Rosie Toujours Une Pute
Partie 1 : Rosie Pute
Le mec me donne rencart à l’ancienne gare du côté des ateliers. Je l’ai rencontré dans un bar un soir et il avait envie de baiser, j’avais dit ok. J’arrive et passe à côté des wagons laissés à l’abandon certains sont tagués, un coup de sifflet et une tête qui dépasse de la porte d’un long wagon de bois.
J’approche il est la. « Monte ». Je grimpe, il n’est pas seul, deux mecs en teeshirt, musclés, tatouages sur les bras.
« C’est quoi ? » je demande. « Des potes en galère, ils veulent te baiser aussi ». Déjà des sexes sont sortis.
Je suce, ils sont assez violents et j’avale durement leurs bites. L’un des mecs arrache mes fringues et veux m’enculer je me laisse faire. Sans protester, bien sur, j’ai tellement envie de me faire baiser.
Sur le sol froid et crade du wagon, nu, je subi les trois pénétrations. Chacun leur tour ils défoncent mon anus sans capote ni lubrifiant, juste des crachats. Et jouissent sur moi pour l’un et dans mon cul pour les deux autres. Je dois encore les sucer, avaler le reste de jus.
Puis l’un des mecs veut que je garde la bouche ouverte et urine dedans. Je suis tenu par les deux autres qui rigolent. Je tousse, mais avale cette pisse chaude avec avidité.
On me pousse en avant et couché sur le sol, une queue à nouveau dure me pénètre, je réalise que ce n’est pas une bite mais un manche d’outil.
Mes jambes bien tenues écartées par ses potes, l’homme enfonce par petits à coups ce mandrin de bois. Je gémi en le sentant parfois taper au fond de mon ventre. Puis laissant le manche toujours en moi, ils s’en vont.
En partant ils disent : « Salut la pute on t’as bien baisé ». Voila le risque de draguer le soir dans un bar.
Partie 2 Rosie Soumise
De l’âge de dix huit ans à presque vingt et un, j’ai accepté d’être sa chose sa soumise offerte à ses fantasmes d’homme de la soixantaine. Je le suivais, le soir dans des tenues toujours légères.
Pourtant, j’avais rien du physique de minet, assez grand déjà, un peu musclé surtout des cuisses, la peau matte, bras et jambes poilus et un peu de barbe au menton.
Mais me voir juste avec un petit short court serré aux cuisses, parfois décousu, dévoilant bien mon absence de slip devait en exciter plus d’un.
Les mecs chez qui il me trainait ne s'intéressaient à moi que pour se faire sucer, ou prendre le cul d’un garçon, à l’air de mâle viril qu’ils baisaient comme un esclave soumis.
Parfois je devais vider les couilles de travailleurs émigrés dans des locaux douteux et à l’hygiène douteuse. Bien souvent sans capote. Je préférais sans, bien sur, parce que j’aimais sentir le sperme inonder ma bouche.
J’aimais me sentir diriger, obéir, être à eux. Ils m’enculaient et partaient sans un mot, j’étais moins qu’une pute, elles étaient payées.
Mon maitre me touchait rarement, par contre son chauffeur et homme à tout faire, un colosse noir monté très très gros et long lui m’utilisait presque tout les soirs. J’en ai avalé du sperme, j’en ai pris dans le cul.
Et parfois, impuissant, pris dans l’action, j’avalais de l’urine ou le mec pissait en moi.
Parfois je devais regarder l’homme enculer un mec puis je devais lécher le jus qui coulait de son cul.
Parfois à la limite de vomir, mais j’acceptais et oui j’aimais ça. Nu à genou entre les cuisses du jeune noir à lécher son cul sous le regard excité du mec, souvent un notable, qui venait de l’enculer et de jouir dans son cul.
Voila avec le recul je ne regrette rien sans compter l’assurance que ça m’a donné pour baiser ensuite avec les mecs qui me plaisaient.
Partie 3 Plan Nature
La petite voiture s’arrête à côté de moi qui, pouce levé, suis resté immobile stoïque sous cette averse estivale.
« Montes, tu vas ou ? ». « Au village du haut ». « À pieds t’en est loin, dit donc, je vais t’y amener ». « Merci ».
Il faut parler un peut fort la pluie est torrentielle. « Par curiosité tu fais quoi sur la route ? ». « J’étais censé prendre le bus et je l’ai raté ». « Ha ok ».
Il regarde ma tenue qui comme souvent l’été se compose d’un short noir très court sans slip et d’un teeshirt.
