Rosie Pute
Partie 1
Le petit bâtiment des WC est au fond d’un parking sous les marronniers. J’y entre, juste un bruit de chasse d’eau qui coule, j’urine sur un des urinoirs blanc, pas très propre.
Un homme petit et gros entre, passe derrière moi en me frôlant, il ouvre une cabine de WC et y entre sans fermer la porte.
Je l’entends toussoter, je me retourne et vois qu’il cale la porte ouverte avec son pied.
Curieux je m’approche et le vois sa queue en main, en train de se branler. Il me voit et se tourne bien face à moi. Belle queue, pas longue, mais épaisse. Je le regarde faire. Il me fait signe de la tête.
Pas de problème, je suis là pour ça. Je prends sa queue en main, il caresse mon dos et passe sa main sous ma chemise. Je m’incline et lèche le gland puis enfonce son membre dans ma gorge. Je le suce à fond, il gémit un peu. Des pas résonnent derrière nous. Je vais pour me relever. « Non continue, reste, ça me plait trop, tu suce bien » me souffle t-il. J’obéis et continue de sucer sa queue. Je sens une présence derrière moi mais je m’en moque. Ça m’excite au contraire.
Des mains caressent mes fesses, mon dos. Je me retourne. Un mec jeune, beau et mince, me sourit.
Il embrasse le gros et continue de me malaxer les fesses, j’aime ça et je reprends la pipe.
« Tu veux qu’il te prenne ? » demande le gros. Je tremble de plaisir, j’en ai tellement envie. Je défais ma ceinture et mon premier bouton. Le gars derrière moi fait descendre mon jeans et enlève mon slip.
Ses mains commencent à caresser mes fesses et je sens un doigt pénétrer mon anus. Je me cambre pour accepter la caresse et tortille du cul. En même temps j’intensifie ma pipe. Je suis aux anges.
Un objet chaud frotte contre puis entre mes fesses. J’écarte les jambes pour qu’il puisse bien m’enculer.
La queue se pose sur mon anus et, en poussant un cri de plaisir, il me pénètre d’un coup. Je le prends bien et je râle de contentement. Il tape sur mes fesses avec ses couilles, lui par contre à une longue queue et elle tape au fond de mon cul, me faisant gémir.
Il me lime longuement, le gros excité bande plus dur et dans un râle il lâche son jus que j’avale goulûment, trop excité par cette sodomie puissante.
Je me cramponne au gros qui sourit et encourage le jeune. « J’ai envie de te féconder » dit celui qui m’encule. « Oui, vide toi en moi, inonde-moi la chatte ». Et il jouit en moi, quelques coups de bite encore puis il se retire. Je sens que je suis bien pleine et son jus couler ma chatte anale. C’est bon, ça me plait.
Je jouis dans les doigts du gros qui c’est mis à me branler. Je ressors des WC suivit du gros qui remet sa veste de police municipale.
Partie 2
J’aime les WC publics un peu à l’écart dans les parcs ou les parkings sous les arbres.
Celui ci est au bord de la petite route ou se trouvait un terrain de tennis et un boulodrome maintenant abandonnés. Il se fait tard dans l’après midi, c’est le moment que j’aime, la luminosité baisse et donne une ambiance lugubre à ce site. J’entre, les urinoirs sont vides, et les portes de cabines ouvertes.
Sur les murs des inscriptions plus ou moins évidentes sur leur nature à caractères sexuels.
J’entre dans une des cabines, la cuvette n’y est plus juste un bout de tuyau qui dépasse du sol d’où se dégage encore une odeur d’urine.
Appuyé à la cloison, je passe ma main sous mon pantalon et me caresse, puis ayant baissé mon pantalon, ma main glisse sous mon petit slip. Je me branle un peu plus du bout des doigts.
Ne résistant plus, le slip sur les genoux, je me branle à pleine main, bien campé sur mes jambes le sexe dressé et tendu. Des pas tout à coups se font entendre dans le silence du lieu. Je m’en fous je suis bien, tant pis, je continu.
L’homme, pas très jeune s’approche de moi et me regarde en souriant, il porte une salopette de travail. Il défait la fermeture éclair et rabat le haut sur ses hanches dévoilant un corps épais et velu.
Il passe sa main entre ses jambes sous le vêtement et se caresse. Il se colle à moi, pose une main sur mon sexe, se penche et d’une bouche gourmande il commence à me sucer. Je caresse ses épaules nues, son crane dégarni, il suce bien. Je me laisse aller et je gémis un peu en sentant sa langue faire le tour de mon gland.
