Vacances universitaires 1
Voici une histoire personnelle que j'ai vécue au tout début des années 1980.
Je m'appelle François, j'ai 22 ans et je ne suis pas mal de ma personne. Grand , blond aux yeux bleus, musclé et déjà bronzé car nous sommes au mois de juillet. Je suis en vacances. La fac de médecine où je suis (déjà) en 4 ème année m'a donné congé. Je bosse un peu mes cours en prévision de la rentrée mais côté loisirs je tourne un peu en rond dans mon studio. Ma chère et tendre amie Catherine est partie en voyage avec ses parents. Ses copines, toujours prêtes à rendre service, aussi. En leur absence, le sexe - j'ai d'assez gros besoins, du moins je crois - commence à me travailler.
Que faire ?
- la branlette en solo me barbe un peu... c'est purement mécanique. Bien sûr, j'arrive à me tirer de jolis jets de sperme bien crémeux après 20 minutes de caresses de ma queue (ordinaire : 16 x 5 cm), de mes bourses et de titillage de mon gland abondamment lubrifié de mouille. Mon jus part dans toutes les directions... et loin. Je colle les mouches au plafond, comme on dit. Mais , bon, en dehors de ces performances, le plaisir solitaire n'est qu'un pis aller ( ou un "pis à lait" si vous voulez).
- aller faire un don à la banque du sperme (le CECOS) comme le font mes condisciples de la fac de médecine ? C'est du dégorgeage de poireau bien mécanique aussi. On te donne une éprouvette et un exemplaire de Playboy (ou Newlook ou Hustler) avec pour mission de ressortir de l'isoloir où tu t'enfermes avec un fond de sperme dans ladite éprouvette. Mes amis ont beau supplier sans vergogne les laborantines du CECOS de bien vouloir leur agiter la nouille en leur caressant les boules, il n'y a que vraiment très peu de ces dames qui acceptent (d'après ce qu'on m'a raconté). En effet , je ne suis jamais allé au CECOS. Je ne suis sans doute pas mû par l'instinct génésique de mes condisciples qui les mène à penser que leur semence congelée en paillettes dans l'azote liquide servira à un ménage en mal de bébé. Avoir des descendants dans la nature sans les connaître n'est pas mon truc. Ca me fait froid dans le dos ! Et ça doit faire froid à la dame, les paillettes à - 176°C... j'espère qu'on les fait fondre avant...
- les femmes vénales ? Les putes de la place des Grands Hommes ( j'ai oublié de vous dire que j'habite Bordeaux) ? Très peu pour moi ! D'abord j'ai pour principe de ne pas payer pour baiser. (je considère toutefois qu'aucune femme n'est gratuite.... surtout les plus légitimes). Certes les putes t'enfilent une capote sur la bite et tu ne risques en principe pas de MST - on ne parlait pas encore de SIDA à l'époque - mais je n'aime pas le latex. Je n'aime pas non plus tremper ma queue dans une chatte qui en a vu 10 dans la journée. Bref, j'abandonne l'idée aussi vite qu'elle est venue.
- aller draguer à la plage ? A l'océan ? Faut aller au Cap Ferret ou au sud de la dune du Pyla car je n'aime pas l'eau de l'intérieur du Bassin d'Arcachon ! Pas l'exacte porte à côté venant de Bordeaux. Doit bien y avoir de petites nanas seules aux milieu de toutes ces familles... mais comment les dénicher ? Et puis elles doivent habiter sur place... chez une vieille tante très prude... Baiser dans mon inconfortable bagnole ? Je n'aime pas ça non plus . Vous allez me dire que je n'aime rien ! ! ! Je me sens bien seul et démuni devant ce problème de logistique et de confort. Je baisse les bras avant d'avoir essayé.
Draguer en boîte? Seul, je ne me sens pas à l'aise... il fait tellement noir qu'on ne voit qu'à peine à qui on a affaire. Au bistrot place Gambetta ? Oui, on verra me dis-je... Au cinoche ? Les salles sont vides au mois de juillet...
Je continue donc à tourner en rond chez moi jusqu'à ce que je tombe sur une petite annonce dans Libé ou dans le Nouvel Obs - je ne sais plus - ainsi libellée :
Stud. Ciném. rech. J gens b.présent.
se prés. lu. xx juil.1981 12 rue xxxxx Bx
Qu'est-ce que je risque ? Je vais y aller faire un tour, me dis-je. Là aussi , on verra bien.