« T’es pas bien couvert pour ce temps ». « Non ». « Je dois avoir de quoi te sécher derrière sur le siège prends le sac ». Je me retourne péniblement, l’auto n’est pas large et je récupère le sac.
Dedans des fringues de sports et deux serviettes de bain. « Sèche toi enlève ton teeshirt ». J’obéis.
« T’es musclé, t’as quel âge ? ». « Dix huit bientôt dix neuf ». « Tu fais du sport ? ». « Du vélo, pas mal de vélo ».
« Oui tu as de belles jambes ». « Merci ». « Tu veux pas changer de short ? Il y en a un presque neuf dans le sac ». « Heu ici ? ».
« Pourquoi ? Des mecs en slips j’ai déjà vu ». « C’est pas ça ». J’écarte un peu mon short, il regarde. « Ha ok t’en as pas, bah ce n’est pas grave des sexes j’en ai vu aussi ».
Je me décide à l’enlever et nu, je n’ai pas encore mis le teeshirt je cherche le short. « Oui t’es beau mec et pas mal monté ». En cachant d’une main mon début d’érection je réponds un merci timide.
« Non cache pas cette belle queue que tu as ». J’enlève la main. « C’est moi qui te fais bander ». « Oui ».
Il ralenti et pose une main chaude sur mon genou, pendant que j’essaye de mettre le short. « Non reste nu un peu ». J’obéis et laisse tomber le short à mes pieds. « T’es pas farouche toi, t’as déjà été avec des hommes non ? ». « Oui ». « Ça te dirais un petit moment avec moi ? » « Oui ».
Il se gare à côté d’une petite cabane de pierre sans porte au bord d’un chemin de vigne.
Il descend le dossier de mon siège et lentement me caresse, lèche mes boules et ma queue très dure maintenant, puis me suce. Je passe mes mains sur son crane dégarni, j’aime sentir sa bouche sur mon gland.
Il se relève et demande : « Et toi tu suces ? ». « Oui ». Il baisse son dossier et ouvre sa braguette, un beau sexe jailli long et dur. Je le suce, ses mains caressent mon dos et descendent vers mes fesses.
J’ai la bite du mec dans la gorge quand il me dit : « Tu suces bien, montre moi ton cul ».
Je me redresse et me mets à genou sur le siège bien allongé sur le dossier presque à plat, il écarte mes fesses et me lèche l’anus enfonçant par moment un doigt humide. Je gémi doucement.
« Tu as envie que je te prenne ? Mon chéri ». « Oui j’ai envie, putain oui ». « Oui je le veux ».
La pluie a cessée il se redresse et sort de l’auto, passe de mon côté et moi à quatre pattes sur le siège et lui dans l’ouverture de la portière il m’encule à fond doucement au début puis plus vite et fort, plus profond, il tire sur mes jambes pour me faire reculer vers lui, pour bien m’empaler sur sa verge dure et épaisse.
« Je vais jouir » dit-il. « Reste en moi, inonde moi le cul ». « T’es sur ? ». « Oui ».
Et avec des grandes secousses il se vide dans mon cul.
La pluie repart de plus belle cette fois, et trempé, il remonte dans la voiture. Il enlève sa chemise et reste torse nu. Il me sourit, se penche vers moi, et demande : « Branle-toi ».
J’obéis, il me caresse le corps, je jouis sur mon ventre. Il lèche le sperme avec douceur.
« Tu embrasses ? ». Je me penche vers lui et nos langues se mélangent.
Et il m’a ramené au village. Je ne l’ai plus revu, dommage.
Partie 4 Rosie Copine
Je suis chez un copain dont les parents sont partis pour quelques jours, des affaires de famille à régler et ça risquait d’être pour pas mal de temps. Il ne voulait pas rester seul avec son demi-frère de notre âge, handicapé, dont il avait l’habitude de s’occuper.
La maison, vaste, avec piscine et un grand jardin avec une belle serre, le secteur de son demi-frère.
Xavier, peau très claire, rouquin, fils d’un premier mariage, avait été l’une des victimes d’un accident de la route le clouant sur un fauteuil roulant. Assez musclé, il était beau mec.
Pierrot, mon pote, brun cheveux frisés légèrement typé métis rappelait ses origines paternelle réunionnaise, musclé très sportif. « Sympa Ric d’être la, je devais être seul encore un moment ».
