L'amant de ma femme (suite)
Je regarde ma femme sortir de la douche. Elle est rentrée 10 minutes après moi et s'est précipitée dans la salle de bains en disant :
Oulala, j'ai bien transpiré à la gym, je vais me laver !
Je sais qu'elle s'est bien dépensée la garce. Mais c'est avec un vieux voisin à 200m de la maison !
Deux jours plus tard, je profite d'un moment de libre pour aller taper à la porte de l'amant de Véronique. Il m'ouvre, en peignoir, et me reconnaît :
Ah bonjour ! Comment ça va ?
Je le regarde, il n'a pas l'air étonné de me voir. Je distingue une touffe de poils gris qui dépasse de l'échancrure de son peignoir.
- Je m'appelle Fabrice, je suis le mari cocu !
- Oui, je sais, je vous ai vu avec votre femme à la plage... Et avant-hier, vous faisiez le voyeur dans mon jardin !
Je reste interloqué par son calme.
- je ne m'attendais pas à ce spectacle.
- c'est que vous n'êtes pas très observateur. Votre femme me draguait depuis quelques temps.
- Ah oui ? Où ça ?
- Sur la plage ou au marché du village, elle me fixait avec son beau sourire. Alors on a commencé à discuter. Et puis, je l'ai invité à boire un verre.
- Je vois ! Mais ce n'est pas un verre qu'elle a bu avant-hier !
Il sourit et me fait signe d'entrer.
- Je m'appelle Paul, je vous offre un verre ?
Il tend le bras vers le salon pour m'inviter, et son peignoir s'entrouvre. Son ventre poilu et son sexe plissé se découvrent. Mes yeux restent fixés un instant sur ce corps usé mais viril. Je sens une onde de chaleur parcourir mon bas-ventre.
Il referme la porte et pose la main sur son sexe :
- J'ai l'impression que tu as les mêmes goûts que Véronique !
Il décalote son gland en me fixant du regard. Il lâche son membre qui se redresse légèrement :
- Suce-moi !
J'hésite. Il pose ses mains sur mes épaules et me force à m'agenouiller. Je ne résiste pas, excité par la situation. Je prends ses couilles au creux d'une main et sa queue dans l'autre. Je sens les veines gonfler sous ma main, et son membre double de volume.
-Allez, suce-moi comme ta femme, je sais que tu en as envie depuis avant-hier.
Il a raison, je n'ai pas cessé d'y penser depuis 2 jours. Je suce son gland déjà humide puis je me mets à le sucer de plus en plus fort. Il commence à onduler du bassin pour s'enfoncer plus profondément dans ma bouche. Mon visage se perd dans les poils de son ventre, pendant qu'il baise ma bouche de plus en plus vite.
Il se met à grogner et lâche un premier jet de sperme, puis un deuxième. Je décide de tout avaler. Je reçois 2 autres giclées épaisses. Je déglutis et me recule. Sa queue se recroqueville sous son ventre. Il me regarde, son sperme au bord de mes lèvres :
- Je crois que j'ai bien fait de déménager. Déshabille-toi !
Oulala, j'ai bien transpiré à la gym, je vais me laver !
Je sais qu'elle s'est bien dépensée la garce. Mais c'est avec un vieux voisin à 200m de la maison !
Deux jours plus tard, je profite d'un moment de libre pour aller taper à la porte de l'amant de Véronique. Il m'ouvre, en peignoir, et me reconnaît :
Ah bonjour ! Comment ça va ?
Je le regarde, il n'a pas l'air étonné de me voir. Je distingue une touffe de poils gris qui dépasse de l'échancrure de son peignoir.
- Je m'appelle Fabrice, je suis le mari cocu !
- Oui, je sais, je vous ai vu avec votre femme à la plage... Et avant-hier, vous faisiez le voyeur dans mon jardin !
Je reste interloqué par son calme.
- je ne m'attendais pas à ce spectacle.
- c'est que vous n'êtes pas très observateur. Votre femme me draguait depuis quelques temps.
- Ah oui ? Où ça ?
- Sur la plage ou au marché du village, elle me fixait avec son beau sourire. Alors on a commencé à discuter. Et puis, je l'ai invité à boire un verre.
- Je vois ! Mais ce n'est pas un verre qu'elle a bu avant-hier !
Il sourit et me fait signe d'entrer.
- Je m'appelle Paul, je vous offre un verre ?
Il tend le bras vers le salon pour m'inviter, et son peignoir s'entrouvre. Son ventre poilu et son sexe plissé se découvrent. Mes yeux restent fixés un instant sur ce corps usé mais viril. Je sens une onde de chaleur parcourir mon bas-ventre.
Il referme la porte et pose la main sur son sexe :
- J'ai l'impression que tu as les mêmes goûts que Véronique !
Il décalote son gland en me fixant du regard. Il lâche son membre qui se redresse légèrement :
- Suce-moi !
J'hésite. Il pose ses mains sur mes épaules et me force à m'agenouiller. Je ne résiste pas, excité par la situation. Je prends ses couilles au creux d'une main et sa queue dans l'autre. Je sens les veines gonfler sous ma main, et son membre double de volume.
-Allez, suce-moi comme ta femme, je sais que tu en as envie depuis avant-hier.
Il a raison, je n'ai pas cessé d'y penser depuis 2 jours. Je suce son gland déjà humide puis je me mets à le sucer de plus en plus fort. Il commence à onduler du bassin pour s'enfoncer plus profondément dans ma bouche. Mon visage se perd dans les poils de son ventre, pendant qu'il baise ma bouche de plus en plus vite.
Il se met à grogner et lâche un premier jet de sperme, puis un deuxième. Je décide de tout avaler. Je reçois 2 autres giclées épaisses. Je déglutis et me recule. Sa queue se recroqueville sous son ventre. Il me regarde, son sperme au bord de mes lèvres :
- Je crois que j'ai bien fait de déménager. Déshabille-toi !
2 年 前