Je le repousse un peu et fini de descendre sa salopette jusqu’à ses pieds, et écartant son slip, je dégage son membre devenu dur. À mon tour je me penche sur lui et je le prends en bouche avec douceur.
Son sexe est gros et épais, pas très long mais assez pour me plaire et en avoir envie entre les cuisses.
Il comprend vite ce que je veux, il me retourne, me plaque contre la cloison et appui sa belle bite contre mon œillet. Il me pénètre avec juste de la salive comme lubrifiant. Sa queue entre en moi comme dans du beurre.
Il est puissant, j’aime et je couine comme une truie. Il aime, me tient par les épaules, face à la porte, bien pliée en deux, sa bite enfoncée jusqu’à la garde. Ses couilles velues tapent sur mes fesses.
Il ahane et jouit en moi tout en continuant de me limer. Il se retire, je me retourne et il me branle vigoureusement. Je crache en criant de plaisir, il se penche et avale mon jus. A mon tour, je me mets à genoux pour lécher sa queue et nettoyer son sperme.
On s’embrasse, mélangeant, avec nos langues mon sperme et le sien. Ca nous excite, je bande encore, lui aussi, je descends à ses pieds et le suce de nouveau comme une folle. Son sexe gluant laissant couler encore un filet de jus, il me surprend en éjaculant dans ma gorge.
J’avale encore avec plaisir, je me relève et me rajuste. Lui a remonté son vêtement il me sourit.
« J’ai passé un bon moment, je voudrais bien recommencer, tu viens chez moi ? ». J’ai envie, j’y vais.
Partie 3
Assis, un peu fatigué par la danse et l’alcool, je somnole. La boite commence à se vider. Un type s’assied à côté de moi. Il se penche et me susurre a l’oreille : « J’ai envie de baiser ». « C’est bien, moi aussi » dit-je.
« De me faire branler aussi ». Je le repousse un peu pour la forme, puis il se repenche contre moi et insiste. « Branle moi, regarde je bande bien ». Il a sorti sa queue. Regarde elle est dure, donne ta main. Il prend ma main et la pose sur sa queue. Elle est grosse, dure et chaude, je n’hésite plus et je commence à le caresser.
Trois mecs arrivent et s’assoient sur le canapé en face de nous, séparé juste par une table basse.
« Vas-y, branle le ». Ils sont chauds aussi. « Chiche qu’il ne le fait pas ». « Si, même qu’il pourrait le sucer ».
Le troisième reste muet. Je les regarde et machinalement je branle la bite.
Un des mecs se lève, se met à côté de moi passe sa main sous mes fringues, je me laisse faire.
« T’es gentil toi, suce le ». Il me pousse vers celui que je branle. « Il le fera pas » dit un des autres gars.
On est plus très nombreux dans la boite. Je regarde le mec qui a parlé, je me penche et avale la queue du gars qui se coule en arrière les jambes bien ouvertes. Un mec qui partait s’arrête et nous regarde.
Celui qui ne disait rien sort sa bite et se branle, caressé par le mec resté à côté de lui.
Pendant que je suce une main a défait mon pantalon et dégagée mon sexe déjà dur et une bouche humide commence à sucer mon gland.
Celui qui partait s’assied à côté de nous, je sens qu’il est excité mais je ne vois pas ce qu’il fait.
Les spots au dessus des canapés s’éteignent, j’ai envie de cette queue dans le cul. Je me lève, le pantalon glisse à mes pieds, on me tire en arrière et je sens le glissement lent du sexe me pénétrant.
Assis sur cette queue, je joins ma langue à celle du mec que je suçais et il enroule sa langue dans ma bouche.
Une sorte de partouze s’est enclenchée. A demi-nu on baise dans la semi pénombre, il n’y a plus de musique et le bar est éteint.
Je pénètre un cul lisse et accueillant, on me suce, je suce et je me fais encore enculer sur le cuir blanc du canapé, le visage collé au coussin. Je prends bien ces queues qui me défoncent. Je suis bien. Je me fais baiser.
Puis ça s’arrête. On est tous nu, on se relève et on cherche nos fringues. « Paul tu fermeras, tu fais chier avec tes baises à la con ». « Ouais » dit le mec à côté de moi, file, va baiser ta femme. « Connard, tu ne serais pas mon frère…. ». Le mec qui m’a baisé me fait face. « Tu me plais, viens chez moi manger un truc ».