« Et ton frère ? ». « Lui, il râle tout le temps quand je suis seul avec lui. Il lui faudrait une nana je te jure ».
« Tant que ça ? Il peut au moins ? ». « Oui ce ne sont que les jambes qui marchent pas et je peux te le dire, il en profite pour me demander de le branler ». « Non ? ». « Si ». « Il peut pas ? ».
« C’est le seul moyen pour qu’il bande et ça l’obsède, il me réveille parfois la nuit, et ce n’est pas le pire, il m’a fait une crise un soir il voulait que…. ». « Que quoi ? ». « Que je le suce ».
Cette remarque éveille en moi un intérêt, j’ose. « Mais il est homo ? ». « Non, enfin j’en sais rien ».
« Il est bien monté ? ». « Ouais en plus ouais ». « C’est pour ça que tu voulais que je vienne ? ».
« Ben, pas que, mais toi, les mecs, je peux te payer si tu veux ». « N’importe quoi, mais de quoi ça vient ces envies ».
« Le kiné qui s’occupait de lui, a été surpris à poil à côté de lui, mes parents l’on viré, je crois qu’ils baisaient ensemble ».
« Il est ou la ? ». « Dans la serre il s’occupe de ses plantes, viens on va le voir, mais change toi avant ». « Pourquoi ? ». « Si t’y vas comme ça il va râler que j’amène un inconnu dans son antre, habille toi plus relax ». « Un short, un teeshirt ? ». « Oui voila ». « J’ai que celui-ci, très court et un marcel ». « Nickel ».
« Dit donc tu veux lui amener une pute ? ». « Désolé laisse tomber c’est nul ».
« Non ok, je voudrais pas que tu sois obligé de le sucer ». « En plus on c’est croisés ce matin à mon arrivée, ça devrait le faire, si tu veux j’y vais seul ». « Toi tu es chaud, maintenant ? ». « Oui ».
Donc petit short, sans slip, mon teeshirt tombant des épaules et ne cachant rien j’entre dans la serre.
« Xavier ? Salut c’est Ric ». « Salut, je te connais on c’est déjà croisés ». « Oui ». « Et Pierrot il est pas avec toi ? ». « Non il prépare le barbecue pour tout à l’heure ». « Ok ». « T’as l’air d’aller bien ».
« Oui ça va, à part mes pattes, mais je muscle mes bras à force ». « Oui t’es pas mal ». « Merci ».
« Ric tu restes la cette semaine ? ». « Oui, pourquoi ça t’embête ? ». « Non, mais t’as pas une copine ? ».
« Non, ni un copain si tu veux tout savoir ». Un sourire se dessine sur son visage criblé de taches de rousseur, puis il s’assombrit. « Moi non plus, qui voudrait d’un rouquin à roulette ? ». « T’es beau mec ». « Toi aussi ».
« Merci ». « Accompagne moi jusqu’à ma chambre, je vais m’habiller plus léger, je suis trempé de sueur en plus ». On traverse un long couloir et on entre dans une grande chambre avec sa salle de bain équipée.
Je m’assieds sur le lit, lui trifouille dans une armoire. Il enlève son teeshirt, oui il est pas mal, et va dans la salle de bain. Je propose mon aide s’il veut.
Il m’appelle : « Viens ». J’entre, il est en slip et est assis dans le bac à douche. « Aide-moi à l’enlever ». L’eau coule un peu de la pomme de douche. « Attends j’enlève mon teeshirt ». Il me dit : « Enlève tout tu vas te tremper ». Nu devant lui je me penche, mes mains le frôlent.
Je l’aide, il s’appuie sur moi et j’enlève son slip. Je me retrouve à genou devant lui pour passer le slip à ses pieds, le nez pas très loin d’un sexe effectivement excitant.
Il me fixe, comme avec un regard implorant, sa queue se dresse, l’eau nous arrose un peu, il se penche en arrière autant qu’il peut et coupe l’eau. Je pose ma main sur sa cuisse, me penche et son sexe frôle mes lèvres. D’une main il se branle en silence.
Je le suce doucement, il souffle de plus en plus, pas de doute ça fonctionne. Au bout d’un moment un jet inonde ma bouche, j’avale puis me relève. Cette fois c’est mon sexe qui est au niveau de sa bouche. Il me suce et je jouis dans sa bouche.
On se lave et on se rhabille. On rejoint Pierrot qui ne pose aucune question, ne sachant que trop ce qui a pu se passer vu l’air guilleret de Xavier.
