Ma femme et le plombier
Cela remonte à quelques années , ma chaudière avait lâché et ma femme et moi devions la remplacer rapidement . Nous faisions à l'époque parti d'un groupe de motards dont l'un d'entre eux divorcé depuis quelques années et plombier de métier ce fut donc sur lui que notre choix s'imposa pour effectuer les travaux . C'était un bel homme fier assez grand et costaud , légèrement rondouillard avec l'âge, une petite moustache fine sous un regard malicieux et à l'humour coquin surtout avec les dames, ce qui ma fois ne leur déplaisaient pas....Mon épouse aussi d'ailleurs, bien que plus jeune que lui d'une dizaine d'années n'était pas insensible à ses petites flatteries et considérations et nous en rigolions le soir venu entre nous. Ceci dit , l'homme était droit et très serviable , une personne sur lequel on peut compter.
Bref; Serge (son prénom)fut ravi que nous pensions à lui pour les travaux et après devis, ses ouvriers sur d'autres chantiers et sur l'urgence du moment , c'est lui même qui s’attellerait à la tache. Serge prévoyait deux jours de travail maximum et ma femme Alice en congé scolaire du moment s’occuperait de le recevoir pour accéder au chantier.
Le soir du premier jour, je rentre du boulot et déjà la nouvelle chaudière est posée , reste je pense ,la mise en eau et réglages pour le lendemain.
Je retrouve aussi mon épouse qui me donne plus de détails sur les travaux de Serge , mais pas que en fait....
A la veille de jour là , j'avais demandé à ma femme de veiller à ce que Serge n'est pas de problèmes particuliers concernant l'installation et de lui proposer petits cafés ou bières de temps en temps. Alice en bonne maîtresse de maison reçu notre ami plombier et se montra aux petits soins avec Serge dans son ingrat travail en sous-sol. A chaque fois qu'elle descendait le voir Serge ne manquait pas une occasion de lancer une petite remarque coquine ou de la flatter sur ses courbes ou son charme , ce qui l'émoustillait un peu me dit-elle et l'envie de descendre plus souvent par curiosité et recevoir ces hommages gratifiants dont les femmes ne sont pas insensibles .
La matinée achevée, serge part déjeuner puis revient en début d'aprèm et c'est tout naturellement qu'Alice lui propose un petit café qu'ils dégustent ensemble en bavardant de choses et d'autres .En repartant , Alice lui dit qu'elle redescendra lui apporter une petite bière fraîche dans un moment et Serge de rétorquer en souriant qu'il apprécierai mieux sa bière si elle lui l'apportait en petite tenue . Alice rougit, haussa des épaules et s'en retourna tandis que l'ami riait fort de sa blague et de la pudeur de ma femme.
Ceci dit , Serge depuis le matin sans le vouloir vraiment , avait exercé un travail de sape et d'érotisme dans cette promiscuité en sous-sol. Mon épouse une fois remontée à l'appartement se trouva ; m'expliqua t-elle ; dans un état second et une chaleur au bas-ventre , elle entra dans notre chambre , se caressa un moment sur le lit puis toujours un peu hébétée se déshabilla complètement puis sortit de son garde-robe string ,porte jarretelle ,bas noires et nuisette assortie , passa par la salle de bain pour un petit pchitt de parfum sur le cou et dans le dressing pour chausser des petits escarpins à talons aiguilles .Le fait de tout cela , lui fit reprendre ses esprits et le doute s'insinua en elle . Elle pensa qu'elle était folle mais l'excitation était toujours présente . La raison allait l'emporter quand d'en bas une voix gaillarde retentit "Alice ! ma chérie! j'ai soif , s'il te plaît...Ce fut l'élément déclencheur , de nouveau une chaleur vive dans le ventre , moins de lucidités et l'attirance du sexe opposé.
Serge affairé devant la chaudière n'entendit pas l'arrivée d'Alice , malgré le clac-clac des talons aiguilles sur le ciment peint.