Je pense : Avec joie, j’ai encore le cul en feu, il me faut des queues et celui là va me donner bien fort.
Partie 4
Dans cette grange ou il m’a emmené un matelas est posé au sol. Il est nu devant moi, grand, bien monté.
Sa queue est bien raide en face de moi, elle attend ma bouche.
Je tombe a genoux sur le matelas, je suis nu aussi, je le branle puis malaxe ses couilles et lentement je le prends dans la bouche. Je m’applique, je suce, je lèche. Je me régale de cette bite.
Son pote arrive, avec deux hommes. Des émigrés qu’ils emploient dans la propriété. Ils font cercle autour de moi les bites tendues. Je suis content, je vais en prendre plein la bouche et le cul.
Je suce tour à tour ces sexes puis on me relève, me pousse vers un établi, et penché en avant les jambes écartées ils me pénètrent à tour de rôle. Je crie de plaisir comme une pute. Ils se dégagent et me font prendre en bouche leur sperme chaud. J’avale, parfois il est amer, mais je n’ai pas le choix et j’adore ça en fait.
Ça les excitent de me voir la bouche pleine puis encore à quatre pattes ou couché sur le ventre ils me pénètrent encore à grand coups de reins.
Mon cul ouvert défoncé par ces hommes virils au sexe bien gonflé. Tous on envie de se vider dans la pute à jus que je suis, offert à eux, oubliant que je suis un mec. Je suis devenue leur salope.
Ils partent, resté seul avec mon hôte, il me jette une serviette et une bouteille d’eau. « T’es un bon trou à bite toi ». « Habille-toi et casse toi ». J’obéis et quitte la ferme. Sur le petit chemin un des mecs me ratt****.
Il enlève mon teeshirt et passe sa main sous mon short. « Juste un dernier coup » dit il à mon oreille.
Et il m’encule debout contre un vieux chêne, et se vide en moi.
Partie 5
Il voulait me voir être soumis, aussi il ne ratait pas une occasion. Déjà me vouloir nu ou presque nu à ses côté, avec mon physique de jeune du sud la peau mate, ma tignasse noire, mon corps peu poilu, un peu musclé surtout des cuisses.
Me voir à quatre pattes du sperme sur les poils de mes fesses, m’entendre gémir à chaque coup de rein de mon partenaire toujours bien plus âgé que moi.
J’acceptais tout, volontairement, j’aimais les montées d’adrénaline avant d’aborder des plans qui me soumettaient parfois durement à des inconnus.
Savoir qu’un type, parfois plusieurs, bien montés de toutes nationalité allaient m’enculer ou se vider dans ma bouche, m’excitait. Aussi j’évitais de me toucher, malgré les érections que j’avais.
Les lieux aussi participaient à ces frissons souvent isolés, parfois glauques, crades sentant la sueur de mâle ou l’urine. Pour mon maitre je n’étais qu’un trou à sperme qu’il passait à des hommes en manque pour la plupart.
Parfois il me demandait de me faire baiser par un SDF sous un pont ou dans un camp, installé au bord de la rivière.
Je passais des nuits avec des africains dans leurs baraques de chantier. A côté de putes ramenées de l’ancienne gare, j’étais à « L’abattage ». A disposition et contente de me faire défoncer.
J’avais 21 ans quand j’ai décidé d’arrêter, ça c’est fait sans problème, il y avait déjà un mec de 18 ans qui me remplaçait.
Pourtant malgré tout ce que j’ai subit je ne regrette rien et je prends cette période comme un bon souvenir.
J’avais, en fait, réellement choisi d’être à lui. Être à lui, et lui obéir à genou entre ses cuisses et avaler le sexe chaud d’un inconnu. Avec cette odeur de sueur, ce gout parfois d’urine, je me caresse en la suçant avec gourmandise. Puis passer sous lui, et lécher son cul, mon nez entre ses fesses.
Ou me laisser doigter et sentir son gland dur sur mon anus puis lentement, parfois, ou durement souvent prendre la queue en moi. Me faire limer, pilonner le fion, profondément, jusqu’à me faire gémir.
Puis à nouveau à genou, nu, dans ces lieux parfois crade, insalubre, mais discret, j’avale le sperme.
J’ai 18 ans lui parfois dix ou vingt ans de plus que moi. Jusqu’à mes 21 ans j’ai aimé ces plans, puis une rencontre m’a fait changer et ça devenait plus rare. Aujourd’hui, c’est un agréable souvenir.