J’ai sucé Xavier plusieurs fois pendant la semaine. Pierrot semblait me faire un peu la tête vu le temps que je passais avec Xavier.
Un soir j’ai voulu parler à Pierrot, je suis entré dans sa chambre, on a un peu discuté et je me suis glissé dans son lit. Et on n’a pas trop discuté, non, on a baisés.
Partie 5 Rosie Baise a la Campagne
Je pose mon vélo contre un gros chêne, je l’attache pas, qui prendrais ce truc, et je m’enfonce dans le sentier.
Je croise des mecs de tous âges, certains habillés, d’autre en slip, ou nus.
Un grand type en pleine discussion, avec un petit gros s’arrête de parler et me matte, je leur souri et continu mon chemin, ils me suivent.
Je me laisse ratt****r et me recule un peu sous les branches épaisses d’un chêne surement centenaire.
Le grand, en silence, s’approche de moi et me caresse le ventre en soulevant mon teeshirt. Il descend sa main sur mon entrejambe en se touchant le sexe avec son autre main. Je le caresse aussi. Je sens qu’il bande.
Il défait son short qui glisse au sol et fait jaillir une belle queue puissante et déjà raide. Je me penche et lèche ce sexe tentant. L’autre, passe derrière moi, caresse mes fesses, mon dos, puis baisse doucement mon short et enlève mon petit slip. Puis, à genou, il lèche mon anus, son nez bien coincé entre mes fesses.
J’aime, je suis nu, entre eux, sans un mot. De coups de langue en coups de langue je sens des doigts experts pénétrer mon intimité. J’écarte au mieux mes jambes pour laisser passer les quatre doigts du mec.
L’autre tient ma tête et par de petits coups de rein enfonce sa queue dans ma gorge, me faisant toussoter et baver. La main en moi, bien lubrifiée, gagne du terrain et s’enfonce mieux. Ses doigts en cône, il me pénètre bien et je sens le pouce frotter contre mes parois.
Le grand se dégage, il me sourit d’un sourire qui demande plus et me retourne doucement laissant le petit gros à genou la main encore en l’air. Puis la bite gonflée et dure du grand me pénètre, l’autre toujours à genou me suce en avalant bien ma queue.
Le grand me défonce l’anus, je me tiens au petit gros, mes mains sur ses épaules épaisses.
« Je vais te remplir le cul, ma salope » dit enfin le grand avant de jouir. Il jouit, se retire un peu puis continu à me limer. Il se retire et le petit gros passe à nouveau entre mes jambes et lèche bien mon cul suintant de foutre. Je me branle un peu et je jouis aussi.
Puis les deux mecs partent, toujours en silence, me laissant la, debout, ma queue en main pleine de sperme. Je remets le short et regagne mon vélo. Deux mecs baisent juste à côté, j’attends qu’ils aient fini pour le récupérer. Un mec de mon âge, me propose un plan. Il voudrait bien se faire sucer. Je le suis dans les fourrés et le vide goulument, après qu’il se soit bien enfoncé en moi.
Puis, enfin satisfait, je rentre, pédalant avec un peu mal au cul et assis sur la selle en sentant l’humidité de mon cul suintant de jus qui a trempé mon short.
Partie 6 Rosie Baise dans la Cave
À quatre patte dans la cave de cet immeuble, nu, je suis à la merci d’un jeune beur et de son pote plus âgé à la peau noire. Les deux mecs sont debout devant moi, leurs sexes tendus comme une offrande a ma bouche. « Tourne-toi ».
J’obéis, des doigts me triturent l’anus puis une queue me pénètre. Je suis nu, le cul offert, soumis à ces mecs chauds et prêt à tout accepter pour les satisfaire.
Ils m’enculent à tour de rôle, me frappant les fesses et le dos en me traitant de salope.
Parfois ils me crachent dessus ou sur le visage avant d’enfoncer leur verge dure dans ma bouche.
Il fait sombre et froid, la chaine que j’ai au cou et qui m’attache au mur sale me serre, elle est froide. Ils tirent dessus, m’obligeant à rester à genou ou à quatre pattes. Mon cul défoncé suinte de sperme et de pisse. L’un des mecs à uriné entre mes fesses et l’autre a voulu pisser en moi. J’ai aimé recevoir sa pisse dans la bouche.
Je suce le sexe crade du noir pendant que l’autre me lime le cul. Ils ont déjà joui plusieurs fois, mais restent dur. Ça dure des heures.
J’ai beaucoup de mal à marcher quand je sors de cette cave.