La boisson de Monsieur est avancée lança ma femme , lorsque surpris le plombier se retourna , une autre surprise failli le terrasser d'une crise cardiaque . De se cogner la tête contre la chaudière lui remis les idées en place. Il avait perdu de sa superbe et de son sens de l 'humour. En bégayant, radotant des mots incompréhensibles, ne sachant plus ou poser les yeux il laissa tomber la clé à molette de sa main dans un tintement sourd sur le sol.
J'ai dit la boisson de Monsieur est avancée , répéta Alice , J'espère que le service vous convient aussi, conclua t-elle en souriant d'un air malicieux. Mais , mais , mais , je plaisantais Alice ,tu , tu ,c'est pas vrai , je rêve , tu es magnifique , tu, tu me connais , je plaisante toujours , putain comme t'es belle , J'y crois pas ! C'était de l'humour Alice , pas plus. Madame s'avança vers lui : Tu m'as chauffé tout le matin avec tes allusions grivoises , moi je te prends au mot et tu te défiles ? Le gaillard se ressaisit un peu et balbutie timidement qu'il n'oserait pas aller plus loin que les bêtises qu'il balance ; surtout avec des amis et les femmes de ses amis....Cette salope d'Alice lui répond que nous sommes un couple libre qu'il y a longtemps que je suis cocu , que je le sais et que j'en ressent même un certain plaisir...(même si cela vrai , ça pique un peu quand même ) et que de mon côté je suis aussi volage.( Je lui suis quand même reconnaissant de ne pas lui avoir rajouté que c'était avec des mecs que je m'envoyais en l'air... )
Bref ; rassuré sur ce point Alice me raconte que Serge l'att**** par les fesses pour la serrer contre lui "c'est ce que tu veux lui murmure t-il ? et pour toute réponse , la chaudasse lui roule une gamelle , elle sent à travers nuisette et string , une bosse dure sur le bleu de travail de l'amant du jour et balançant ses hanches , se frotte dessus tandis que des mains chaudes et rugueuses palpent sans ménagement ses fesses rebondies.
L'homme d'un coup l'écarte de lui , il déboutonne sa chemise de coton assez élimée , pour laisser apparaître un torse velu gris-blanc et un ventre rebondit garni d'un duvet soyeux . Il s'attaque ensuite au ceinturon , le dégrafe ainsi que les boutons de braguettes et le bleu de travail tombe sur ses chevilles dévoilant un mini slip rouge gonflé ayant bien du mal à contenir un service trois pièce en pleine forme apparente.
Alice a compris son rôle , elle s'accroupit devant le mâle et de ses petits doigts saisit l'élastique du sous-vêtement puis délivre le gros morceau de chair qui jaillit en l'air venant frapper le bidon de son propriétaire et venir se stabiliser au niveau du nez de sa dé-livreuse . Bien que l'odeur de transpiration et d'urine se dégage du gourdin , le gland disparaît dans la bouche de la femelle en chaleur , suivent les mains dont une pompe la tige et l'autre qui masse le gros sac de noix prometteuses.
Les yeux dans le vague ,la tête en arrière , proférant des "oh!putains" entre deux respirations Serge est aux anges et s'abandonne aux caresses de ma panthère. Hélas pour lui , elle veut aussi son comptant d'oignons et délaissant la besogne , elle pose les mains sur mon établi proche , se penche en avant jambes écartées , croupe offerte . Le mâle en rut comprend . Lui aussi s'agenouille , arrache plus qu'il n'enlève le fin string en dentelle que j'ai offert à mon épouse et que je n'ai jamais vu en situation depuis , enfonce sa tête , moustache en avant ,dans la vallée profonde des fesses d'Alice afin de trouver les orifices humides et enfiévrés dans lesquelles il plonge sa langue gourmande faisant couiner de bonheur sa conquête du moment.