Suite à venir...
Je m'appelle François, j'ai 22 ans et je ne suis pas mal de ma personne. Grand , blond aux yeux bleus, musclé et déjà bronzé car nous sommes au mois de juillet. Je suis en vacances. La fac de médecine où je suis (déjà) en 4 ème année m'a donné congé. Je bosse un peu mes cours en prévision de la rentrée mais côté loisirs je tourne un peu en rond dans mon studio. Ma chère et tendre amie Catherine est partie en voyage avec ses parents. Ses copines, toujours prêtes à rendre service, aussi. En leur absence, le sexe - j'ai d'assez gros besoins, du moins je crois - commence à me travailler.
Que faire ?
- la branlette en solo me barbe un peu... c'est purement mécanique. Bien sûr, j'arrive à me tirer de jolis jets de sperme bien crémeux après 20 minutes de caresses de ma queue (ordinaire : 16 x 5 cm), de mes bourses et de titillage de mon gland abondamment lubrifié de mouille. Mon jus part dans toutes les directions... et loin. Je colle les mouches au plafond, comme on dit. Mais , bon, en dehors de ces performances, le plaisir solitaire n'est qu'un pis aller ( ou un "pis à lait" si vous voulez).
- aller faire un don à la banque du sperme (le CECOS) comme le font mes condisciples de la fac de médecine ? C'est du dégorgeage de poireau bien mécanique aussi. On te donne une éprouvette et un exemplaire de Playboy (ou Newlook ou Hustler) avec pour mission de ressortir de l'isoloir où tu t'enfermes avec un fond de sperme dans ladite éprouvette. Mes amis ont beau supplier sans vergogne les laborantines du CECOS de bien vouloir leur agiter la nouille en leur caressant les boules, il n'y a que vraiment très peu de ces dames qui acceptent (d'après ce qu'on m'a raconté). En effet , je ne suis jamais allé au CECOS. Je ne suis sans doute pas mû par l'instinct génésique de mes condisciples qui les mène à penser que leur semence congelée en paillettes dans l'azote liquide servira à un ménage en mal de bébé. Avoir des descendants dans la nature sans les connaître n'est pas mon truc. Ca me fait froid dans le dos ! Et ça doit faire froid à la dame, les paillettes à - 176°C... j'espère qu'on les fait fondre avant...
- les femmes vénales ? Les putes de la place des Grands Hommes ( j'ai oublié de vous dire que j'habite Bordeaux) ? Très peu pour moi ! D'abord j'ai pour principe de ne pas payer pour baiser. (je considère toutefois qu'aucune femme n'est gratuite.... surtout les plus légitimes). Certes les putes t'enfilent une capote sur la bite et tu ne risques en principe pas de MST - on ne parlait pas encore de SIDA à l'époque - mais je n'aime pas le latex. Je n'aime pas non plus tremper ma queue dans une chatte qui en a vu 10 dans la journée. Bref, j'abandonne l'idée aussi vite qu'elle est venue.
- aller draguer à la plage ? A l'océan ? Faut aller au Cap Ferret ou au sud de la dune du Pyla car je n'aime pas l'eau de l'intérieur du Bassin d'Arcachon ! Pas l'exacte porte à côté venant de Bordeaux. Doit bien y avoir de petites nanas seules aux milieu de toutes ces familles... mais comment les dénicher ? Et puis elles doivent habiter sur place... chez une vieille tante très prude... Baiser dans mon inconfortable bagnole ? Je n'aime pas ça non plus . Vous allez me dire que je n'aime rien ! ! ! Je me sens bien seul et démuni devant ce problème de logistique et de confort. Je baisse les bras avant d'avoir essayé.
Draguer en boîte? Seul, je ne me sens pas à l'aise... il fait tellement noir qu'on ne voit qu'à peine à qui on a affaire. Au bistrot place Gambetta ? Oui, on verra me dis-je... Au cinoche ? Les salles sont vides au mois de juillet...
Je continue donc à tourner en rond chez moi jusqu'à ce que je tombe sur une petite annonce dans Libé ou dans le Nouvel Obs - je ne sais plus - ainsi libellée :
Stud. Ciném. rech. J gens b.présent.
se prés. lu. xx juil.1981 12 rue xxxxx Bx
Qu'est-ce que je risque ? Je vais y aller faire un tour, me dis-je. Là aussi , on verra bien.
Suite à venir...
3 年 前
