Décharge faciale - Une gratification absolue
Je vais parler d'une appréciation personnelle qui est relative à chacune de nous (les femmes).
En effet on est pas toutes humanimes à apprécier une décharge faciale.
Pour certaines ce n'est qu'une dégradation de la féminité pour d'autres une gratification ultime de la jouissance, voyez donc se sens du relatif peut passer d'une extrême à l'autre.
Je vais parler de mon cas ou j'ai passé le rubicon d'un camp à l'autre :
Jusqu'à l'âge de 32 ans dans la position de celles dont ce n'était pas "leur truc" jusqu'à apprécier pleinement.
Quel a été le "déclencheur" ?
Tout simplement une expérience ou je me suis laissé aller dans ce que certains nomment "le stupre".
Moi déjà à l'époque mère de famille d'un premier fils et enceinte de 6 mois du second, "rangée", "conventionelle" mais de plus en plus dominée par une libido puissante, je me suis laissé tenté par la débauche de tromper le père de mes enfants avec deux autres hommes.
Une montée en puissance orgasmique chez moi s'est située dans ma première double pénétration anale + vaginale.
Le ventre alors bien rond, les seins très lourds et maintenue entre 4 mains viriles, la seule issue de cette saillie ne pouvait se finir que par une décharge à la fois dans mon cul et mon visage...
Cette semence qui quelques mois avant avait donné vie dans mon ventre, cette fois allait crépir mon visage.
Je n'ai pas été déçue moi qui à la fois n'attendais que cette finalité et la redoutais par rapport à mes préjugés...
Quelques jets puissants, chauds et lourds sur mon visage et dans l'abandon total au stupre.
Le déclencheur s'est trouvé là à apprécier la jouissance de mes partenaires dans leur regard et leurs râles profonds de soulagement accompagnée d'un "prends ça salope" ...
Pratiquement en 20 ans après à 53 ans, la sensation reste toujours la même..
La prochaine ? Sûrement à la prochaine fête des mères !
Bizes
(Mumu)
En effet on est pas toutes humanimes à apprécier une décharge faciale.
Pour certaines ce n'est qu'une dégradation de la féminité pour d'autres une gratification ultime de la jouissance, voyez donc se sens du relatif peut passer d'une extrême à l'autre.
Je vais parler de mon cas ou j'ai passé le rubicon d'un camp à l'autre :
Jusqu'à l'âge de 32 ans dans la position de celles dont ce n'était pas "leur truc" jusqu'à apprécier pleinement.
Quel a été le "déclencheur" ?
Tout simplement une expérience ou je me suis laissé aller dans ce que certains nomment "le stupre".
Moi déjà à l'époque mère de famille d'un premier fils et enceinte de 6 mois du second, "rangée", "conventionelle" mais de plus en plus dominée par une libido puissante, je me suis laissé tenté par la débauche de tromper le père de mes enfants avec deux autres hommes.
Une montée en puissance orgasmique chez moi s'est située dans ma première double pénétration anale + vaginale.
Le ventre alors bien rond, les seins très lourds et maintenue entre 4 mains viriles, la seule issue de cette saillie ne pouvait se finir que par une décharge à la fois dans mon cul et mon visage...
Cette semence qui quelques mois avant avait donné vie dans mon ventre, cette fois allait crépir mon visage.
Je n'ai pas été déçue moi qui à la fois n'attendais que cette finalité et la redoutais par rapport à mes préjugés...
Quelques jets puissants, chauds et lourds sur mon visage et dans l'abandon total au stupre.
Le déclencheur s'est trouvé là à apprécier la jouissance de mes partenaires dans leur regard et leurs râles profonds de soulagement accompagnée d'un "prends ça salope" ...
Pratiquement en 20 ans après à 53 ans, la sensation reste toujours la même..
La prochaine ? Sûrement à la prochaine fête des mères !
Bizes
(Mumu)
2 年 前
