Avant (7)
Mais où en étais-je… Je crois bien avoir failli perdre le fil. C’est toujours la même chose avec les souvenirs, ceux-ci se mélangent dans un joyeux bordel, et il arrive qu’on confonde les époques, l’âge des personnages. Au reste ce n’est pas grave, et même assez excitant car la vie nous apprend qu’untel, après des débuts fort conventionnels d’hétéro lambda passe par une phase homo de pissoirs, avant de devenir, une fois veuf et in fine, remarié, l’un des meilleurs coups travelo de l’arrondissement ou de la région. A contrario, de jeunes et impassibles lesbiennes se transforment, l’âge venu, en matriarches inflexibles et autoritaires. Mais on ne va pas refaire de la littérature et parler d’Albertine et de Saint-Loup toute la soirée, revenons donc à cette adorable nunuche d’Élisabeth.
Vous pouvez m’appeler Betty, si vous voulez, m’avait-elle proposé, nue debout dans le coin de la cuisine, après que grand-mère et ma grand-tante eurent pris les choses en mains à leur manière, nous laissant peu de liberté quant au modus operandi. Certes, j’avais joui, assez merveilleusement d’ailleurs, mais le mérite en revenait surtout à grand-mère, son sens de la mise en scène et son amour maternel. Et à ce propos, il ne fallait pas oublier que maman arrivait en fin de semaine pour me ramener à la maison. Comme toutes les bonnes choses, les vacances ont une fin. Et maman m’avait quitté en me recommandant de me comporter comme un homme, il était temps que j’apprenne certaines choses et elle comptait sur sa propre mère pour m’instruire. J’avais eu mon compte, je crois même que j’en redemandais presque, de ce genre de déniaisement, mais j’étais tout de même contrarié de ne pas avoir « fait l’amour » à la jeune personne de mon âge. Parce que, enfin, n’était-ce pas là l’objectif premier que nous nous étions fixés, le reste n’étant, tout compte fait, que cerise sur le gâteau ?
Betty était nue, pâle, et un léger tremblement, pas uniquement dû à la fraîcheur de la pièce, ne faisait qu’accentuer sa terrifiante maigreur. Autour de ses yeux, des cernes noires autorisaient la comparaison avec un portrait d’Egon Schiele, je m’en rendrais compte plus tard avec un sentiment sexuel très sauvage qui m’imposerait de multiples et imprévisibles séances de masturbations commémoratives, contextualisées au gré des déplacements et des rencontres. Ces « souvenirs d’un souvenir » me restent très précieux. Je m’avançais vers elle alors que ma grand-tante avait quitté la pièce. Grand-mère en revanche, restait assise sur un rotin dans le couloir de l’entrée, une couverture tirée sur son ventre et ses seins. Betty s’avança vers moi sans bruit, la pupille toujours aussi lubrique : Tu veux encore ? Elle allait se remettre à genou, mais je l’en empêchai, l’attirant vers moi. Je l’embrassai. Ce fut mon premier baiser d’amoureux. Brusquement, elle sauta sur ses pieds pour enrouler ses jambes autour de ma taille. Elle pesait si peu que je ne bronchai pas, mais dans la seconde ma petite queue enfla si fort que le gland pas encore décalotté atteignit sa raie pourtant si fine. Je ne savais trop comment m’y prendre, tout occupé bêtement par le caractère romantique du baiser que nous venions d’échanger. Jeune, on se fait vite des idées. C’est alors que grand-mère, restée bizarrement muette pendant un laps, intervint à sa façon. Alors, tu la sautes cette putain, mon petit chéri ? Je l’ai fait venir tout spécialement pour toi. Veux-tu que je t’aide ? Joignant le geste, elle se déplaça derrière Betty pour la forcer doucement à se baisser. J’accompagnai le mouvement jusqu’à ce que Betty fut assise, puis allongée sur le dos. Grand-mère tenait visiblement à ce que mon éducation devint conventionnelle. Chère grand-mère… comme je l’aime encore, intacte dans mon souvenir. Betty allongée sur le carreau ouvrit les cuisses, les releva quelque peu, mit ses bras derrière la tête, découvrant à nouveau