Après quelques instants de délectation , il se relève et de ses doigts vient contrôler l'effet de son travail et semblant satisfait il saisit son bel engin long et épais au gland rougit par l'excitation , le dirige vers la fente gluante de mouille et l'introduit doucement et profondément dans les profondeurs vaginales de la femelle qui tressaille des cuisses en poussant de petits cris de soulagement. S’agrippant aux hanches de celle-ci , il commence de longs va et vient faisant profiter des beaux centimètres de sa queue à cette baiseuse , allant même à un petit claquage de fesses en la traitant de jeune salope ou petite pute , ce qui d'ordinaire la ferai rugir de colère , alors qu'ici elle glousse des "oh oui! oh oui ! de soumission "
Mais l'homme en veut plus , il se retire , soulève facilement Alice et l'assoit sur l'établi , lui écarte les genoux et l'empale de nouveau en l'embrassant à pleine bouche avant de l'allonger sur le dos pour peloter les mamelles et sucer les tétons dressés de la femme . Puis soulevant ces cuisses par dessous , il lui besogne la chatte ouverte de grands coups de reins profonds et puissants qui l'a font piailler de bonheur.
Les mouvements du mâle s'accélèrent , ses fesses musclées vont et viennent d'avant en arrière , puis d'un dernier coup de rein inonde abondamment de son sperme le ventre de la femelle qui lui agrippe les bras comme pour mieux ressentir les giclées inséminatrices du mâle en criant son orgasme. Un long moment de récupération pour les amants , quelques bisous et caresses et petits mots doux , Serge se retire la bite à demi-molle de la chatte devenue béante d'Alice qui dégouline d'un foutre blanchâtre et épais coulant sur la raie des fesses puis sur mon établi.
Les deux amants se rajustent et ma femme quitte L'homme qui se remet au travail et en même temps de ses émotions.
Voilà donc la première journée des travaux expliqués par mon épouse ;et quelques peu enjolivés par votre serviteur ^^ ;qui me valurent le soir même quelques bonnes branlettes en repensant à mon énième cocufiage....Il restait tout de même la deuxième journée ou mes cocufieurs ont doublé la mise , matin et après-midi , elle ; incroyable ; lui bouffant la rondelle ; avant tout aussi incroyable ; se faire démonter la sienne et de se faire gaver de jus sa bouche de salope en final.
Les travaux finis Alice et moi avons été surpris d'avoir une bonne ristourne sur la main-d’œuvre. Les ébats se sont arrêtés là , nous continuons avec lui et le groupe nos sorties moto en toutes amitiés, notre petit secret en plus tous les trois.
Bref; Serge (son prénom)fut ravi que nous pensions à lui pour les travaux et après devis, ses ouvriers sur d'autres chantiers et sur l'urgence du moment , c'est lui même qui s’attellerait à la tache. Serge prévoyait deux jours de travail maximum et ma femme Alice en congé scolaire du moment s’occuperait de le recevoir pour accéder au chantier.
Le soir du premier jour, je rentre du boulot et déjà la nouvelle chaudière est posée , reste je pense ,la mise en eau et réglages pour le lendemain.
Je retrouve aussi mon épouse qui me donne plus de détails sur les travaux de Serge , mais pas que en fait....
A la veille de jour là , j'avais demandé à ma femme de veiller à ce que Serge n'est pas de problèmes particuliers concernant l'installation et de lui proposer petits cafés ou bières de temps en temps. Alice en bonne maîtresse de maison reçu notre ami plombier et se montra aux petits soins avec Serge dans son ingrat travail en sous-sol. A chaque fois qu'elle descendait le voir Serge ne manquait pas une occasion de lancer une petite remarque coquine ou de la flatter sur ses courbes ou son charme , ce qui l'émoustillait un peu me dit-elle et l'envie de descendre plus souvent par curiosité et recevoir ces hommages gratifiants dont les femmes ne sont pas insensibles .