Le petit bâtiment des WC est au fond d’un parking sous les marronniers. J’y entre, juste un bruit de chasse d’eau qui coule, j’urine sur un des urinoirs blanc, pas très propre.
Un homme petit et gros entre, passe derrière moi en me frôlant, il ouvre une cabine de WC et y entre sans fermer la porte.
Je l’entends toussoter, je me retourne et vois qu’il cale la porte ouverte avec son pied.
Curieux je m’approche et le vois sa queue en main, en train de se branler. Il me voit et se tourne bien face à moi. Belle queue, pas longue, mais épaisse. Je le regarde faire. Il me fait signe de la tête.
Pas de problème, je suis là pour ça. Je prends sa queue en main, il caresse mon dos et passe sa main sous ma chemise. Je m’incline et lèche le gland puis enfonce son membre dans ma gorge. Je le suce à fond, il gémit un peu. Des pas résonnent derrière nous. Je vais pour me relever. « Non continue, reste, ça me plait trop, tu suce bien » me souffle t-il. J’obéis et continue de sucer sa queue. Je sens une présence derrière moi mais je m’en moque. Ça m’excite au contraire.
Des mains caressent mes fesses, mon dos. Je me retourne. Un mec jeune, beau et mince, me sourit.
Il embrasse le gros et continue de me malaxer les fesses, j’aime ça et je reprends la pipe.
« Tu veux qu’il te prenne ? » demande le gros. Je tremble de plaisir, j’en ai tellement envie. Je défais ma ceinture et mon premier bouton. Le gars derrière moi fait descendre mon jeans et enlève mon slip.
Ses mains commencent à caresser mes fesses et je sens un doigt pénétrer mon anus. Je me cambre pour accepter la caresse et tortille du cul. En même temps j’intensifie ma pipe. Je suis aux anges.
Un objet chaud frotte contre puis entre mes fesses. J’écarte les jambes pour qu’il puisse bien m’enculer.
La queue se pose sur mon anus et, en poussant un cri de plaisir, il me pénètre d’un coup. Je le prends bien et je râle de contentement. Il tape sur mes fesses avec ses couilles, lui par contre à une longue queue et elle tape au fond de mon cul, me faisant gémir.
Il me lime longuement, le gros excité bande plus dur et dans un râle il lâche son jus que j’avale goulûment, trop excité par cette sodomie puissante.
Je me cramponne au gros qui sourit et encourage le jeune. « J’ai envie de te féconder » dit celui qui m’encule. « Oui, vide toi en moi, inonde-moi la chatte ». Et il jouit en moi, quelques coups de bite encore puis il se retire. Je sens que je suis bien pleine et son jus couler ma chatte anale. C’est bon, ça me plait.
Je jouis dans les doigts du gros qui c’est mis à me branler. Je ressors des WC suivit du gros qui remet sa veste de police municipale.
Partie 2
J’aime les WC publics un peu à l’écart dans les parcs ou les parkings sous les arbres.
Celui ci est au bord de la petite route ou se trouvait un terrain de tennis et un boulodrome maintenant abandonnés. Il se fait tard dans l’après midi, c’est le moment que j’aime, la luminosité baisse et donne une ambiance lugubre à ce site. J’entre, les urinoirs sont vides, et les portes de cabines ouvertes.
Sur les murs des inscriptions plus ou moins évidentes sur leur nature à caractères sexuels.
J’entre dans une des cabines, la cuvette n’y est plus juste un bout de tuyau qui dépasse du sol d’où se dégage encore une odeur d’urine.
Appuyé à la cloison, je passe ma main sous mon pantalon et me caresse, puis ayant baissé mon pantalon, ma main glisse sous mon petit slip. Je me branle un peu plus du bout des doigts.
Ne résistant plus, le slip sur les genoux, je me branle à pleine main, bien campé sur mes jambes le sexe dressé et tendu. Des pas tout à coups se font entendre dans le silence du lieu. Je m’en fous je suis bien, tant pis, je continu.
L’homme, pas très jeune s’approche de moi et me regarde en souriant, il porte une salopette de travail. Il défait la fermeture éclair et rabat le haut sur ses hanches dévoilant un corps épais et velu.
Il passe sa main entre ses jambes sous le vêtement et se caresse. Il se colle à moi, pose une main sur mon sexe, se penche et d’une bouche gourmande il commence à me sucer. Je caresse ses épaules nues, son crane dégarni, il suce bien. Je me laisse aller et je gémis un peu en sentant sa langue faire le tour de mon gland.