une peau fragile aux extraordinaires asphodèles sur les épaules et à la naissance des seins. J’étais décidé à lui lécher les aisselles ensuées jusqu’à ce qu’elles devinssent roses. Grand-mère installa deux coussins de cuisine sous la nuque et les fesses de Betty et nous dit : allez. Je m’allongeai sur la petite, avec une vague idée de ce qu’il convenait de faire, pas assez vite cependant au goût de Betty car celle-ci prit ma queue par la main pour me faire venir dans sa chatte. Mais alors quelle surprise que ce fourreau étroit, sans commune mesure avec les couloirs aux courants d’air de mes deux aïeules ! Il était dit que le Bon Dieu, une fois de plus se mêlerait de mon éducation. J’étais pour ainsi dire dans un boyau incomparablement tiède et resserré, je crains même un instant que mon sexe ne pourrait jamais ressortir entièrement de cette pompe minusculement puissante. Grand-mère le devina, bien sûr, à mon expression malhabile. Elle craint sans doute que je fusse trop rapidement dans une disposition jaculatoire à l’endroit du vagin de Betty et, avec une souplesse insoupçonnable, se déplaça derrière moi. Au moment même ou je ressentais une forte douleur à l’anus, je vis le visage de Betty se plisser, sa bouche en rictus. Grand-mère, dans son infinie bonté venait de nous enfoncer ses deux pouces dans nos petits trous. Gabrielle, viens-là ! Dit-elle encore. J’avais à peine débandé, mais déjà mon petit sexe glissait à moitié hors de la vulve chérie. Ma grand-tante entra, elle avait passé un chemisier écru sur son soutien-gorge et s’était entourée d’un châle, nue en dessous de la ceinture hormis ses bas épais couleur chair, et chaussée de mules à talons hauts. Fais ce qu’il aime au petit !
Alors Germaine se retroussa, me sourit, se pencha pour poser délicatement un baiser sur ma joue, puis s’agenouilla, les cuisses au dessus de la tête de Betty, me tournant le dos. Elle se pencha en avant, et ce fut le paradis. Je rebandai instantanément, je voyais encore les yeux magnifiques de Betty, encouragée elle aussi par la vue sur la chatte béante de Gabrielle, tandis que j’avais à portée de bouche et de nez son anus gonflé superbement vivant, en train de s’ouvrir comme une fleur à mon intention. J’y plongeai la bouche, les lèvres, la langue, le nez ; la colonne de chair semblait pouvoir m’engober tout entier. Grand-mère maniait lentement son pouce dans mon cul et au moment où Gabrielle se lâchait, son ru urinaire inondant la bouche et le cou fragiles de Betty, grand-mère à mon oreille : Petit salaud, je vais le dire à ta maman après-demain, Dieu comme elle sera contente. Gabrielle alors m'éjacula au visage par le rectum un flot de pisse chaude. La vicieuse, en douce, s'était fait un lavement ! Je jouis prodigieusement dans la jeune chatte de Betty, à en perdre la raison.
(à suivre)
Vous pouvez m’appeler Betty, si vous voulez, m’avait-elle proposé, nue debout dans le coin de la cuisine, après que grand-mère et ma grand-tante eurent pris les choses en mains à leur manière, nous laissant peu de liberté quant au modus operandi. Certes, j’avais joui, assez merveilleusement d’ailleurs, mais le mérite en revenait surtout à grand-mère, son sens de la mise en scène et son amour maternel. Et à ce propos, il ne fallait pas oublier que maman arrivait en fin de semaine pour me ramener à la maison. Comme toutes les bonnes choses, les vacances ont une fin. Et maman m’avait quitté en me recommandant de me comporter comme un homme, il était temps que j’apprenne certaines choses et elle comptait sur sa propre mère pour m’instruire. J’avais eu mon compte, je crois même que j’en redemandais presque, de ce genre de déniaisement, mais j’étais tout de même contrarié de ne pas avoir « fait l’amour » à la jeune personne de mon âge. Parce que, enfin, n’était-ce pas là l’objectif premier que nous nous étions fixés, le reste n’étant, tout compte fait, que cerise sur le gâteau ?