Le mec me donne rencart à l’ancienne gare du côté des ateliers. Je l’ai rencontré dans un bar un soir et il avait envie de baiser, j’avais dit ok. J’arrive et passe à côté des wagons laissés à l’abandon certains sont tagués, un coup de sifflet et une tête qui dépasse de la porte d’un long wagon de bois.
J’approche il est la. « Monte ». Je grimpe, il n’est pas seul, deux mecs en teeshirt, musclés, tatouages sur les bras.
« C’est quoi ? » je demande. « Des potes en galère, ils veulent te baiser aussi ». Déjà des sexes sont sortis.
Je suce, ils sont assez violents et j’avale durement leurs bites. L’un des mecs arrache mes fringues et veux m’enculer je me laisse faire. Sans protester, bien sur, j’ai tellement envie de me faire baiser.
Sur le sol froid et crade du wagon, nu, je subi les trois pénétrations. Chacun leur tour ils défoncent mon anus sans capote ni lubrifiant, juste des crachats. Et jouissent sur moi pour l’un et dans mon cul pour les deux autres. Je dois encore les sucer, avaler le reste de jus.
Puis l’un des mecs veut que je garde la bouche ouverte et urine dedans. Je suis tenu par les deux autres qui rigolent. Je tousse, mais avale cette pisse chaude avec avidité.
On me pousse en avant et couché sur le sol, une queue à nouveau dure me pénètre, je réalise que ce n’est pas une bite mais un manche d’outil.
Mes jambes bien tenues écartées par ses potes, l’homme enfonce par petits à coups ce mandrin de bois. Je gémi en le sentant parfois taper au fond de mon ventre. Puis laissant le manche toujours en moi, ils s’en vont.
En partant ils disent : « Salut la pute on t’as bien baisé ». Voila le risque de draguer le soir dans un bar.
Partie 2 Rosie Soumise
De l’âge de dix huit ans à presque vingt et un, j’ai accepté d’être sa chose sa soumise offerte à ses fantasmes d’homme de la soixantaine. Je le suivais, le soir dans des tenues toujours légères.
Pourtant, j’avais rien du physique de minet, assez grand déjà, un peu musclé surtout des cuisses, la peau matte, bras et jambes poilus et un peu de barbe au menton.
Mais me voir juste avec un petit short court serré aux cuisses, parfois décousu, dévoilant bien mon absence de slip devait en exciter plus d’un.
Les mecs chez qui il me trainait ne s'intéressaient à moi que pour se faire sucer, ou prendre le cul d’un garçon, à l’air de mâle viril qu’ils baisaient comme un esclave soumis.
Parfois je devais vider les couilles de travailleurs émigrés dans des locaux douteux et à l’hygiène douteuse. Bien souvent sans capote. Je préférais sans, bien sur, parce que j’aimais sentir le sperme inonder ma bouche.
J’aimais me sentir diriger, obéir, être à eux. Ils m’enculaient et partaient sans un mot, j’étais moins qu’une pute, elles étaient payées.
Mon maitre me touchait rarement, par contre son chauffeur et homme à tout faire, un colosse noir monté très très gros et long lui m’utilisait presque tout les soirs. J’en ai avalé du sperme, j’en ai pris dans le cul.
Et parfois, impuissant, pris dans l’action, j’avalais de l’urine ou le mec pissait en moi.
Parfois je devais regarder l’homme enculer un mec puis je devais lécher le jus qui coulait de son cul.
Parfois à la limite de vomir, mais j’acceptais et oui j’aimais ça. Nu à genou entre les cuisses du jeune noir à lécher son cul sous le regard excité du mec, souvent un notable, qui venait de l’enculer et de jouir dans son cul.
Voila avec le recul je ne regrette rien sans compter l’assurance que ça m’a donné pour baiser ensuite avec les mecs qui me plaisaient.
Partie 3 Plan Nature
La petite voiture s’arrête à côté de moi qui, pouce levé, suis resté immobile stoïque sous cette averse estivale.
« Montes, tu vas ou ? ». « Au village du haut ». « À pieds t’en est loin, dit donc, je vais t’y amener ». « Merci ».
Il faut parler un peut fort la pluie est torrentielle. « Par curiosité tu fais quoi sur la route ? ». « J’étais censé prendre le bus et je l’ai raté ». « Ha ok ».
Il regarde ma tenue qui comme souvent l’été se compose d’un short noir très court sans slip et d’un teeshirt.
