très intimidé lui dis-je..; et moi donc ! me répond-il. Je poursuis : "je suis très curieux de te connaître, tu es tout à fait conforme aux photos que tu m'as envoyées, sois à l'aise comme si nous étions de vieux amis".
Je sens que J.F. se détend - est-ce déjà l'effet du whisky ? - il est assis à 20 cm de moi, sa cuisse presque contre ma cuisse. Il me répond : " moi aussi j'ai envie de te connaître, mieux qu'à travers nos conversations sur le net...je t'ai déjà raconté que je suis en manque de sexe depuis mon divorce et que je suis curieux de découvrir une expérience entre hommes. Es-tu toujours d'accord pour ça ?"
Pour un timide il se lance illico dans le vif du sujet, mon cher J.F. ! ! Tant mieux après tout !
"D'accord pour ça ? lui dis-je. Plus que jamais !" Et cet encouragement me porte à poser une main sur sa cuisse gauche. Je le sens tressaillir.
(à suivre)
Je le remercie et je l'emmène dans ma salle de bains se sécher la tête car il a ramassé une bonne averse. Le bas de son survêt' est trempé également ainsi que ses chaussures. Il s'en excuse en me disant : " je n'allais quand même pas venir en auto pour faire 400 mètres... il s'est mis à tomber des cordes juste à ce moment-là ".
Je lui propose un pantalon de survêt' sec et des pantoufles tandis qu'il se frictionne la tête avec une serviette. J'observe qu'il ne porte pas de sous-vêtement, le coquin.
Je ramène J.F. dans mon séjour et le fais asseoir dans mon canapé tandis que je vais chercher des verres et des biscuits salés. Pas d'eau dans le whisky, me dit-il. Nous avons les mêmes goûts : whisky sec.
Je nous verse une bonne rasade d'alcool et j'attaque pendant que nous trinquons : "je suis très intimidé lui dis-je..; et moi donc ! me répond-il. Je poursuis : "je suis très curieux de te connaître, tu es tout à fait conforme aux photos que tu m'as envoyées, sois à l'aise comme si nous étions de vieux amis".
Je sens que J.F. se détend - est-ce déjà l'effet du whisky ? - il est assis à 20 cm de moi, sa cuisse presque contre ma cuisse. Il me répond : " moi aussi j'ai envie de te connaître, mieux qu'à travers nos conversations sur le net...je t'ai déjà raconté que je suis en manque de sexe depuis mon divorce et que je suis curieux de découvrir une expérience entre hommes. Es-tu toujours d'accord pour ça ?"
Pour un timide il se lance illico dans le vif du sujet, mon cher J.F. ! ! Tant mieux après tout !
"D'accord pour ça ? lui dis-je. Plus que jamais !" Et cet encouragement me porte à poser une main sur sa cuisse gauche. Je le sens tressaillir.
(à suivre)
2 年 前