La matinée achevée, serge part déjeuner puis revient en début d'aprèm et c'est tout naturellement qu'Alice lui propose un petit café qu'ils dégustent ensemble en bavardant de choses et d'autres .En repartant , Alice lui dit qu'elle redescendra lui apporter une petite bière fraîche dans un moment et Serge de rétorquer en souriant qu'il apprécierai mieux sa bière si elle lui l'apportait en petite tenue . Alice rougit, haussa des épaules et s'en retourna tandis que l'ami riait fort de sa blague et de la pudeur de ma femme.
Ceci dit , Serge depuis le matin sans le vouloir vraiment , avait exercé un travail de sape et d'érotisme dans cette promiscuité en sous-sol. Mon épouse une fois remontée à l'appartement se trouva ; m'expliqua t-elle ; dans un état second et une chaleur au bas-ventre , elle entra dans notre chambre , se caressa un moment sur le lit puis toujours un peu hébétée se déshabilla complètement puis sortit de son garde-robe string ,porte jarretelle ,bas noires et nuisette assortie , passa par la salle de bain pour un petit pchitt de parfum sur le cou et dans le dressing pour chausser des petits escarpins à talons aiguilles .Le fait de tout cela , lui fit reprendre ses esprits et le doute s'insinua en elle . Elle pensa qu'elle était folle mais l'excitation était toujours présente . La raison allait l'emporter quand d'en bas une voix gaillarde retentit "Alice ! ma chérie! j'ai soif , s'il te plaît...Ce fut l'élément déclencheur , de nouveau une chaleur vive dans le ventre , moins de lucidités et l'attirance du sexe opposé.
Serge affairé devant la chaudière n'entendit pas l'arrivée d'Alice , malgré le clac-clac des talons aiguilles sur le ciment peint.
La boisson de Monsieur est avancée lança ma femme , lorsque surpris le plombier se retourna , une autre surprise failli le terrasser d'une crise cardiaque . De se cogner la tête contre la chaudière lui remis les idées en place. Il avait perdu de sa superbe et de son sens de l 'humour. En bégayant, radotant des mots incompréhensibles, ne sachant plus ou poser les yeux il laissa tomber la clé à molette de sa main dans un tintement sourd sur le sol.
J'ai dit la boisson de Monsieur est avancée , répéta Alice , J'espère que le service vous convient aussi, conclua t-elle en souriant d'un air malicieux. Mais , mais , mais , je plaisantais Alice ,tu , tu ,c'est pas vrai , je rêve , tu es magnifique , tu, tu me connais , je plaisante toujours , putain comme t'es belle , J'y crois pas ! C'était de l'humour Alice , pas plus. Madame s'avança vers lui : Tu m'as chauffé tout le matin avec tes allusions grivoises , moi je te prends au mot et tu te défiles ? Le gaillard se ressaisit un peu et balbutie timidement qu'il n'oserait pas aller plus loin que les bêtises qu'il balance ; surtout avec des amis et les femmes de ses amis....Cette salope d'Alice lui répond que nous sommes un couple libre qu'il y a longtemps que je suis cocu , que je le sais et que j'en ressent même un certain plaisir...(même si cela vrai , ça pique un peu quand même ) et que de mon côté je suis aussi volage.( Je lui suis quand même reconnaissant de ne pas lui avoir rajouté que c'était avec des mecs que je m'envoyais en l'air... )
Bref ; rassuré sur ce point Alice me raconte que Serge l'att**** par les fesses pour la serrer contre lui "c'est ce que tu veux lui murmure t-il ? et pour toute réponse , la chaudasse lui roule une gamelle , elle sent à travers nuisette et string , une bosse dure sur le bleu de travail de l'amant du jour et balançant ses hanches , se frotte dessus tandis que des mains chaudes et rugueuses palpent sans ménagement ses fesses rebondies.
L'homme d'un coup l'écarte de lui , il déboutonne sa chemise de coton assez élimée , pour laisser apparaître un torse velu gris-blanc et un ventre rebondit garni d'un duvet soyeux . Il s'attaque ensuite au ceinturon , le dégrafe ainsi que les boutons de braguettes et le bleu de travail tombe sur ses chevilles dévoilant un mini slip rouge gonflé ayant bien du mal à contenir un service trois pièce en pleine forme apparente.