« T’es pas bien couvert pour ce temps ». « Non ». « Je dois avoir de quoi te sécher derrière sur le siège prends le sac ». Je me retourne péniblement, l’auto n’est pas large et je récupère le sac.
Dedans des fringues de sports et deux serviettes de bain. « Sèche toi enlève ton teeshirt ». J’obéis.
« T’es musclé, t’as quel âge ? ». « Dix huit bientôt dix neuf ». « Tu fais du sport ? ». « Du vélo, pas mal de vélo ».
« Oui tu as de belles jambes ». « Merci ». « Tu veux pas changer de short ? Il y en a un presque neuf dans le sac ». « Heu ici ? ».
« Pourquoi ? Des mecs en slips j’ai déjà vu ». « C’est pas ça ». J’écarte un peu mon short, il regarde. « Ha ok t’en as pas, bah ce n’est pas grave des sexes j’en ai vu aussi ».
Je me décide à l’enlever et nu, je n’ai pas encore mis le teeshirt je cherche le short. « Oui t’es beau mec et pas mal monté ». En cachant d’une main mon début d’érection je réponds un merci timide.
« Non cache pas cette belle queue que tu as ». J’enlève la main. « C’est moi qui te fais bander ». « Oui ».
Il ralenti et pose une main chaude sur mon genou, pendant que j’essaye de mettre le short. « Non reste nu un peu ». J’obéis et laisse tomber le short à mes pieds. « T’es pas farouche toi, t’as déjà été avec des hommes non ? ». « Oui ». « Ça te dirais un petit moment avec moi ? » « Oui ».
Il se gare à côté d’une petite cabane de pierre sans porte au bord d’un chemin de vigne.
Il descend le dossier de mon siège et lentement me caresse, lèche mes boules et ma queue très dure maintenant, puis me suce. Je passe mes mains sur son crane dégarni, j’aime sentir sa bouche sur mon gland.
Il se relève et demande : « Et toi tu suces ? ». « Oui ». Il baisse son dossier et ouvre sa braguette, un beau sexe jailli long et dur. Je le suce, ses mains caressent mon dos et descendent vers mes fesses.
J’ai la bite du mec dans la gorge quand il me dit : « Tu suces bien, montre moi ton cul ».
Je me redresse et me mets à genou sur le siège bien allongé sur le dossier presque à plat, il écarte mes fesses et me lèche l’anus enfonçant par moment un doigt humide. Je gémi doucement.
« Tu as envie que je te prenne ? Mon chéri ». « Oui j’ai envie, putain oui ». « Oui je le veux ».
La pluie a cessée il se redresse et sort de l’auto, passe de mon côté et moi à quatre pattes sur le siège et lui dans l’ouverture de la portière il m’encule à fond doucement au début puis plus vite et fort, plus profond, il tire sur mes jambes pour me faire reculer vers lui, pour bien m’empaler sur sa verge dure et épaisse.
« Je vais jouir » dit-il. « Reste en moi, inonde moi le cul ». « T’es sur ? ». « Oui ».
Et avec des grandes secousses il se vide dans mon cul.
La pluie repart de plus belle cette fois, et trempé, il remonte dans la voiture. Il enlève sa chemise et reste torse nu. Il me sourit, se penche vers moi, et demande : « Branle-toi ».
J’obéis, il me caresse le corps, je jouis sur mon ventre. Il lèche le sperme avec douceur.
« Tu embrasses ? ». Je me penche vers lui et nos langues se mélangent.
Et il m’a ramené au village. Je ne l’ai plus revu, dommage.
Partie 4 Rosie Copine
Je suis chez un copain dont les parents sont partis pour quelques jours, des affaires de famille à régler et ça risquait d’être pour pas mal de temps. Il ne voulait pas rester seul avec son demi-frère de notre âge, handicapé, dont il avait l’habitude de s’occuper.
La maison, vaste, avec piscine et un grand jardin avec une belle serre, le secteur de son demi-frère.
Xavier, peau très claire, rouquin, fils d’un premier mariage, avait été l’une des victimes d’un accident de la route le clouant sur un fauteuil roulant. Assez musclé, il était beau mec.
Pierrot, mon pote, brun cheveux frisés légèrement typé métis rappelait ses origines paternelle réunionnaise, musclé très sportif. « Sympa Ric d’être la, je devais être seul encore un moment ».
« Et ton frère ? ». « Lui, il râle tout le temps quand je suis seul avec lui. Il lui faudrait une nana je te jure ».
