Vacances universitaires 4
Je me re-sape en regardant John.B. Root du coin de l'oeil. Le professionnel blasé a dû être un peu émoustillé à la vue de mon exhibition car je remarque une sacrée bosse dans son pantalon. Il doit être légèrement bisex, le gonze. Je m'en fous, d'ailleurs. Il ajoute sur un ton détaché, toujours pro :
- tu jutes beaucoup ? Tu jutes fort? Ce serait un plus pour toi et ... pour moi. Tu as le gland sensible ? Tu apprécies un petit doigtage? Hein ... ?
Oullah, me dis-je en interrompant son avalanche de questions. Il entre vraiment dans le registre intime. Comment vais-je répondre à tout ça? Je réfléchis deux secondes et, pour déminer le terrain, je lui lance :
- je vais te répondre honnêtement. Beaucoup ? Je n'en sais rien... Je dois être dans la norme. Je n'ai pas fait de comparaisons. En médecine on apprend que le volume d'une éjac est de l'ordre de 3 à 5 ml. Maintenant tout dépend de l'excitation et la période d'abstinence que tu as observée auparavant. Tu sais ça aussi bien que moi ! Mais sache - je te dis ça pour déconner - que je ne suis pas comme ces verrats dans les centres d'insémination porcine et que l'on masturbe pour recueillir 1/2 litre de sperme tous les deux jours...Ils adorent ça, ces cochons. Se faire branler par un employé du centre, les pattes avant et la hure surélevées par un travail, simulacre de la truie qu'ils ne verront jamais, est un délice pour eux. Je me demande même si l'employé en question ne caresse pas leurs superbes balloches pour les encourager.
J.B.R.se met à rire franchement. L'atmosphère est détendue. Il me demande si je connais la médecine ou l'élevage porcin. Je ne vais rien lui dire et je le ramène à notre sujet :
- si je jute fort ? Tu veux dire loin ? Ben, oui, je crois. Là aussi, ça dépend... Si c'est moi qui me branle ou si c'est ma tendre copine. En général j'arrose assez bien. Et je tiens facilement une heure avant de tout lâcher...
- super ! me dit mon confesseur porn. Et pour le reste ?
- le reste quoi ? fais-je. Ah... euh ! Oui... mon gland ? Oui... sensible... très... surtout après avoir joui. Normal , non ?
- et le doigtage? ajoute-t-il
- ah... oui, je ne suis pas très porté sur le trou du cul. Mais je reconnais qu'un petit massage de la prostate est parfois bien agréable.
J.B.R se cale dans son fauteuil, ma fiche à la main, étend ses jambes sous la table. Je sens que c'est l'instant de vérité. Va-t-il me retenir dans son écurie ? Et pour quoi faire ?
Il sourit et ...
à suivre
- tu jutes beaucoup ? Tu jutes fort? Ce serait un plus pour toi et ... pour moi. Tu as le gland sensible ? Tu apprécies un petit doigtage? Hein ... ?
Oullah, me dis-je en interrompant son avalanche de questions. Il entre vraiment dans le registre intime. Comment vais-je répondre à tout ça? Je réfléchis deux secondes et, pour déminer le terrain, je lui lance :
- je vais te répondre honnêtement. Beaucoup ? Je n'en sais rien... Je dois être dans la norme. Je n'ai pas fait de comparaisons. En médecine on apprend que le volume d'une éjac est de l'ordre de 3 à 5 ml. Maintenant tout dépend de l'excitation et la période d'abstinence que tu as observée auparavant. Tu sais ça aussi bien que moi ! Mais sache - je te dis ça pour déconner - que je ne suis pas comme ces verrats dans les centres d'insémination porcine et que l'on masturbe pour recueillir 1/2 litre de sperme tous les deux jours...Ils adorent ça, ces cochons. Se faire branler par un employé du centre, les pattes avant et la hure surélevées par un travail, simulacre de la truie qu'ils ne verront jamais, est un délice pour eux. Je me demande même si l'employé en question ne caresse pas leurs superbes balloches pour les encourager.
J.B.R.se met à rire franchement. L'atmosphère est détendue. Il me demande si je connais la médecine ou l'élevage porcin. Je ne vais rien lui dire et je le ramène à notre sujet :
- si je jute fort ? Tu veux dire loin ? Ben, oui, je crois. Là aussi, ça dépend... Si c'est moi qui me branle ou si c'est ma tendre copine. En général j'arrose assez bien. Et je tiens facilement une heure avant de tout lâcher...
- super ! me dit mon confesseur porn. Et pour le reste ?
- le reste quoi ? fais-je. Ah... euh ! Oui... mon gland ? Oui... sensible... très... surtout après avoir joui. Normal , non ?
- et le doigtage? ajoute-t-il
- ah... oui, je ne suis pas très porté sur le trou du cul. Mais je reconnais qu'un petit massage de la prostate est parfois bien agréable.
J.B.R se cale dans son fauteuil, ma fiche à la main, étend ses jambes sous la table. Je sens que c'est l'instant de vérité. Va-t-il me retenir dans son écurie ? Et pour quoi faire ?
Il sourit et ...
à suivre
3 年 前