Je le repousse un peu et fini de descendre sa salopette jusqu’à ses pieds, et écartant son slip, je dégage son membre devenu dur. À mon tour je me penche sur lui et je le prends en bouche avec douceur.
Son sexe est gros et épais, pas très long mais assez pour me plaire et en avoir envie entre les cuisses.
Il comprend vite ce que je veux, il me retourne, me plaque contre la cloison et appui sa belle bite contre mon œillet. Il me pénètre avec juste de la salive comme lubrifiant. Sa queue entre en moi comme dans du beurre.
Il est puissant, j’aime et je couine comme une truie. Il aime, me tient par les épaules, face à la porte, bien pliée en deux, sa bite enfoncée jusqu’à la garde. Ses couilles velues tapent sur mes fesses.
Il ahane et jouit en moi tout en continuant de me limer. Il se retire, je me retourne et il me branle vigoureusement. Je crache en criant de plaisir, il se penche et avale mon jus. A mon tour, je me mets à genoux pour lécher sa queue et nettoyer son sperme.
On s’embrasse, mélangeant, avec nos langues mon sperme et le sien. Ca nous excite, je bande encore, lui aussi, je descends à ses pieds et le suce de nouveau comme une folle. Son sexe gluant laissant couler encore un filet de jus, il me surprend en éjaculant dans ma gorge.
J’avale encore avec plaisir, je me relève et me rajuste. Lui a remonté son vêtement il me sourit.
« J’ai passé un bon moment, je voudrais bien recommencer, tu viens chez moi ? ». J’ai envie, j’y vais.
Partie 3
Assis, un peu fatigué par la danse et l’alcool, je somnole. La boite commence à se vider. Un type s’assied à côté de moi. Il se penche et me susurre a l’oreille : « J’ai envie de baiser ». « C’est bien, moi aussi » dit-je.
« De me faire branler aussi ». Je le repousse un peu pour la forme, puis il se repenche contre moi et insiste. « Branle moi, regarde je bande bien ». Il a sorti sa queue. Regarde elle est dure, donne ta main. Il prend ma main et la pose sur sa queue. Elle est grosse, dure et chaude, je n’hésite plus et je commence à le caresser.
Trois mecs arrivent et s’assoient sur le canapé en face de nous, séparé juste par une table basse.
« Vas-y, branle le ». Ils sont chauds aussi. « Chiche qu’il ne le fait pas ». « Si, même qu’il pourrait le sucer ».
Le troisième reste muet. Je les regarde et machinalement je branle la bite.
Un des mecs se lève, se met à côté de moi passe sa main sous mes fringues, je me laisse faire.
« T’es gentil toi, suce le ». Il me pousse vers celui que je branle. « Il le fera pas » dit un des autres gars.
On est plus très nombreux dans la boite. Je regarde le mec qui a parlé, je me penche et avale la queue du gars qui se coule en arrière les jambes bien ouvertes. Un mec qui partait s’arrête et nous regarde.
Celui qui ne disait rien sort sa bite et se branle, caressé par le mec resté à côté de lui.
Pendant que je suce une main a défait mon pantalon et dégagée mon sexe déjà dur et une bouche humide commence à sucer mon gland.
Celui qui partait s’assied à côté de nous, je sens qu’il est excité mais je ne vois pas ce qu’il fait.
Les spots au dessus des canapés s’éteignent, j’ai envie de cette queue dans le cul. Je me lève, le pantalon glisse à mes pieds, on me tire en arrière et je sens le glissement lent du sexe me pénétrant.
Assis sur cette queue, je joins ma langue à celle du mec que je suçais et il enroule sa langue dans ma bouche.
Une sorte de partouze s’est enclenchée. A demi-nu on baise dans la semi pénombre, il n’y a plus de musique et le bar est éteint.
Je pénètre un cul lisse et accueillant, on me suce, je suce et je me fais encore enculer sur le cuir blanc du canapé, le visage collé au coussin. Je prends bien ces queues qui me défoncent. Je suis bien. Je me fais baiser.
Puis ça s’arrête. On est tous nu, on se relève et on cherche nos fringues. « Paul tu fermeras, tu fais chier avec tes baises à la con ». « Ouais » dit le mec à côté de moi, file, va baiser ta femme. « Connard, tu ne serais pas mon frère…. ». Le mec qui m’a baisé me fait face. « Tu me plais, viens chez moi manger un truc ».