« Tant que ça ? Il peut au moins ? ». « Oui ce ne sont que les jambes qui marchent pas et je peux te le dire, il en profite pour me demander de le branler ». « Non ? ». « Si ». « Il peut pas ? ».
« C’est le seul moyen pour qu’il bande et ça l’obsède, il me réveille parfois la nuit, et ce n’est pas le pire, il m’a fait une crise un soir il voulait que…. ». « Que quoi ? ». « Que je le suce ».
Cette remarque éveille en moi un intérêt, j’ose. « Mais il est homo ? ». « Non, enfin j’en sais rien ».
« Il est bien monté ? ». « Ouais en plus ouais ». « C’est pour ça que tu voulais que je vienne ? ».
« Ben, pas que, mais toi, les mecs, je peux te payer si tu veux ». « N’importe quoi, mais de quoi ça vient ces envies ».
« Le kiné qui s’occupait de lui, a été surpris à poil à côté de lui, mes parents l’on viré, je crois qu’ils baisaient ensemble ».
« Il est ou la ? ». « Dans la serre il s’occupe de ses plantes, viens on va le voir, mais change toi avant ». « Pourquoi ? ». « Si t’y vas comme ça il va râler que j’amène un inconnu dans son antre, habille toi plus relax ». « Un short, un teeshirt ? ». « Oui voila ». « J’ai que celui-ci, très court et un marcel ». « Nickel ».
« Dit donc tu veux lui amener une pute ? ». « Désolé laisse tomber c’est nul ».
« Non ok, je voudrais pas que tu sois obligé de le sucer ». « En plus on c’est croisés ce matin à mon arrivée, ça devrait le faire, si tu veux j’y vais seul ». « Toi tu es chaud, maintenant ? ». « Oui ».
Donc petit short, sans slip, mon teeshirt tombant des épaules et ne cachant rien j’entre dans la serre.
« Xavier ? Salut c’est Ric ». « Salut, je te connais on c’est déjà croisés ». « Oui ». « Et Pierrot il est pas avec toi ? ». « Non il prépare le barbecue pour tout à l’heure ». « Ok ». « T’as l’air d’aller bien ».
« Oui ça va, à part mes pattes, mais je muscle mes bras à force ». « Oui t’es pas mal ». « Merci ».
« Ric tu restes la cette semaine ? ». « Oui, pourquoi ça t’embête ? ». « Non, mais t’as pas une copine ? ».
« Non, ni un copain si tu veux tout savoir ». Un sourire se dessine sur son visage criblé de taches de rousseur, puis il s’assombrit. « Moi non plus, qui voudrait d’un rouquin à roulette ? ». « T’es beau mec ». « Toi aussi ».
« Merci ». « Accompagne moi jusqu’à ma chambre, je vais m’habiller plus léger, je suis trempé de sueur en plus ». On traverse un long couloir et on entre dans une grande chambre avec sa salle de bain équipée.
Je m’assieds sur le lit, lui trifouille dans une armoire. Il enlève son teeshirt, oui il est pas mal, et va dans la salle de bain. Je propose mon aide s’il veut.
Il m’appelle : « Viens ». J’entre, il est en slip et est assis dans le bac à douche. « Aide-moi à l’enlever ». L’eau coule un peu de la pomme de douche. « Attends j’enlève mon teeshirt ». Il me dit : « Enlève tout tu vas te tremper ». Nu devant lui je me penche, mes mains le frôlent.
Je l’aide, il s’appuie sur moi et j’enlève son slip. Je me retrouve à genou devant lui pour passer le slip à ses pieds, le nez pas très loin d’un sexe effectivement excitant.
Il me fixe, comme avec un regard implorant, sa queue se dresse, l’eau nous arrose un peu, il se penche en arrière autant qu’il peut et coupe l’eau. Je pose ma main sur sa cuisse, me penche et son sexe frôle mes lèvres. D’une main il se branle en silence.
Je le suce doucement, il souffle de plus en plus, pas de doute ça fonctionne. Au bout d’un moment un jet inonde ma bouche, j’avale puis me relève. Cette fois c’est mon sexe qui est au niveau de sa bouche. Il me suce et je jouis dans sa bouche.
On se lave et on se rhabille. On rejoint Pierrot qui ne pose aucune question, ne sachant que trop ce qui a pu se passer vu l’air guilleret de Xavier.