Alice a compris son rôle , elle s'accroupit devant le mâle et de ses petits doigts saisit l'élastique du sous-vêtement puis délivre le gros morceau de chair qui jaillit en l'air venant frapper le bidon de son propriétaire et venir se stabiliser au niveau du nez de sa dé-livreuse . Bien que l'odeur de transpiration et d'urine se dégage du gourdin , le gland disparaît dans la bouche de la femelle en chaleur , suivent les mains dont une pompe la tige et l'autre qui masse le gros sac de noix prometteuses.
Les yeux dans le vague ,la tête en arrière , proférant des "oh!putains" entre deux respirations Serge est aux anges et s'abandonne aux caresses de ma panthère. Hélas pour lui , elle veut aussi son comptant d'oignons et délaissant la besogne , elle pose les mains sur mon établi proche , se penche en avant jambes écartées , croupe offerte . Le mâle en rut comprend . Lui aussi s'agenouille , arrache plus qu'il n'enlève le fin string en dentelle que j'ai offert à mon épouse et que je n'ai jamais vu en situation depuis , enfonce sa tête , moustache en avant ,dans la vallée profonde des fesses d'Alice afin de trouver les orifices humides et enfiévrés dans lesquelles il plonge sa langue gourmande faisant couiner de bonheur sa conquête du moment.
Après quelques instants de délectation , il se relève et de ses doigts vient contrôler l'effet de son travail et semblant satisfait il saisit son bel engin long et épais au gland rougit par l'excitation , le dirige vers la fente gluante de mouille et l'introduit doucement et profondément dans les profondeurs vaginales de la femelle qui tressaille des cuisses en poussant de petits cris de soulagement. S’agrippant aux hanches de celle-ci , il commence de longs va et vient faisant profiter des beaux centimètres de sa queue à cette baiseuse , allant même à un petit claquage de fesses en la traitant de jeune salope ou petite pute , ce qui d'ordinaire la ferai rugir de colère , alors qu'ici elle glousse des "oh oui! oh oui ! de soumission "
Mais l'homme en veut plus , il se retire , soulève facilement Alice et l'assoit sur l'établi , lui écarte les genoux et l'empale de nouveau en l'embrassant à pleine bouche avant de l'allonger sur le dos pour peloter les mamelles et sucer les tétons dressés de la femme . Puis soulevant ces cuisses par dessous , il lui besogne la chatte ouverte de grands coups de reins profonds et puissants qui l'a font piailler de bonheur.
Les mouvements du mâle s'accélèrent , ses fesses musclées vont et viennent d'avant en arrière , puis d'un dernier coup de rein inonde abondamment de son sperme le ventre de la femelle qui lui agrippe les bras comme pour mieux ressentir les giclées inséminatrices du mâle en criant son orgasme. Un long moment de récupération pour les amants , quelques bisous et caresses et petits mots doux , Serge se retire la bite à demi-molle de la chatte devenue béante d'Alice qui dégouline d'un foutre blanchâtre et épais coulant sur la raie des fesses puis sur mon établi.
Les deux amants se rajustent et ma femme quitte L'homme qui se remet au travail et en même temps de ses émotions.
Voilà donc la première journée des travaux expliqués par mon épouse ;et quelques peu enjolivés par votre serviteur ^^ ;qui me valurent le soir même quelques bonnes branlettes en repensant à mon énième cocufiage....Il restait tout de même la deuxième journée ou mes cocufieurs ont doublé la mise , matin et après-midi , elle ; incroyable ; lui bouffant la rondelle ; avant tout aussi incroyable ; se faire démonter la sienne et de se faire gaver de jus sa bouche de salope en final.
Les travaux finis Alice et moi avons été surpris d'avoir une bonne ristourne sur la main-d’œuvre. Les ébats se sont arrêtés là , nous continuons avec lui et le groupe nos sorties moto en toutes amitiés, notre petit secret en plus tous les trois.
3 年 前