Je pense : Avec joie, j’ai encore le cul en feu, il me faut des queues et celui là va me donner bien fort.
Partie 4
Dans cette grange ou il m’a emmené un matelas est posé au sol. Il est nu devant moi, grand, bien monté.
Sa queue est bien raide en face de moi, elle attend ma bouche.
Je tombe a genoux sur le matelas, je suis nu aussi, je le branle puis malaxe ses couilles et lentement je le prends dans la bouche. Je m’applique, je suce, je lèche. Je me régale de cette bite.
Son pote arrive, avec deux hommes. Des émigrés qu’ils emploient dans la propriété. Ils font cercle autour de moi les bites tendues. Je suis content, je vais en prendre plein la bouche et le cul.
Je suce tour à tour ces sexes puis on me relève, me pousse vers un établi, et penché en avant les jambes écartées ils me pénètrent à tour de rôle. Je crie de plaisir comme une pute. Ils se dégagent et me font prendre en bouche leur sperme chaud. J’avale, parfois il est amer, mais je n’ai pas le choix et j’adore ça en fait.
Ça les excitent de me voir la bouche pleine puis encore à quatre pattes ou couché sur le ventre ils me pénètrent encore à grand coups de reins.
Mon cul ouvert défoncé par ces hommes virils au sexe bien gonflé. Tous on envie de se vider dans la pute à jus que je suis, offert à eux, oubliant que je suis un mec. Je suis devenue leur salope.
Ils partent, resté seul avec mon hôte, il me jette une serviette et une bouteille d’eau. « T’es un bon trou à bite toi ». « Habille-toi et casse toi ». J’obéis et quitte la ferme. Sur le petit chemin un des mecs me ratt****.
Il enlève mon teeshirt et passe sa main sous mon short. « Juste un dernier coup » dit il à mon oreille.
Et il m’encule debout contre un vieux chêne, et se vide en moi.
Partie 5
Il voulait me voir être soumis, aussi il ne ratait pas une occasion. Déjà me vouloir nu ou presque nu à ses côté, avec mon physique de jeune du sud la peau mate, ma tignasse noire, mon corps peu poilu, un peu musclé surtout des cuisses.
Me voir à quatre pattes du sperme sur les poils de mes fesses, m’entendre gémir à chaque coup de rein de mon partenaire toujours bien plus âgé que moi.
J’acceptais tout, volontairement, j’aimais les montées d’adrénaline avant d’aborder des plans qui me soumettaient parfois durement à des inconnus.
Savoir qu’un type, parfois plusieurs, bien montés de toutes nationalité allaient m’enculer ou se vider dans ma bouche, m’excitait. Aussi j’évitais de me toucher, malgré les érections que j’avais.
Les lieux aussi participaient à ces frissons souvent isolés, parfois glauques, crades sentant la sueur de mâle ou l’urine. Pour mon maitre je n’étais qu’un trou à sperme qu’il passait à des hommes en manque pour la plupart.
Parfois il me demandait de me faire baiser par un SDF sous un pont ou dans un camp, installé au bord de la rivière.
Je passais des nuits avec des africains dans leurs baraques de chantier. A côté de putes ramenées de l’ancienne gare, j’étais à « L’abattage ». A disposition et contente de me faire défoncer.
J’avais 21 ans quand j’ai décidé d’arrêter, ça c’est fait sans problème, il y avait déjà un mec de 18 ans qui me remplaçait.
Pourtant malgré tout ce que j’ai subit je ne regrette rien et je prends cette période comme un bon souvenir.
J’avais, en fait, réellement choisi d’être à lui. Être à lui, et lui obéir à genou entre ses cuisses et avaler le sexe chaud d’un inconnu. Avec cette odeur de sueur, ce gout parfois d’urine, je me caresse en la suçant avec gourmandise. Puis passer sous lui, et lécher son cul, mon nez entre ses fesses.
Ou me laisser doigter et sentir son gland dur sur mon anus puis lentement, parfois, ou durement souvent prendre la queue en moi. Me faire limer, pilonner le fion, profondément, jusqu’à me faire gémir.
Puis à nouveau à genou, nu, dans ces lieux parfois crade, insalubre, mais discret, j’avale le sperme.
J’ai 18 ans lui parfois dix ou vingt ans de plus que moi. Jusqu’à mes 21 ans j’ai aimé ces plans, puis une rencontre m’a fait changer et ça devenait plus rare. Aujourd’hui, c’est un agréable souvenir.
3 年 前