J’ai sucé Xavier plusieurs fois pendant la semaine. Pierrot semblait me faire un peu la tête vu le temps que je passais avec Xavier.
Un soir j’ai voulu parler à Pierrot, je suis entré dans sa chambre, on a un peu discuté et je me suis glissé dans son lit. Et on n’a pas trop discuté, non, on a baisés.
Partie 5 Rosie Baise a la Campagne
Je pose mon vélo contre un gros chêne, je l’attache pas, qui prendrais ce truc, et je m’enfonce dans le sentier.
Je croise des mecs de tous âges, certains habillés, d’autre en slip, ou nus.
Un grand type en pleine discussion, avec un petit gros s’arrête de parler et me matte, je leur souri et continu mon chemin, ils me suivent.
Je me laisse ratt****r et me recule un peu sous les branches épaisses d’un chêne surement centenaire.
Le grand, en silence, s’approche de moi et me caresse le ventre en soulevant mon teeshirt. Il descend sa main sur mon entrejambe en se touchant le sexe avec son autre main. Je le caresse aussi. Je sens qu’il bande.
Il défait son short qui glisse au sol et fait jaillir une belle queue puissante et déjà raide. Je me penche et lèche ce sexe tentant. L’autre, passe derrière moi, caresse mes fesses, mon dos, puis baisse doucement mon short et enlève mon petit slip. Puis, à genou, il lèche mon anus, son nez bien coincé entre mes fesses.
J’aime, je suis nu, entre eux, sans un mot. De coups de langue en coups de langue je sens des doigts experts pénétrer mon intimité. J’écarte au mieux mes jambes pour laisser passer les quatre doigts du mec.
L’autre tient ma tête et par de petits coups de rein enfonce sa queue dans ma gorge, me faisant toussoter et baver. La main en moi, bien lubrifiée, gagne du terrain et s’enfonce mieux. Ses doigts en cône, il me pénètre bien et je sens le pouce frotter contre mes parois.
Le grand se dégage, il me sourit d’un sourire qui demande plus et me retourne doucement laissant le petit gros à genou la main encore en l’air. Puis la bite gonflée et dure du grand me pénètre, l’autre toujours à genou me suce en avalant bien ma queue.
Le grand me défonce l’anus, je me tiens au petit gros, mes mains sur ses épaules épaisses.
« Je vais te remplir le cul, ma salope » dit enfin le grand avant de jouir. Il jouit, se retire un peu puis continu à me limer. Il se retire et le petit gros passe à nouveau entre mes jambes et lèche bien mon cul suintant de foutre. Je me branle un peu et je jouis aussi.
Puis les deux mecs partent, toujours en silence, me laissant la, debout, ma queue en main pleine de sperme. Je remets le short et regagne mon vélo. Deux mecs baisent juste à côté, j’attends qu’ils aient fini pour le récupérer. Un mec de mon âge, me propose un plan. Il voudrait bien se faire sucer. Je le suis dans les fourrés et le vide goulument, après qu’il se soit bien enfoncé en moi.
Puis, enfin satisfait, je rentre, pédalant avec un peu mal au cul et assis sur la selle en sentant l’humidité de mon cul suintant de jus qui a trempé mon short.
Partie 6 Rosie Baise dans la Cave
À quatre patte dans la cave de cet immeuble, nu, je suis à la merci d’un jeune beur et de son pote plus âgé à la peau noire. Les deux mecs sont debout devant moi, leurs sexes tendus comme une offrande a ma bouche. « Tourne-toi ».
J’obéis, des doigts me triturent l’anus puis une queue me pénètre. Je suis nu, le cul offert, soumis à ces mecs chauds et prêt à tout accepter pour les satisfaire.
Ils m’enculent à tour de rôle, me frappant les fesses et le dos en me traitant de salope.
Parfois ils me crachent dessus ou sur le visage avant d’enfoncer leur verge dure dans ma bouche.
Il fait sombre et froid, la chaine que j’ai au cou et qui m’attache au mur sale me serre, elle est froide. Ils tirent dessus, m’obligeant à rester à genou ou à quatre pattes. Mon cul défoncé suinte de sperme et de pisse. L’un des mecs à uriné entre mes fesses et l’autre a voulu pisser en moi. J’ai aimé recevoir sa pisse dans la bouche.
Je suce le sexe crade du noir pendant que l’autre me lime le cul. Ils ont déjà joui plusieurs fois, mais restent dur. Ça dure des heures.
J’ai beaucoup de mal à marcher quand je sors de cette cave.
3 年 前