Betty était nue, pâle, et un léger tremblement, pas uniquement dû à la fraîcheur de la pièce, ne faisait qu’accentuer sa terrifiante maigreur. Autour de ses yeux, des cernes noires autorisaient la comparaison avec un portrait d’Egon Schiele, je m’en rendrais compte plus tard avec un sentiment sexuel très sauvage qui m’imposerait de multiples et imprévisibles séances de masturbations commémoratives, contextualisées au gré des déplacements et des rencontres. Ces « souvenirs d’un souvenir » me restent très précieux. Je m’avançais vers elle alors que ma grand-tante avait quitté la pièce. Grand-mère en revanche, restait assise sur un rotin dans le couloir de l’entrée, une couverture tirée sur son ventre et ses seins. Betty s’avança vers moi sans bruit, la pupille toujours aussi lubrique : Tu veux encore ? Elle allait se remettre à genou, mais je l’en empêchai, l’attirant vers moi. Je l’embrassai. Ce fut mon premier baiser d’amoureux. Brusquement, elle sauta sur ses pieds pour enrouler ses jambes autour de ma taille. Elle pesait si peu que je ne bronchai pas, mais dans la seconde ma petite queue enfla si fort que le gland pas encore décalotté atteignit sa raie pourtant si fine. Je ne savais trop comment m’y prendre, tout occupé bêtement par le caractère romantique du baiser que nous venions d’échanger. Jeune, on se fait vite des idées. C’est alors que grand-mère, restée bizarrement muette pendant un laps, intervint à sa façon. Alors, tu la sautes cette putain, mon petit chéri ? Je l’ai fait venir tout spécialement pour toi. Veux-tu que je t’aide ? Joignant le geste, elle se déplaça derrière Betty pour la forcer doucement à se baisser. J’accompagnai le mouvement jusqu’à ce que Betty fut assise, puis allongée sur le dos. Grand-mère tenait visiblement à ce que mon éducation devint conventionnelle. Chère grand-mère… comme je l’aime encore, intacte dans mon souvenir. Betty allongée sur le carreau ouvrit les cuisses, les releva quelque peu, mit ses bras derrière la tête, découvrant à nouveau une peau fragile aux extraordinaires asphodèles sur les épaules et à la naissance des seins. J’étais décidé à lui lécher les aisselles ensuées jusqu’à ce qu’elles devinssent roses. Grand-mère installa deux coussins de cuisine sous la nuque et les fesses de Betty et nous dit : allez. Je m’allongeai sur la petite, avec une vague idée de ce qu’il convenait de faire, pas assez vite cependant au goût de Betty car celle-ci prit ma queue par la main pour me faire venir dans sa chatte. Mais alors quelle surprise que ce fourreau étroit, sans commune mesure avec les couloirs aux courants d’air de mes deux aïeules ! Il était dit que le Bon Dieu, une fois de plus se mêlerait de mon éducation. J’étais pour ainsi dire dans un boyau incomparablement tiède et resserré, je crains même un instant que mon sexe ne pourrait jamais ressortir entièrement de cette pompe minusculement puissante. Grand-mère le devina, bien sûr, à mon expression malhabile. Elle craint sans doute que je fusse trop rapidement dans une disposition jaculatoire à l’endroit du vagin de Betty et, avec une souplesse insoupçonnable, se déplaça derrière moi. Au moment même ou je ressentais une forte douleur à l’anus, je vis le visage de Betty se plisser, sa bouche en rictus. Grand-mère, dans son infinie bonté venait de nous enfoncer ses deux pouces dans nos petits trous. Gabrielle, viens-là ! Dit-elle encore. J’avais à peine débandé, mais déjà mon petit sexe glissait à moitié hors de la vulve chérie. Ma grand-tante entra, elle avait passé un chemisier écru sur son soutien-gorge et s’était entourée d’un châle, nue en dessous de la ceinture hormis ses bas épais couleur chair, et chaussée de mules à talons hauts. Fais ce qu’il aime au petit !
Alors Germaine se retroussa, me sourit, se pencha pour poser délicatement un baiser sur ma joue, puis s’agenouilla, les cuisses au dessus de la tête de Betty, me tournant le dos. Elle se pencha en avant, et ce fut le paradis. Je rebandai instantanément, je voyais encore les yeux magnifiques de Betty, encouragée elle aussi par la vue sur la chatte béante de Gabrielle, tandis que j’avais à portée de bouche et de nez son anus gonflé superbement vivant, en train de s’ouvrir comme une fleur à mon intention. J’y plongeai la bouche, les lèvres, la langue, le nez ; la colonne de chair semblait pouvoir m’engober tout entier. Grand-mère maniait lentement son pouce dans mon cul et au moment où Gabrielle se lâchait, son ru urinaire inondant la bouche et le cou fragiles de Betty, grand-mère à mon oreille : Petit salaud, je vais le dire à ta maman après-demain, Dieu comme elle sera contente. Gabrielle alors m'éjacula au visage par le rectum un flot de pisse chaude. La vicieuse, en douce, s'était fait un lavement ! Je jouis prodigieusement dans la jeune chatte de Betty, à en perdre la raison.
(à suivre)
4 年 前